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Les commentaires de TDK1



  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 14:12

    @jpm


    Youpee ! Je croyais que j’étais tout seul ou presque.. smiley 

    1) Supprimer toutes les allocations existantes. 
    - Elles sont débiles car elles ne tiennent pas compte de ce dont les gens ont besoin mais de ce à quoi ils ont droit. Résultat, des millions de Français vivent avec 400€ ou moins par mois, voire rien du tout... alors que d’autres cumulent jusqu’à 7000€ alors qu’ils pourraient travailler...
    - Elles génèrent une administration pléthorique. Pour un Euro distribué, il y en a un autre qui part dans les salaires des fonctionnaires qui vivent de la misère des autres, dans les locaux dont la vente ferait rentrer quelques fonds, dans la « gestion paritaire » qui permet à quelques inutiles, devenus professionnels de la misère, de percevoir de confortables indemnités pour décider de qui vivra avec 400€...

    2) Les remplacer, ainsi que toutes les retraites dont le montant serait inférieur, par un minimum vital de 850€ par adulte citoyen français. Ce Minimum vital serait acquis, sans contestation possible et chacun l’utilise selon ses choix, ses besoins, ses priorités. Plus besoin d’avoir une adresse, de justifier quoi que ce soit si ce n’est d’être citoyen français. Celui qui n’en a pas besoin et qui les cotise pour sa retraite les déduit de ses revenus pour l’IRPP, celui qui va plus loin et les reverse à une association agrée dans l’aide sociale déduit le double de son revenu imposable. Plus besoin de milliers de fonctionnaires pour gérer les allocs en tous genre, le Minimum Vital est versé par le TP. Economie énorme dans le fonctionnement de l’Etat, justice sociale, intérêt pour chacun de travailler car le peu que l’on gagne ne vient pas en moins des prestations (comme aujourd’hui) mais en plus, éradication de la misère....

    3) Pour que ça marche, cela fait trente ans que je modélise le processus, il faut une offre d’emplois beaucoup plus importante que ce que nous connaissons.. Alors cette mesure doitêtre accompagnée de la suppression des charges patronales (diminution du coût de MO, gain de compétitivité de la production française), du transfert des charges salariales sur le net (augmentation de 12 à 14%) et de l’augmentation de la TVA de 4%. 

    - L’augmentation de 4% de la TVA permet de compenser, voire d’augmenter les charges perdues . Pourquoi ? Tout simplement parce que l’assiette s’élargit simplement, « normalement ». Quelque soit la manière dont l’argent est gagné, les charges sont payées. Le trafiquant ? Il paie quand il achète (et je peux vous dire qu’ils dépensent !) Celui qui travaille au noir ? Il paie quand il dépense.. Le rentier qui fait des profits à la bourse ? Il paie quand il dépense...
    - L’augmentation de 4% de la TVA transfert le coût de la protection sociale sur tous les produits, y compris ceux qui sont produits à l’étranger. Logique, non ? Aujourd’hui, les produits français subissent seuls les charges sociales, résultats ils sont en concurrence en France avec des produits étrangers qui ne comporte pas de charges sociales et sont trop chers à l’étranger... Avec ma proposition, les produits français deviennent moins chers et gagnent des parts de marché en France (eux auront baissé alors que leurs concurrents auront augmenté), créant des emplois et permettant de réduire le déficit du commerce extérieur... et deviennent plus concurrentiels à l’export où ils gagnent des parts de marché, créant des emplois en France et permettant d’inverser le déficit commercial pour le transformer en bénéfice...

    Ainsi, contrairement au discours haineux de certains, vous pouvez supprimer les charges, maintenir voire améliorer les prestations sociales et éradiquer la pauvreté. Bien sûr, cela va contre les intérêts convergents des grandes entreprises (je ne parle pas de patronat car aucun de leurs dirigeants n’est patron) et des syndicats. Ils ont, il y a 60 ans, institué un système qui protège leurs intérêts égoïste et le défendent mordicus....


  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 12:44

    @jpm


    Bonjour,

    « Personnellement je trouve tres bien que ces derniers se fassent planter de temps en temps »

    C’est exactement ce que je voulais dire.... smiley

    Ne vous méprenez pas sur mon opinion concernant les revolvings (lire ma réponse à acrrachachatdecredits) . Je dis que le fonds du problème, ce n’est pas d’empêcher les gens d’emprunter. En faisant cela, vous les pousser à la misère ou à plus de dépendance et d’assistanat. Non, la solution, il faut la chercher dans une relance de production, sel moyen de permettre au plus grand n,ombre de gagner sa vie et de ne plus dépendre des allocs ou du revolving !


  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 12:33

    Bonjour,


    * La théorie du libre échange, une des composantes du libéralisme, a fait énormément de mal à l’Europe car elle a été imposée dans le cadre d’une réorganisation mondiale de l’économie à laquelle tous nos gouvernements, de droite comme de gauche ont adhéré. C’est pour obéir à cette réorganisation, pensée par des économistes américains, que des pays comme la France ont abandonné leur sidérurgie ou leur textile (exemples parmi bien d’autre). Lorsque ce libre échange a commencé à aller au delà de ce qui était initialement prévu, certains pays, dont les USA, ont commencé à prendre des mesures conservatoires ; pas l’Europe. Nos fonctionnaires cinglés de Bruxelles se sont pris pour l’OMC et ont imposé aux pays européens un libéralisme criminel. Ces co...rds ont été mis en place pour défendre les intérêts de l’Europe et ont joué le jeu des concurrents de l’Europe, soutenus par les partis financés par les grandes entreprises et les socialistes (eux aussi financés par les grandes entreprises) qui nous tenaient un discours sur la solidarité mondiale et la nécessité de faire se développer les économies des pays émergents.... 
    * Est ce pour autant que le libre échange, qui est une absurdité idéologique, est responsable des dizaines de milliers d’entreprises qui ont délocalisé leur production (oui, ce « dizaines de milliers » peut vous surprendre, mais c’est ainsi, même les plus petites sociétés, dans tous les domaines sont touchées, le prothésiste dentaire, par exemple, savez vous qu’aujourd’hui, lorsque vous allez chez votre dentiste, vous deux chances sur trois pour que votre prothèse soit faite en Inde ? Ou le comptable qui fait saisir les opérations à distance, le commercial qui fait faire ses relances téléphoniques au Maroc etc.. etc..) , non. Demandez leur, à tous ces gens (et oui, moi, voyez vous, je n’oublie pas que derrière les TPE, il y a des gens), pourquoi ils font cela et si ils ne préféreraient pas faire faire en France ! Parce que le coût en serait immédiatement prohibitif et que vous, client moyen n’auriez pas la possibilité de payer. C’est aussi simple que cela.
    * Oui, je l’affirme, les charges tuent tous les jours des emplois. Oui, je l’affirme, en tuant des emplois, elles tuent notre système de protection sociale. Si vous ne me croyez pas, regardez, à chaque fois qu’un gouvernement, de droite comme de gauche veut relancer l’emploi, qu’est ce qu’il fait ? Il crée des dérogations de charges... C’est une mauvaise solution, mais elle est révélatrice de l’origine du problème.. Si vous ne me croyez pas, regardez par vous même, d’année en année, les charges augmentent.... les prestations sociales (remboursements santé par exemple) diminuent. Bien sûr, il y a des facteurs secondaires (immigration, mauvaise gestion des caisses, coût d’exploitation prohibitif...) mais ils ne sont que secondaires. Le fonds du problème est que l(augmentation des charges tue des emplois qui ne cotisent plus. Et tous nos grands fonctionnaires décident alors d’augmenter les charges pour compenser, ce qui tue des emplois etc etc... Quant à savoir comment maintenir, voire augmenter nos prestations sociales en supprimant les charges, je vous renvoie à une réponse que j’ai fait à une contribution sur un de mes articles précédents.. La solution existe, il faut juste un petit peu de volonté...


  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 11:55

    Bonjour,


    Que de haine ! Et si vous essayiez autre chose, comme « moteur » ?


  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 11:50

    Bonjour,


    Il y a aussi les fameux « reports de mensualités » ou « ne payez rien les 6 premiers mois »... Dans lesquels on « oublie » de faire part aux clients que les intérêts générés sur ces périodes sont en fait capitalisés et.... génèrent de nouveaux intérêts ! Ce qui fait que souvent, avec les intérêts payés sur les intér$ets, on finit par dépasser le taux d’usure...

    En fait, le revolving n’a d’intérêt (c’est le cas de le dire) que lorsque l’on est sûr de pouvoir rembourser dans les deux ou trois mois. Exemple, achat d’une voiture d’occase alors que l’on est sûr de revendre la sienne. On fait un emprunt classique sur le delta, un revolving du montant de sa propre voiture qu’on rembourse dès la vente réalisée. Cela permet de ne pas rater une affaire et d totaliser des intérêts faibles. Quoi que, sur les voitures, je conseille autre chose à mes clients. Mais l’esprit est celui là. 


  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 11:41

    Bonjour,


    C’est le paradis des soviets, votre proposition !


  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 11:09

    Bonjour,


    Sur le principe tout le monde vous donne raison, dans les faits, cliquez sur le lien que j’ai mis dans l’article et lisez le rapport de la BdF, ce n’est pas tout à fait ce que vous dites..

    En tous cas, le revolving, lisez plus haut ma réponse à un autre contributeur, n’est qu’un épiphénomène...


  • TDK1 TDK1 29 avril 2011 11:06

    Bonjour,


    Le sujet est plus qu’à l’ordre du jour et la « locataire de Bercy » comme disent les journaleux de la « glande presse » nous a encore pondu de nouvelles directives (http://maviemonargent.info/2011/credits-revolving-precisions-quant-aux-nouvelles-regles/) .

    Mon opinion, c’est que j’ai beaucoup de mal à pleurer quand un « pauvre » fait dix crédits revolving, qu’il ne les rembourse pas et qu’il plante les organismes financiers....

    Plutôt que d’empêcher les pauvres de faire des crédits, nos zélus seraient plus avisés de faire une politique de relance industrielle et productive, plutôt qu’une politique de destruction systématique d’emplois.....
    Emmerder les gens pour les empêcher d’emprunter, c’est, comme toujours, « casser le thermomètre »...


  • TDK1 TDK1 24 avril 2011 14:35

    @ Scual,


    Excusez moi de vous avoir répondu, je vois que vous n’avez pas pris le temps de lire..... smiley



  • TDK1 TDK1 23 avril 2011 10:47

    « En plus veut-on vraiment......être vendu à quelqu’un »


    Ca, c’est le discours démagogique. Comme s’il n’y avait d’autre alternative que celle de certains extrémistes libéraux. Le monde n’est manichéen que dans l’esprit dérangé des idéologues, pas dans la vérité.
    Imaginez, c’est ma solution, cela fait déjà plus de 30 ans que je la prêche, imaginez que, du jour au lendemain, toutes les charges patronales sur les salaires soient supprimées. Imaginez que dans le même temps, les charges salariales soient transférées au net.
    Imaginez que l’on augmente la TVA de 4%.
    Imaginez que l’on supprime toute l’administration et la super structure sociale en France (savez vous que pour deux € inscrits aux budget de l’Etat ou des collectivités locales, à peine plus d’un est dépensé en prestations, tout le reste est consommé par la machine administrative des CAF, des bureaux, des administrateurs paritaires et autres parasites ?).
    Imaginez que l’on attribue à tout citoyen français majeur un revenu de base de 850€ (une proposition à moitié reprise par Villepin qui ne l’a pas vraiment comprise...).
    Que se passerait il ?
    1) Les recettes sociales de l’Etat ne baisseraient pas. En effet, 4 % de plus de TVA rapporteraient autant que les cotisations patronales car elles s’appliqueraient à tous les revenus dépensés, quelles su’en soient leurs origines. Le rentier ? Taxé, celui qui planque son pognon ? Taxé, celui qui travaille au noir ? Taxé. Le trafiquant ? Taxé etc... Cela s’appelle élargir l’assiette. Mieux, dès que la reprise fonctionne, la consommation augmente et les recettes aussi.
    2) Le coût de production des entreprises françaises diminue. Dès lors, un certain nombre d’entre elles qui ont délocalisé auraient un intérêt économique (c’est le seul langage auquel elles sont sensibles) à re-localiser au moins une partie de leur production, celle qui est destinée au marchés occidentaux. En effet, la délocalisation engendre très souvent une diminution de qualité, des coûts de transport, des délais de livraison. La qualité de main d’oeuvre et la productivité françaises amèneraient aussi d’autres entreprises à s’implanter. Nous lançons un cercle vertueux.
    3) Les produits français seraient soulagés du coût de la protection sociale à la fabrication et chargés, au même titre que les produits étrangers à la vente. La différence sur bon nombre de produits, même de consommation courante (petit électroménager, lunetterie, mobilier par exemple, mais bien sûr, exemple le plus flagrant, l’automobile) s’amenuirait, et ils regagneraient des parts sur le marché intérieur, diminuant nos importations, augmentant nos exportations, améliorant notre balance du commerce extérieur.
    4) Les coûts de fonctionnement de l’État seraient soulagés par la suppression d’une énorme administration devenue inutile. Plus personne, en France ne percevrait moins de 850€ par mois. Nous aurions quasiment supprimé la pauvreté. Parmi les prestataires sociaux, l’immense majorité serait largement gagnante. Le RSA actuel, c’est 400€ pour un célibataire et 700 pour un couple. Nous passerions à 850 et 1700 ! Le minimum vieillesse ? 850 ! L’apah ? 850 ! Bien sûr, les cumulards seraient perdants.... Mais est ce bien le rôle de l’Etat que de distribuer jusqu’à 7000€ par mois à certains comme cela s’est vu ? Surtout qu’avec mon système, tout ce que vous gagnez en travaillant vient en plus ! Que l’économie repartant, les opportunités de trouver du boulot augmentent...


  • TDK1 TDK1 23 avril 2011 10:15

    « Ce qu’il faut c’est........sature le marché ».


    Ne confondez pas la situation de l’Europe avec le reste du monde. Oui, bien sûr les classes moyennes européennes (enfin, sur les gros marchés européens car un certain nombre de petits pays se développent très bien ...Slovaquie par exemple) connaissent aujourd’hui, particulièrement en France, une période de paupérisation. Mais ce n’est absolument pas le cas dans le monde ! Plusieurs centaines de millions (excusez du peu !) de Chinois accèdent à la consommation, il en va de même de plusieurs dizaines de millions de Brésiliens, de plusieurs dizaines de millions d’Indiens, de plusieurs dizaines de millions de Moyen Orientaux et maghrébins. La France a raté le démarrage de ces foyers de consommation. Pourquoi ? Pas pour des raisons politiques, nous avons toujours entretenu avec ces pays d’excellents rapports politique, uniquement pour des raison de compétitivité. Les seules entreprises françaises présentes sur ces marchés ne produisent plus en France. Ce n’est donc ni un manque de savoir faire ni un manque de politique commerciale, mais un manque de compétitivité de la production en France.
    Pour répondre à votre remarque sur la classe moyenne en France : La classe moyenne souffre de la fiscalité la plus lourde du monde. Mais pas uniquement. Elle souffre aussi du manque d’emplois. Relancer la production en France est le seul moyen d’y créer de la richesse, condition nécessaire pour la partager...


  • TDK1 TDK1 23 avril 2011 10:01
    « Jusqu’ici cette course........ce discours ? »

    Il ne faut pas confondre le discours et l’action. Tout ce qui a été fait depuis Giscard, a connu un développement sans précédent sous Mitterrand, s’est poursuivi sous Chirac et est devenu la norme sous Sarkosy, c’est justement la perversion de la recherche de compétitivité. Il fallait obéir au nouvel ordre mondial qui, soit disant, définissait les zones de production mondiales en fonction de leurs atouts. Il ne s’agissait donc pas de rechercher à ce que les entreprises française, implantées en France deviennent compétitives (devenir compétitives, cela veut dire, puisque vous posez la question, être capable de mettre sur le marché des produits de qualité comparable ou supérieure à ses concurrents à un prix comparable ou inférieur à ses concurrents afin de capter des parts de marchés), mais à ce que les entités « sociétés » fassent des bénéfices, quels qu’en soient les moyens, et, en particulier, en délocalisant les outils de production sur des pays à main d’oeuvre bon marché. 
    Cette politique a été conduite par tous, soit disant de gauche, soit disant de droite, car, au nom du principe qui régit notre classe politique « après moi le déluge », les gens de droite satisfaisaient à leur idéologie mondialiste de recherche permanente de profit à court terme et les gens de gauche satisfaisaient à leur idéologie conservatrice du modèle économique mis en place il y a maintenant plus de 60 ans de pseudo contrôle de l’économie et de la politique sociale par les syndicats et les partis, contrôle qui se résume en fait à un certain nombre de privilèges accordés à certains de leurs membres en échange... de rien.
    Donc, rien n’a été fait pour que la production française soit compétitive, au contraire, au nom de la démagogie politicienne, on a constamment augmenté le poids de la main d’oeuvre dans le coût de production, accélérant de cette manière les délocalisations. La recherche de la compétitivité des entreprises françaises est une nécessité de bon sens. 
    En tenant ce discours, le medef (qui n’est pas le patronat car il n’y a pas ou peu de patrons dans cette instance) a justifié une politique de recherche de profit(c’est différent, l’avez vous saisi ?). C’est particularité de notre temps que de nommer une politique du nom de son contraire...


  • TDK1 TDK1 22 avril 2011 21:24

    Les Scop sont, en théories, parce que souvent dévoyées, une excellente forme de statut et d’organisation. Le seul problème, c’est que j’ai l’impression que vous n’avez pas bien compris ce que sont les SCOP. 

    Les SCOP, Société Ouvrière de Production est une structure dans laquelle les employés peuvent (il n’y a aucune obligation) détenir le capital. Dit dans l’autre sens, le capital est détenu par des employés (ou anciens employés) de la société. Le PDG ou Gérant (il peut y avoir des sarl ou des sas en SCOP) est élu, comme toujours, par les CA lui même désigné par les actionnaires, rien que de très banal, si ce n’est que les actionnaires étant des salariés, ce sont des salariés qui élisent le boss. Simplement, pour constituer le capital, les employés, très souvent, empruntent ou rachètent les parts d’anciens, reconstituent le capital de l’entreprise en y laissant une partie de leur salaire. Comme tout actionnaire, quand il ya des bénéfs, ils touchent, quand il y a des pertes, ils perdent ! Bon, les SCOP, c’est ce qui se fait de mieux en termes d’auto gestion et d’organisation démocratique d’entreprise.
    Justement, Môssieur, parce que les SCOP sont démocratiques, elles ne s’imposent pas ! Vous ne pouvez pas imposer à des salariés de devenir actionnaires. D’ailleurs, ils ne le veulent pas ! Si c’était le cas, il y en aurait plein des SCOP ! Le crédit coopératif est prêt à finncer plein de projets, plein de création d’entreprises... Mais non ! Pas question ! La culture ouvrière française, perpétuée par le syndicalisme marxiste, c’est la lutte des classes. Pas la confusion des genres... Je suis salarié, j’ai des droits, y’a de raison que j’aille risquer une partie de ma paye dans l’entreprise, j’en ai rien à foutre, je ne suis pas un capitaliste... La lutte des classes.
    Ceci étant, le secteur coopératif a connu de belles réussites. Les mutuelles, Groupama, deuxième groupe d’assurance français est toujours mutualiste. Dans le monde agricoles, que ce soit en production, en transformation, le Crédit Agricole, première banque de franc est né du secteur coopératif. Comme par hasard, le monde agricole est celui qui a été le moins pollué par le marxisme et la lutte et la lutte des classes. Il est celui qui a connu les plus belles réussites coopératives....


  • TDK1 TDK1 22 avril 2011 21:06

    Permettez moi juste de vous rappeler que les deux idéologies les plus génocidaires de l’histoire furent le nazisme (env 7 millions de morts attribués) et le communisme (env. 100 millions de morts attribués), toutes les deux parfaitement athées et anticléricales et matérialistes. 

    Le génocide arménien fut perpétré par une Turquie qui se disait laïque et dont la constitution contenait une phrase qui disait qu’elle était la « première république maçonnique de l’histoire ».
    Le seul génocide de l’histoire de France eut lieu dans l’Ouest du pays au nom de la laïcité, par des républicains et fut perpétré à l’encontre de chrétiens
    Quand à l’esclavage, je ne peux que vous inviter à lire et à vous documenter. Et si vous avez du mal à lire, regardez au moins un film, Mission.


  • TDK1 TDK1 22 avril 2011 20:53

    Je propose que nous exposions votre portrait maculé de pisse et de merde...



  • TDK1 TDK1 22 avril 2011 20:50

    C’est fait, cela s’appelle la franc maçonnerie qui reprend tous les symboles du christianisme, jusqu’aux noms de ses grades, et qui les ... « laïcise ».


    D’ailleurs, comme, comme tout laïscisme qui se respecte, la FM a, de fait si ce n’est dans le discours, reconstitué une religion, avec ses interdits, sa hiérarchie, ses temples....


  • TDK1 TDK1 22 avril 2011 17:46

    Bonjour,

    Votre réaction fut tout d’abord la mienne. Quand on sait que, malgré le développement de leurs résultats, seulement 24 groupes sur 40 offrent une rallonge de coupons à leurs actionnaires, qu’il y en a 3 qui proposent le même dividende en dépit de leurs très bons résultats, (France Télécom, Total et Vivendi) qu’il y en a même un, (Alcatel-Lucent) qui ne verse pas un centime, je me suis dit comme vous que c’était archi pipeau. Mais voilà, la prime a été annoncée comme pérenne. Et ça, ça change la donne. Ce que vous pouvez faire un an ou deux sans conséquences graves, vous ne pouvez pas le faire pendant 10 ans. Forcément, pour les raison que j’évoque dans mon article, cela va entraîner le départ des entreprises. Tenez, prenez par exemple la comparaison entre Danone et Peugeot : Avec à peine 8% de salariés français, Danone laissera dans cette histoire un chèque de 9 millions d’euros. PSA qui est un gros employeur de l’hexagone verrait en revanche son bénéficie amputer de 9% par la mesure. Ce sont ceux qui emploient le moins en France qui y gagneront. Imaginez ce à quoi cette mesure imbécile va les inciter.....


  • TDK1 TDK1 18 avril 2011 23:39

    Votre raisonnement est pervers car il incite au comportement qui a justement prévalu ces dernières années et généré.... la dette collective que vous dénoncez.


    Si je ne dispose pas de mon patrimoine comme bon me semble et qu’à mon décès, celui ci va à l’Etat, quel intérêt ai-je à en constituer un ? Aucun. Dès lors, je me comporte en cigale, consomme dilapide. C’est exactement le comportement des groupes humains qui génèrent et perpétuent la pauvreté. C’est exactement le comportement de ceux qui ont endetté les Etats, au nom de la consommation et du confort immédiat.
    La loi simple mais malheureusement incontournable qui veut qu’il faut qu’il y ait richesse pour pouvoir la partager nécessite la création de patrimoine. Pour qu’il y ait création de patrimoine, il faut qu’il y ait intérêt à créer un patrimoine. 
    Les pays qui ont ru pouvoir collectiviser la propriété se sont plantés. 


  • TDK1 TDK1 18 avril 2011 20:05

    Bonjour,


    Je suis en fait partisan du libre choix. Je considère que le patrimoine que nous avons constitué durant notre vie, et sur lequel nous avons déjà payé lourdement le tribut imposé par la société, nous devons pouvoir décider, seuls, ce que nous souhaitons en faire. 
    Le système actuel est totalitaire et coercitif. Vous ne disposez pas de votre patrimoine comme vous le souhaitez et les règles de succession vous sont imposées par la société. Vous n’imaginez pas ce que nous voyons dans notre métier. Des enfants qui dépouillent leurs parents ou que se déchirent pour récupérer ce qui leur est « du » au titre de la succession. 
    Ma conviction : Je donne ce qui m’appartiens et que j’ai gagné à qui je veux, la société n’a aps à m’imposer soit de le donner à des enfants au prétexte que je leur ai donné la vie, soit de me le prendre. Car le discours de soit disant redistribution n’est ni plus ni oins qu’un cache misère qui consiste à collectiviser la propriété privée et la faire disparaitre. Il s’agit simplement de voler le patrimoine de chacun au moment de son décès pour alimenter l’ogre collectif.
    Si vous êtes libre, c’est vous qui décidez de redistribuer (ou pas) , de donner à une oeuvre collective (ou pas).


  • TDK1 TDK1 13 avril 2011 16:51

    Bloc de béton ou non, population vieillissante ou pas, il s’agit d’une église consacrée... à l’Esprit qui le sera désormais à la consommation.


    Quant à la fréquentation, ce n’est pas en fermant l’église que l’Eglise la remplira.... Mais ça, comme il est écrit dans l’article, l’histoire de cette église « signe l’esprit du concile Vatican II », un débat qui n’a pas lieu d’être ici.....