@ Comité Cicéron
Bon. Sur votre dernière intervention, nous sommes d’accord.
A ceci près :
Les chômeurs sont de facto (je ne sais pas comment indiquer l’italique dans les posts) mis au ban de la société : combien se sont retrouvés dépouillés, à la rue, parce que bêtement (oui, c’est ce que je pense), ils avaient envisagé leur vie sous l’angle de l’acquisition à crédit de tout ce qui, hélas, en constitue aujourd’hui l’échelle de mesure, pavillon, hi-fi, « high-tech » et autres babioles devenues l’unique but d’existences toutes centrées sur elles ?
Le fait qu’une spirale économique-sociale-sociétale exclue systématiquement un chômeur de la vie de la cité, à plus ou moins long terme, me paraît un fait objectif, qu’on le veuille ou non.
Insupportable, cela dit, quand bien même je réprouve personnellement l’attachement démesuré aux signes extérieurs de « réussite ».
Espérant vous avoir répondu.