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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 7 novembre 2018 13:28

    "Vous combattrez les juifs et aurez le dessus sur eux de sorte que la pierre dira : ô musulman ! Voici un juif caché derrière moi viens le tuer (Sahih Boukhari, Sahi Muslim)"

    =================================
    @zak5

    Ce hadith de l’arbre du Gharkad que vous citez figurait encore à la fin du septième article de l’ancienne charte du Hamas qui a depuis été quelque peu modifiée : cela faisait d’autant plus vilain que cet article a été maintes fois cité, pas seulement par moi, et je le connais encore par coeur.

    La nouvelle charte ne diffère en rien de la précédente, sauf qu’elle paraît avoir été écrite par des gens en état d’ébriété avancée, et aussi saouls que devait l’être ce ministre de l’intérieur du Hamas qui, dans une video que j’ai souvent signalée, explique que les « Palestiniens » sont en fait des immigrés venus il n’y a pas deux siècles, pour moitié d’Egypte et pour moitié d’Arabie (in vino veritas !).

    Le hadith cité à la fin du 7e article était ainsi formulé :
    « Le jour du Jugement ne viendra pas, que vous n’ayez combattu les Juifs. Le jour du Jugement, les arbres et les pierres diront : »Ô musulman, il y a un Juif qui se cache derrière moi, viens le tuer !« Seul l’arbre du Gharkad ne le dira pas, parce que c’est un arbre des Juifs ».



  • Christian Labrune Christian Labrune 6 novembre 2018 23:57

    Comment résoudre la question Arabe

     ?
    ............................................................
    @eric

    C’est effectivement une bonne question, et vous avez raison de rappeler ce que fut l’échec abominable des « printemps arabes ». On attendait de ces pays qu’ils se projettent vers l’avenir, mais avec le soutien accordé partout par l’Amérique d’Obama aux Frères musulmans, on a surtout vu renaître une idéologie passéiste commune à ces fanatiques et aux salafistes, dont le seul avenir possible était le VIIe siècle. En cela, ils ont parfaitement réussi : le Califat de Raqqa était bien comparable à la société de ce temps-là et si on veut avoir une idée de ce que pouvait être la vie sociale dans le monde du haut moyen-âge, il suffit désormais d’aller faire un tour dans nos banlieues du 93.

    La situation à Gaza aujourd’hui ne diffère en rien, du point de vue de l’horreur et de la barbarie, de celle des régions qui furent sous la coupe du Calife de Raqqa et il est quand même inconcevable que les Israéliens sous les missiles du Hamas doivent prendre des mesures pour faire en sorte que la situation sanitaire de ceux qui rêvent de les exterminer n’empire pas jusqu’au point de créer une crise humanitaire sans précédent.

    Plus Israël progresse, qui est désormais parvenu au rang de 8e puissance mondiale dans certains domaines, plus l’écart se creuse avec le monde musulman qui est autour, et plus la haine génocidaire de la rue arabe s’exaspère.

    Ce qui est consternant aussi, c’est l’extraordinaire cécité d’un monde occidental rongé par la haine de soi et qu’on voit prendre fait et cause, jusque sur ce site, pour le pire obscurantisme.

    Le plus drôle -si j’ose dire-, ce fut ce qui arriva après l’extraordinaire mise en scène réalisée par le Mussolini des Turcs après l’assassinat du journaliste saoudien dans un consulat. Des exécutions de cette sorte, commandées par la raison d’état, ce n’est pas nouveau, et il y en eut un certain nombre en France à l’époque de Mitterrand, qui n’ont toujours pas élucidées. Mais là, on avait massacré un « opposant » au régime. Un opposant à la politique d’ouverture et de progrès de Ben Salmane. Le bonhomme était-il un parfait démocrate, ou n’était-il pas plutôt à la botte des oulémas qui auraient souhaité maintenir l’Arabie dans ce moyen-âge dont elle ne paraît toujours pas sortie ?

    Je profite de l’occasion pour demander à Salem Alketbi de bien vouloir, peut-être dans un prochain article, nous éclairer sur ce qui a pu se passer. Non pas sur un assassinat atroce et sordide commandé probablement par la raison d’état et effectué par des agents particulièrement incapables de services secrets mal organisés, mais sur l’arrière-plan. Qui était ce Khashoggi ?. On a dit qu’il était un Frère musulman, qu’il avait été proche de Ben Laden. On dit maintenant que ce n’est pas vrai. En quoi était-il opposé à la politique et aux réformes en cours dans son pays ?

    Avant cela, Ben Salmane semble avoir disparu pendant plusieurs semaines, le bruit courait même qu’il était mort. Il y aurait eu un attentat, il aurait été blessé. Il reste que la politique de l’Arabie, après cela, et en particulier sur la question palestinienne, semble avoir opéré un retour en arrière voulu par le vieux roi. Les media occidentaux, sur toutes ces questions, divaguent, et on a beaucoup de mal à y comprendre quelque chose.



  • Christian Labrune Christian Labrune 6 novembre 2018 21:50

    Depuis la signature de l’accord de paix avec l’Égypte, nous avons appris qu’une paix et une coexistence réelles dans la région dépendent du règlement de la question palestinienne.

    ===============================

    Je ne comprends pas très bien la phrase ci-dessus : elle est contradictoire. Quand Saddate se rend en Israël et s’exprime devant la Knesset, le vieux conflit n’est toujours pas résolu, et cela n’empêche pourtant pas la signature d’un traité de paix. On peut en dire autant des relations avec la Jordanie. Certes, il n’y a jamais eu d’accord de paix avec la Syrie, mais si les Iraniens ne s’étaient pas autorisés à intervenir en Syrie, jamais le pays n’aurait été visé ces derniers mois par l’aviation israélienne, laquelle s’est de toute façon limitée à des frappes visant uniquement les intérêts iraniens. La résolution du conflit israélo-palestinien n’est donc plus qu’un obstacle rhétorique manipulé par les chancelleries arabes qui, fort heureusement, n’en tiennent plus compte lorsqu’il s’agit des échanges commerciaux avec Israël ou du calcul des intérêts stratégiques face à l’Iran.

     Le « deal du siècle », contrairement à ce que je lis au début de l’article, n’a encore jamais été publié. Il y aura eu des fuite habilement gérées par l’administration Trump pour voir ce que pourraient être les réactions, mais rien n’est arrêté. Il est même fort probable qu’il n’existe encore aucun plan, parce qu’aucune solution n’est actuellement envisageable. La seule qui conviendrait sans restriction aux Palestiniens serait qu’il ne restât plus un seul juif dans la région, et qu’un état palestinien judenrein, avec Jérusalem pour capitale, pût s’étendre enfin de la mer au Jourdain. Mais les Juifs, avec une mauvaise volonté très évidente, refusent désormais toute extermination qui pourrait pourtant faire plaisir à leurs malheureux rivaux. Quelle inhumanité !

    Sur une autre page, je posais hier à des gens qui ne connaissent visiblement rien à l’histoire de la région la question suivante : pourquoi, au lendemain de la déclaration d’indépendance lue par Ben Gourion le 14 mai 48, laquelle s’appuie explicitement sur une préconisation de l’ONU de novembre 47 prévoyant un partage du territoire, ceux qu’on n’appelle pas encore les « Palestiniens » n’ont-ils pas, au lieu de déclarer la guerre, proclamé la naissance de leur état et engagé des négociation avec le jeune état juif sur des points particuliers touchant aux frontières et qui auraient pu être débattus ?

    La réponse que personne ne veut me faire est la suivante : il aurait fallu accepter le principe d’un partage du territoire et donc accepter qu’il existât un ilot juif au milieu du monde musulman. Mais le mufti nazi de Jérusalem, qui n’avait pas ménagé ses efforts pour organiser contre Israël une coalition de cinq états arabes en 48, ne pouvait pas accepter qu’il existât un état juif dans la région. Ce sinistre bonhomme qui, cinq ans plus tôt à Berlin, pressait Himmler d’obtenir du Führer qu’il fît installer aussi en Palestine les chambres à gaz de la solution finale ne pouvait envisager aucune sorte de partage territorial : il fallait massacrer tous les Juifs, ou les foutre à la mer.

    L’idéologie génocidaire des terroristes de Gaza, mais celle aussi de l’OLP du petit-neveu du mufti nazi (Arafat) ne conçoit pas d’autre statut pour les Juifs que leur anéantissement, et les récentes déclarations crapuleusement antisémites de la vieille ganache de Ramallah font bien voir qu’on n’est pas près de sortir d’un conflit qui n’est pas territorial mais théologico-raciste.

    Les Palestiniens pourront bien faire tout ce qu’ils pourront pour essayer d’anéantir l’état juif, ils n’y arriveront jamais. Tous leurs efforts dans ce sens se sont soldés par des défaites de plus en plus cuisantes. Ben Salmane, en Amérique, faisait remarquer il y a quelques mois qu’ils avaient saboté toutes les occasions d’avoir un état, et que s’ils continuaient, il n’auraient bientôt plus qu’à accepter ce qu’on voudrait bien leur consentir. Dans tous les cas, ils auraient définitivement perdu le droit de se plaindre.



  • Christian Labrune Christian Labrune 5 novembre 2018 12:06

    @ETIENNE

    Cinq ou six messages pour contester une simple observation que je faisais au début. On me représentait que, selon un dicton Breton, les Parisiens (dont je suis) sont des imbéciles. En comparaison, le génie en Bretagne, pensais-je, devait surgir à tous les calvaires. La Bretagne, disais-je est grande comme deux fois Israël. Chacun sait qu’Israël, petit pays parti de rien, en 70 ans, aura raflé pas mal de prix Nobel dans les disciplines de pointe les plus essentielles. Par conséquent, la Bretagne aurait dû produire au moins deux fois plus de prix Nobel qu’Israël. Or, ce n’est pas le cas. La Bretagne produit surtout des porcs, du poisson, des choux et des crêpes.

    Je me demande bien en quoi une simple constatation concernant la réussite incontestable de la recherche fondamentale en Israël peut emmerder autant de lecteurs ! Peut-être auraient-ils souhaité que je parlasse aussi du nombre de prix Nobel palestiniens, comme ces faux-culs de dirigeants occidentaux qui ne vont jamais à Jérusalem sans faire un tour aussi à Ramallah ? Mais je ne sais pas de combien de dizaines de prix Nobel le monde musulman peut se prévaloir depuis plus d’un siècle. Si quelqu’un peut nous instruire là-dessus...



  • Christian Labrune Christian Labrune 4 novembre 2018 17:18

    . Le problème est que chaque fois que nous tentons de régler un problème en voulant ne rien changer à notre place dans l’univers, et à notre mode de vie, nous en créons au moins deux autres. 

    ====================================
    @velosolex

    La solution, ce serait une disparition de l’homme. Notre place dans l’univers ne sera nulle part tant que nous n’accepterons pas de vivre à la manière des très sages bovins qu’on voit paître dans les prairies. Quoi qu’elle puisse faire, cette sale bête (l’homme) continuera a essayer en vain de réparer les méfaits qu’elle aura commis. Si l’homme disparaissait, les berniques sur le granit des côtes armoricaines seraient enfin parfaitement heureuses, ne craindraient plus les marées noires, les sales effluents des porcheries, ni les coups de pied de ces petits cons de Parisiens en vacances qui se vengent ainsi de ne pouvoir les décoller. Ah, les salauds !

    Libérons les berniques !

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