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Antoine Christian LABEL NGONGO

Antoine Christian LABEL NGONGO

Attaché principal dans l’administration territoriale, j’exerce des fonctions de cadre supérieur, alliant management stratégique, pilotage de projets et action de terrain. Mon parcours m’a permis de gravir progressivement les échelons de l’administration – d'agent administratif à directeur – en développant une solide connaissance des rouages institutionnels, ainsi qu’une posture de manager engagé, à la fois rigoureux, pragmatique et force de proposition.
Ma trajectoire illustre une conviction profonde : la méritocratie devrait être une réalité accessible à tous, indépendamment des origines ou des parcours. En tant que représentant des minorités visibles occupant un poste de direction, je sais que le professionnalisme, l’éthique et le travail sérieux sont indispensables, mais qu’ils ne suffisent pas toujours face à certains biais ou résistances systémiques. Cette lucidité renforce mon engagement pour une administration plus juste, plus équitable, plus humaine.
Franc et attaché aux principes d’intégrité, je privilégie un management fondé sur la responsabilité, la sincérité des échanges et la reconnaissance des compétences, même si cette posture peut parfois détonner dans un environnement administratif marqué par certaines logiques de carrière plus conformistes.
Mes missions m’amènent à collaborer avec un large éventail de partenaires – institutions, associations, structures locales – dans une approche transversale, à la fois stratégique et ancrée dans les réalités de terrain. Mes compétences en informatique et en sciences de l’éducation me permettent également d’intervenir comme formateur auprès d’adultes (bureautique, numérique, remise à niveau, alphabétisation), avec un souci constant de pédagogie et de transmission.
Par ailleurs, passionné de culture, de sport et de langues, je m’investis dans des projets personnels de valorisation de l’Ewondo, ma langue maternelle, à travers l’écriture de blogs. Ces espaces d’expression reflètent ma volonté de contribuer activement à la diversité culturelle et à l’ouverture sur le monde.
Je me définis volontiers comme citoyen du monde, convaincu que les savoirs, l’engagement et la diversité sont des leviers essentiels pour repenser le service public au service de tous.
http://ewondo.unblog.fr/

http://ewondo.over-blog.com/
http://pratiquedelewondo.blogs-de-voyage.fr/

Tableau de bord

  • Premier article le 29/06/2006
  • Modérateur depuis le 11/07/2006
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Derniers commentaires



  • Antoine Christian LABEL NGONGO Antoine Christian LABEL NGONGO 1er avril 2012 17:57

    Je vous approuve sur ce point



  • Antoine Christian LABEL NGONGO Antoine Christian LABEL NGONGO 1er avril 2012 17:55

    Ce n’est pas vous qui vivez dans ces cités où vous vous faites fouiller par les enfants des voisins « jeunes adultes » qui font peur aux locataires, donc s’il vous plaît « taisez-vous » au lieu de dire des âneries.

    La France est un Etat de droits, ce n’est pas aux voyous de faire peur aux citoyens qui ne leur demandent rien. Qu’ils aillent vendre leur drogues et autres produits illicites hors des cités pour laisser les gens tranquilles.



  • Antoine Christian LABEL NGONGO Antoine Christian LABEL NGONGO 14 octobre 2011 00:30
    Création de la Commission spéciale des Nations Unies sur la Palestine

    A sa session extraordinaire, l’Assemblée a créé la Commission spéciale des Nations Unies sur la Palestine, composée de 11 États Membres, et l’a chargée d’enquêter sur toutes les questions touchant le problème de la Palestine et de recommander des solutions que l’Assemblée examinerait à sa session ordinaire en septembre 1947. Au cours de son enquête, qui a duré trois mois, la Commission spéciale s’est rendue en Palestine, au Liban, en Syrie et en Transjordanie et a fait une tournée des camps de personnes déplacées en Allemagne et en Autriche, pays qui avaient connu les ravages de la seconde guerre mondiale et la tragédie des Juifs européens sous le nazisme.

    Si les organisations juives ont coopéré aux délibérations de la Commission spéciale, les dirigeants palestiniens de la Commission suprême arabe ont décidé, eux, de ne pas y prendre part, faisant valoir que l’ONU avait refusé d’examiner la question de l’indépendance et n’avait pas dissocié le problème des réfugiés juifs d’Europe de la question de Palestine. Selon la Commission suprême, les droits naturels des Arabes palestiniens étaient évidents, devaient être reconnus et ne pouvaient pas continuer à faire l’objet d’une enquête.

    Les dirigeants juifs, pour leur part, ont soutenu devant la Commission spéciale que les questions liées à la création d’un État juif en Palestine et à une immigration sans restriction étaient liées de manière indissociables. Les Arabes, désormais représentés par la Ligue arabe, plutôt que par la Commission suprême arabe, ont demandé la création immédiate d’une Palestine indépendante à l’ouest du Jourdain.

    La Commission spéciale a achevé ses travaux le 31 août 1947, ses membres s’étant entendus sur la question de la fin du mandat, sur le principe de l’indépendance et sur le rôle des Nations Unies. Toutefois, il n’y avait pas d’accord quant à un règlement de la question de Palestine. La majorité des membres de la Commission a recommandé que la Palestine soit partagée en un État arabe et un État juif, la ville de Jérusalem devant recevoir un statut international spécial sous l’autorité administrative de l’Organisation des Nations Unies. Les trois entités devaient être liées dans le cadre d’une union économique. Le plan de la minorité prévoyait une structure fédérale indépendante comprenant un État arabe et un État juif et ayant Jérusalem pour capitale. L’Australie s’est abstenue de se prononcer pour l’un ou l’autre plan, car, selon elle, les recommandations dépassaient le mandat de la Commission.



  • Antoine Christian LABEL NGONGO Antoine Christian LABEL NGONGO 14 octobre 2011 00:27
    Première session extraordinaire de l’Assemblée générale, 1947

    A la première session extraordinaire de l’Assemblée générale, qui s’est ouverte le 28 avril 1947, une commission spéciale sur la Palestine a été créée. Cinq États arabes — l’Arabie saoudite, l’Égypte, l’Iraq, le Liban et la Syrie — essayèrent alors, sans succès, de faire inscrire à l’ordre du jour de la session extraordinaire une question concernant « la fin du mandat sur la Palestine et la proclamation de son indépendance ». Le dossier juif a été présenté par l’Agence juive pour la Palestine, tandis que les Arabes palestiniens étaient représentés par la Commission suprême arabe.



  • Antoine Christian LABEL NGONGO Antoine Christian LABEL NGONGO 14 octobre 2011 00:25
    La Palestine sous mandat de la Société des Nations, 1922

    Lors de la création de l’Organisation des Nations Unies le 24 octobre 1945, la Palestine était toujours administrée par le Royaume-Uni, en vertu d’un mandat reçu en 1922 de la Société des Nations. La question d’un foyer juif en Palestine était au nombre des problèmes que devait résoudre la Puissance mandataire. Les habitants arabes, qui représentaient vers le milieu des années 40 environ les deux tiers des deux millions d’habitants du territoire, étaient fortement opposés à une augmentation de l’immigration juive en Palestine. Face à l’escalade de la violence, le Royaume-Uni a décidé, en février 1947, de porter la question de Palestine devant l’Organisation des Nations Unies.

    Appelant l’attention sur « l’opportunité d’un règlement rapide en Palestine », le Gouvernement britannique a demandé qu’une session extraordinaire de l’Assemblée générale soit convoquée immédiatement pour constituer une commission spéciale et la charger d’établir une étude préliminaire sur la question de Palestine afin que l’Assemblée puisse l’examiner à sa prochaine session ordinaire.

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