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Les commentaires de fredleborgne



  • fredleborgne fredleborgne 1er mai 2008 09:52

    Une chose est sure. Ces jeunes politiciens qui ont mis au pas les vieux de l’Assemblée Nationale et du Sénat pour voter leurs réformes sans même les lire rêvent de rester longtemps au pouvoir. En échange du maintien et même de l’augmentation des régimes spéciaux et cumulards de leurs fonctions.

     



  • fredleborgne fredleborgne 27 mars 2008 13:31

    A priori, je défendrai la même chose que vous : la diversité de la création en permettant aux artistes "de proximité" de pouvoir vivre honnetement de leur art.

    Seulement, il y a un système en place, avec une répartition basée sur la diffusion des oeuvres. Cette diffusion se fait de manière forcée sur les radios et autres medias. Bref, tous les modèles économiques auront pour but d’avantager les mêmes tout en faisant pleurer sur les petits.

    Donc, il faut faire couler le navire des gros en refusant tout arrangement avec les acteurs en place et en demandant des offres adsl+télephone uniquement (pas de télé, ni d’abonnement "musical") afin de "couper" les vivres aux tenants d’aujourd’hui.

    Une certaine création existe aujourd’hui sans moyens financiers. Elle attend son heure. Faisons lui la place nette si nous voulons une vraie musique équitable.

    En attendant, boycott des produits utilisant la pub pour se faire vendre, refus du deal musique contre pub, refus d’une quelconque "licence globale", refus de taxes payées par des non consommateurs de musique "établie", et refus du piratage évidemment, afin qu’on les oublie.



  • fredleborgne fredleborgne 26 mars 2008 21:12

    La jeune création sur le net se moque bien des rétributions actuellement, et pour cause. Le "Système" en place s’accapare les espaces sur les radios, donc les espaces publicitaires, et toutes les recettes possibles et inimaginables, dont des taxes relativement contestables sur des supports éphémères.

    Quand enfin ce système décadent tourné vers les plus jeunes, gaspilleurs ou les plus vieux plus aisés, ou vers la masse abrutie s’écroulera, la vraie culture populaire pourra renaitre, avec des acteurs plus talentueux et moins goinfres que les stars préfabriquées et les has been actuels.

    L’idée que l’art et la création ont besoin de tant d’argent est une abberation., surtout qu’une bonne partie tombe dans l’escarcelle des producteurs, dont l’intérêt est de raréfier la ressource pour la faire payer. et rentabiliser les énormes fonds investis dans la pub, certainement le premier poste de dépense pour la moindre création.

    Rien que pour avoir relayé ce message, vous avez discrédité toute velléïté de votre part pour proposer une alternative au modèle actuel, avec une transition progressive, solution équitable.

    Alors, laissons le libre et le boycott saper les fondements d’une industrie qui s’appuie sur la perversion des systèmes judiciaires, l’étouffement des petits artistes et le flicage des réseaux pour tenter de conserver ses megas bénéfices.

    Consommons du libre et tournons le dos à leurs propositions actuelles. La publicité, non seulement nous la subissons, par ses intrusions de plus en plus brutales sur nos écrans,mais nous la payons chaque jour en achetant trop cher la lessive qui nous offre la musique ou la boisson qui nous offre la météo



  • fredleborgne fredleborgne 20 mars 2008 21:41

    La pub veolia cette fois débordante m’empêche de noter cet article. Autant dire que je ne m’abaisserai pas à mettre les piles à combustibles pour avoir la paix et je m’offusque de cet abus

    Pas de pub, pas d’Agoravox ?

    Les revenus sont pour payer les procés en diffamation.

    Amis du partage et du libre, restons petits et sans pub



  • fredleborgne fredleborgne 15 mars 2008 03:59

    La violence peut se déclarer partout. A l’école, où les fonctionnaires sont confrontés à la réalité sans avoir le moindre moyen physique de pression (même minime), ou dans la rue, les parcs.

    C’est encore pire quand c’est un enfant qui en agresse un autre. En effet, l’agression d’aujourd’hui n’est plus une gifle, un coup de poing ou une simple poussette pour voler un stylo ou un cahier, voire racketter. Là encore, il y aurait un mobile "compréhensible.

    Non : parmi les enfants circule actuellement une notion totalement erronnée du mot "respect". Celui qui a le respect a le pouvoir de contraindre les autres sans que ceux-ci se rebiffent. C’est le sens "mafioso" du terme.

    Pour obtenir ce respect, il y a la bête confrontation physique. L’adulte est interdit de "contact" par la loi. Il est donc facile pour l’enfant de s’imposer par le caprice, voire le chantage. Les parents qui ont perdu le respect de leur enfant nie cet état de fait et sont les pires à se défendre de ne jamais leur avoir mis une gifle. Et bien sûr, hors de question qu’un autre le fasse à leur place, fut-il instituteur.

    Ces enfants "perturbés" ennuient ensuite les autres enfants. On n’a pas le droit de les regarder. Ils ont le droit d’en agresser un sans que les autres interviennent. L’omerta règne dans la cour de récré, et les petits caïds forment une bande plutot que de confronter entre eux. C’est la loi des loups et des singes.

    En grandissant, ils deviennent dangereux. Mais le système judiciaire, avec ses avertissements, ses psychologues etc. donne de la valeur à ces enfants qui n’obtienne cet intérêt que grâce à leur état violent. On leur pardonne aprés avoir tenté de les effrayer avec des épouvantails. Ils en ressortent plus forts contre les adultes, plus faibles dans la vie car les effets de la violence qu’ils infligent les terrorise. Un jour, il seront une victime de celle-ci car ils vont croiser plus fort et aussi méchants qu’eux. Et cette peur accentue encore leurs excés.

    Tout ça, parce qu’au bon moment, il n’y a pas eu punition.

    Cette punition peut prendre plusieurs formes. Une gifle en public n’a pas besoin d’être violente pour marquer l’esprit de l’enfant. Elle doit être seulement donnée si l’élève tente de se soustraire à la punition normale, à savoir les lignes (c’est idiot sauf si il écrit mal, ou les exercices de maths : au moins il apprend à compter) ou le passage dans le bureau du proviseur. Il s’agit du dernier recours possible et non pas d’une punition corporelle systématique, mais il doit exister.

    Pour la violence dans la rue, c’est plus compliqué. Les parents (quand ils sont encore deux) sont totalement dépassés, et sont victimes de toutes les restrictions imposées par la loi pour faire de nous des consommateurs tranquilles se faisant exploiter à longueur de journée.

    Il est impossible de faire quoi que ce soit avant treize ans. Et encore, entre 13 et 16 ans, c’est presque 2 adultes pour tenter de canaliser un enfant. Sans pression physique, et établissement de règles saines (Tu ne mangeras que lorsque tu auras fait ce qu’on t’a dit), rien n’est possible. Et c’est un traitement cruel malgré tout.

    Aprés 16 ans, c’est encore pire. Il y a intérêt à passer par la pratique d’activités physiques intenses.

    Alors, il n’y a en fait que le harcèlement policier, puis l’incarcération durant toute l’adolescence qui est fait par la loi. Mais quand les enfants veulent redevenir "normaux", ils ont été confrontés à la prison et aux sévices cette fois entre eux. Et c’est bien plus cruel que la baffe pédagogique de l’école primaire.

    La violence comme seule réponse à la violence ? Voila ce que je semble proposer ?

    Non, je parle de la supériorité de la force de l’instructeur à prouver à l’ado, avant de le contraindre à suivre un stage de "redressement" dans le cadre d’un internat. Stage spartiate, d’abord physique, et proposant des cours de réalphabétisation, puis ensuite évoluerait vers des études plus en adéquation avec les nouveaux goûts du jeune.

    Bien sûr, chaque intervention musclée doit être le fait de gens responsables qui ne cherchent pas à en faire plus que nécessaire, et la violence entre "stagiaires" doit être interdite. Ces "gros" bras doivent ensuite gagner la confiance de ceux qui arrêtent de se mesurer à eux par provoc. Au départ, il s’agit de faire comprendre que leur violence ne parvient plus à servir leurs intérets, et qu’ils n’ont pas à craindre de violence injustifiée, d’autres stagiaires, ou de l’encadrement. Ensuite, dans plus de sérénité, et dans l’effort, ils doivent retrouver la confiance. Et s’apercevoir que sans violence, ils parviennent à obtenir un respect pour leur travail (félicitations) et pour leurs progrés en société. Enfin, ils faut leur faire admettre d’autres codes de conduite que ceux qu’ils se sont fabriqués dans la rue, et inspirés de sociétés quasi-animales.

    Mais sommes nous capables, aujourd’hui que le nombre d’ados perturbés et de jeunes adultes dangereux est important, de pouvoir s’occuper de tous ?

    Peut-être pas. Mais si déjà au primaire, on évite que la violence subsiste, et qu’entre dix et quatorze ans, il y ait des classes pour enfants difficiles à l’écart des autres classes (ca existe déjà) mais sans aucun contact possible aux récréations, au réfectoire et à la sortie... et bien déjà, on pourrait éviter aux enfants non violents d’être les victimes de notre impuissance d’adultes



  • fredleborgne fredleborgne 14 mars 2008 18:32

    Moi, je suis entièrement de l’avis de cet article. La gauche PS se permet d’avoir l’air généreuse avec l’argent des contribuables, tandis que la droite fait tout pour ne rien prélever , car cela prélèverait aux riches. En effet, 35% d’augmentation sur pas grand chose, la majorité s’en fout un peu, surtout quand la redistribution les concerne en partie. Par contre, cela appauvrit les classes moyennes et "dérange" les riches.

    Ce qui me chagrine, c’est l’appauvrissement des classes moyennes, qui gagnent leur argent sou à sou, et non le prélèvement sur ceux qui vivent de rentes de situation grace à l’héritage,, et de placements aux méthodes contestables.

    Il n’empêche que si la droite reprenait le pouvoir, elle dispenserait les riches de payer "trop", par des allègements, tandis que les pauvres récupèreraient moins, et que les classes moyennes seraient tout aussi fortement imposées...

    Et "globalement", la droite pourrait se glorifier d’avoir fait payer moins d’impots.

    Alors, si il ne reste pas de PCF ou de verts, ne vous déplacez pas dimanche. C’est encore le seul moyen de vous exprimer tout en économisant votre temps

     



  • fredleborgne fredleborgne 13 mars 2008 22:16

    Et oui ! Le public est préparé à la bêtise de la pub.

    C’est même attiré par la bêtise sur les "sites de vidéos" qu’il tombe dans ses bras. On se demande bien pourquoi la pub doit inventer encore pour vendre : on peut encore consommer plus ?

    A moins qu’elle ne nous prépare à voter

    (C’est la marionnette de droite qui m’a fait le plus rire l’année dernière. Et on a eu droit à plein de nouvelles têtes qu’on aimerait baffer. Vive la démocratie-pubrire qui vous machouille le cerveau)

    Quand aux systèmes experts, ils savent aussi trouver autre chose dans les mail



  • fredleborgne fredleborgne 9 mars 2008 11:10

    Pour répondre à Imhotep

    Bien observé en matière de lutte "anti-pub".

    Bien que personnellement, je parlerai d’auto-promotion "groupée" et ’d’incitation à la découverte".

    Oui, je ris un peu à la définition du copyright donnée par Serge Uleski. Il semble méconnaitre les immenses avantages de la licence libre, voire un CC-BY-ND qui lui garantissent tous les paramètres de protection qu’il désire de manière plus explicite, tout en permettant à tous ses "admirateurs" de le citer et le diffuser.

    Mais peut-on lui en vouloir d’ainsi procéder pour sa notoriété sur le Net ? Il a aussi raison en plaçant l’auteur au centre de la diffusion (au lieu d’un agent, un éditeur ou un industriel de la culture quelconque).

    Offrir un article assez intéressant, même base d’une critique négative est un travail qui en retour mérite bien un peu de considération.

    Son "auto-promotion" est tout de même préférable à de la pub qui masque pendant dix à quinze secondes les données qu’un lien vous a promises.

    Quand à faire un procés pour un "voleur", certainement pas. Il suffit de "dénoncer" en ligne le coupable. La notoriété de celui-ci sera atteinte et il devra se rebatir un nouveau pseudo vierge. La "justice" de la nettiquette du monde du libre est bien préférable aux procés stupides des mercantilistes qui gâchent le surf avec leurs pubs et leurs articles plagiés (mais achetés) aux grandes agences type Reuter ou AFP.

    Non ?

     

     

     



  • fredleborgne fredleborgne 26 février 2008 20:18

    Cet article veut-il s’en prendre à Mussolini, l’extrême-droite ou le vatican ?

    Le peuple Italien désirait son unité. Le pape s’y opposait, car les Etats Pontificaux d’avant 1870 couvraient le tires de l’italie et la coupait par son centre.

    Napoléon III a un temps favorisé cette unité, mais n’a pas voulu s’attaquer au Pape. Il a même soutenu celui-ci.

    La defaite de 1870 et la chute de Napoléon III a permis aux Italiens de faire cette unité et de confiner le Pape dans son seul état du Vatican.

    D’où le Schisme.

    Mussolini par les accords du Latran en 1929 a permis la réconciliation du Pape avec l’Etat Italien. Il a donc du faire des concessions au niveau lois pour satisfaire le vatican, mais il a ainsi résolu un vrai problème national. (Tous ceux qui soutenaient l’Etat Italien étaient excommuniés).

    C’est amusant de voir comme les français peuvent voir des dictatures partout hors de chez eux, et les poncifs qu’ils en retiennent.



  • fredleborgne fredleborgne 19 février 2008 11:24

    Cet article parle aussi de "journaux sérieux", et à ce titre, on s’aperçoit que la réflexion et l’avis du journaliste permettent d’obtenir une synthèse de l’information plutôt que la publication d’ un fait brut au cul du fax.

    A part les "infos du jour", il y a aussi les "dossiers permanents", les "récapitulatifs" et le choix du "premier plan" qui peut amener une diversité.

    Or, les "unes" se ressemblent tellement qu’on dirait qu’il y a consensus, voire obligation, sur "le fait à mettre en avant" . L’information est assez riche pour que chacun puisse être original, or ce n’est pas le cas, et des faits "qui ne doivent pas être intéressants" pour le citoyen français, sont carrément occultés.

    Le "panurgisme" est donc bien selon moi plus influencé par le diktat des propriétaires de media que par l’influence des agences de presse qui "parlent de tout" en termes clairs et concis (mais malheureusement parfois avec déjà du parti pris).

    D’où l’intérêt des infos citoyennes, qui lisent ces mêmes articles, mais cette fois proposent des synthèses et suscitent des débats.

    Est-ce seulement une question d’argent ? De temps ? Ou de volonté ?

    Il est vrai que le journaliste citoyen n’est pas payé, ne manque pourtant pas de volonté et y mettra le temps qu’il faudra... le journalisme professionnel ne peut s’aligner que s’il y a de l’argent pour financer le temps et l’indépendance. Tuer le journalisme, c’était donc facile. Il suffisait de lui prendre son argent.

    - dévier les contrats publicitaires vers d’autres supports que les journaux papier

    - financer, dans le cadre de l’audio-visuel, des émissions de variétés plutôt que des reportages

    - saturer les kiosques avec des magazines "légers" du type people...

    Enfin, il reste, "pour les proteger" de l’extinction, le futur "label presse"

    "Dans ses colonnes, ce journal n’utilise que des sources vérifiées et est sans danger pour la santé et le consensus"

     



  • fredleborgne fredleborgne 23 décembre 2007 21:02

    Trés bon article, suscitant en plus des commentaires intéressants. Néanmoins, si les causes sont connues, il n’y a aucun espoir de changement avec les équipes en place. La solution ne peut se faire que sous la pression de la rue, qui, d’aprés certains, n’a pas à gouverner. Je doute en plus que la population actuelle ait le cran de se défendre quand chacun ne songe qu’à sa propre réussite dans un système ou celle-ci se rapprochera de plus en plus d’une simple survie. Il faudra donc que la solution pourrisse encore quelques années pour que la réaction renaisse des ruines laissées par la pseudo-gauche socialiste, et encore... si les esprits savent encore ce que valent dire les mots employés dans l’article.



  • fredleborgne fredleborgne 23 décembre 2007 13:31

    Référendum ou pas, ce traité complètement dénaturé n’a d’intérêts que pour de gros capitalistes mondiaux et va à l’encontre du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

    Abus de pouvoir des gouvernants manipulés et/ou corrompus, opacité renforcé pour foutage de gueule évident ... mais qu’attend on pour destituer ces imposteurs.

    Réponse : Nous, on ne sait pas qui mettre à la place alors que eux ont deux ou trois gouvernements d’avance.

    Entre raleurs et saboteurs, ce sujet est ingérable et c’est pour ça que le n’importe quoi finit par passer... lassitude pour nous, patience et pouvoir pour les autres.

    Mais si on s’en prend aux casinos, aux yatch dans les marinas, aux super villas dans le sud est, aux châteaux en bord de loire, aux voitures de luxe, aux banques, aux journaux, aux télés, aux terrains de golf... bref en menaçant les intérêts économiques et le « mode de vie » de cette élite qui nous méprise, on peut peut-être voir 100 ou 200 familles faire leurs valises et nous abandonner enfin notre pays



  • fredleborgne fredleborgne 23 décembre 2007 13:18

    Haro sur les baudets... c’est presque trop facile.

    Mais est-ce la faute à la démocratie ?

    En tout cas, il est difficile de faire rire aujourd’hui car le grotesque est devenu la norme aux plus hauts sommets.



  • fredleborgne fredleborgne 20 décembre 2007 21:58

    Il est difficile de répartir le travail déjà dans un système « communautaire » (par exemple la fonction publique). Dans un système de compétition économique, c’est quasiment impossible, et pourtant... Or, Si il y a 6 ouvriers et seulement du travail pour 5, il y en a 5 qui sont d’accord pour laisser le chomage à un plutot que « partager » le chomage à 6. Et encore 5 pour traiter le 6e de fainéant. Tout ça, parce que la première valaur d’une place, c’est d’être une ressource régulière. Bref, pas la peine pour le patron de bien payer quand il y a pénurie d’offres d’emploi. Pénurie organisée bien sûr. Aprés tout, le 6 consomme aussi, à crédit, et c’est le travail des 5 qui lui donne de quoi survivre. La solution est de laisser mourir de faim le 6e. Les 5 autres pourront alors demander une augmentation...Au fait, pas touche aux vieux, ils sont sources d’emploi.



  • fredleborgne fredleborgne 20 décembre 2007 21:44

    C’est vraiment l’expression simplifiée du message. « messieurs, on a rien à faire de vous, ca passe et vous n’y pouvez rien » Bref, on se moque de nous, surtout si on cherche où est l’embrouille. Alors ? On râle, jusqu’à être assez nombreux pour agir. Râler pour être rallié pour le jour où ...



  • fredleborgne fredleborgne 13 décembre 2007 22:31

    Que les riches soient riches et que les pauvres le restent.

    Avec le chacun pour soi, c’est quand même plus juste. Au lieu de répartir la misère en faisant payer l’état qui ensuite fera payer sur les salaires ou avec une TVA sociales...tout en faisant des cadeaux aux riches pour qu’ils nous rient à la gueule au lieu de s’exiler dans des paradis fiscaux.

    Je vous le dis, aprés les municipales, on va déguster. Et ce n’est pas en votant PS qu’on votera pour du changement, qu’il s’agisse de Charasse ou des autres.

    Bon, il faut savoir que je préfère être pauvre parmis les pauvres plutôt que de supporter des riches qui me rendent encore plus pauvre par contraste.

    Alors, soit la droite arrête de nous enfoncer dans la m..., soit on la leur fera bouffer avant qu’ils ne quittent tous un pays qui ne voudra plus d’eux.



  • fredleborgne fredleborgne 11 décembre 2007 20:23

    Le « Rapport Olivennes » n’est que la reprise d’une charte signée en 2004 par déjà des FAI, le ministère de la culture, le ministère de l’intérieur et les sociétés du disque. Cette fois, le cinéma s’en est mêlé. Mais sinon, rien de neuf

    http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/conferen/donnedieu/charte2807 04.htm

    Alors, j’espère qu’il n’a pas été payé pour ça, parce que côté mesures, tout était déjà prévu.

    La solution, passer au libre.

    Je connais une chanson qui peut les enerver

    Que du libre (L’auteur, la lectrice, le groupe musicien et la licence) et un brin moqueur pour eux.

    http://www.audiocite.net/poesies/fredleborgne-(musique-bynary-mind)-lordre-en-doremi.html



  • fredleborgne fredleborgne 3 décembre 2007 13:15

    Article trés catho mais en adéquation avec la victime. Un hommage personnalisé donc, auquel j’adhère. Il est un temps pour le deuil, un autre pour la justice. Patientons pour la polémique.



  • fredleborgne fredleborgne 30 novembre 2007 12:13

    Trés bon article qui souligne les excés de violence sans chercher à les excuser, mais à trouver l’explication.

    J’apprécie aussi le « réalisme » en préconisant la poursuite de la présence policière, en espérant que celle ci ne soit, ni discrète, ni oppressante. Des flics apparemment sereins qui demande poliment des papiers, c’est déjà un progrés, même si ils sont sereins parce que plus nombreux, et qu’ils n’ont pas besoin, à deux, de s’imposer face à 10.

    Quand aux jeunes, et aux moins jeunes avec encore un peu de jus et d’honnêteté, oui, il va falloir faire comprendre aux gouvernants que le modèle de société préconisé ne convient pas.

    Sans violence contre les personnes, c’est le minimum exigeable. Sans dégats, c’est encore mieux.



  • fredleborgne fredleborgne 29 novembre 2007 14:50

    Un piège. L’introduction donne l’impression d’un auteur lucide et ouvert. La suite ne correspond pas. Pour moi, les mouvements démographiques sont naturels, le protectionnisme-repli est une solution limitée dans le temps qui à terme n’a fourni, et ne peut fournir aucune solution. Doit-on faire perdurer la race ? la culture ? Les valeurs ? Une bonne intégration des étrangers, sans cette infame « immigration choisie », mais avec un accueil raisonné, sincère et coopératif avec les pays africains peut permettre à l’europe de franchir à nouveau la méditerranée et de faire partager aux africains les acquis du développement durable, de la société des loisirs, de l’europe des peuples, tout en retrouvant à leur contact des valeurs de peuple jeune et optimiste que nous avons perdues. Rien à voir avec le libéralisme décomplexé aux mains d’extrémistes religieux faisant la pluie et le beau temps dans les medias et humiliant l’islam modéré pratiqué par le plus grand nombre d’immigrés par leur condescendance d’état, faisant le lit des extrémistes musulmans pour mieux ensuite émietter les populations par la peur et se maintenir au pouvoir. L’europe ne se suicide pas seulement par la dénatalité, mais aussi par le choix de ses dirigeants, qui, il faut bien le dire, nous les brisent menues au quotidien. Et ce n’est pas non plus en laissant les moyens aux ideologies du partage total qu’on parviendra à se sauver. Il faut avoir la force, inspirer le respect et traiter d’égal à égal. Or, dans l’affrontement vicieux qui sert aujourd’hui une élite qui fuira ensuite un sol dont elle n’a rien à foutre en faisant crever le peuple autochtone dans la boue pour gagner un peu de temps et se présenter eux comme des victimes expatriées, les peuples européens (oui, c’est bizarre, il y en a plusieurs qui se sont foutus sur la gu...avant de finalement s’entendre) ont perdu, à cause de leur confiance dans des représentants membres ou servant des lobby anglo-saxon de m...voulant asservir le monde avec un code de la propriété intellectuelle et qui ne survivront avec les autres pourris rescapés de l’époque du « carburantifère fossile » que par l’argent. Eux, que celui qui trime dans les usines prie pierre paul jacques, et soit blanc, noir jaune ou bleu, ils s’en foutent.