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David Meyers

Rédacteur Editorialiste

Tableau de bord

  • Premier article le 09/04/2009
  • Modérateur depuis le 15/05/2009
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  Ma France d'après

Ma France d’après

Ma France d’après

967 visites 20 jan. 2010 | 2 réactions | David Meyers  









Derniers commentaires



  • David Meyers 13 novembre 2010 16:20

    «  la surface de la baudruche se tend à la vitesse aujourd’hui mesurée de 71.9Km/s et par mégaparsec ( constante de Hubble) , pendant que le rayon de la baudruche augmente quant à lui de 300 000 km durant cette même seconde »

    Votre représentation n’est pas ce que je crois « conforme » à la théorie du Big Bang et de son espace en expansion. En effet, il n’y a pas de rayon de la baudruche car quel que soit « l’endroit » où se situe l’observateur, « l’espace » est en expansion dans toutes les directions et l’observateur est toujours au centre de la baudruche.

    Selon cette théorie, l’univers n’est pas né de « l’explosion » d’un point dans un espace vide, contrairement à bien des représentations erronnées et vides de sens, mais d’un espace déjà infini dans toutes les « directions ». C’est pourquoi « on » peut continuer à observer le rayonnement cosmologique.

    Vous parlez d’espace comme s’il s’agissait d’une entité indépendante. Peut-être après tout. Mais il me semble que l’espace sans « masse » ne signifie rien. C’est l’interaction gravitationnelle entre les masse qui crée « l’espace » et que la forme de cet espace dépend donc des intensités respectives des masses locales.

    Considérer 3 dimensions spatiales est encore une simplification hasardeuse en ce que le « vide » n’a pas de métrique. On ne mesure pas une distance entre deux vides de l’espace, cela n’a pas de signification au regard du principe de la relativité encore jamais mis en défaut. Quand bien même vous parviendrez à créer trois axes indépendants entre des masses, générant les 3 dimensions, on se heurterait au principe (encore un) d’incertitude concernant la position d’origine et les angles de vos axes, les atomes n’étant jamais à une « position » indéfiniment précise.

    Parler de deux espaces en intersection, et donner une vitesse relative de l’un par rapport à l’autre, reviendrait donc à définir un repère spatial privilégié, le fameux Grand Attracteur, le centre de l’Univers (le siège de Dieu ?). C’est une belle chose mais qui n’a jamais été ni révélée ni suspectée. Ou pire, il faudrait dire que l’espace vide qui vient interférer avec un autre « se déplace » mais par rapport à quoi ? Comment mesure-t-on un déplacement par rapport à du vide ? Mystère.

    Imaginons cependant que deux espaces viennent à interférer. S’il y a deux espaces, alors avant leur pénétration, aucun des deux n’aurait pu obtenir d’informations sur l’autre, sinon il n’y aurait qu’un seul espace. Donc ces deux entités de pourraient pas « savoir » quelle est leur vitesse relative et notamment n’auraient pas à respecter la vitesse limite de la lumière puisqu’aucune interaction ne serait intervenue entre les deux. Au moment du contact on aurait donc du constater des vitesses super luminiques d’informations.

    L’univers que nous constatons n’est PAS l’univers mais une partie de ce que nos sens (et certaines de nos machines) nous permettent d’apercevoir. En cela, nous avons la notion de distance (terre - lune par exemple) qui n’est pas une réalité objective. Nous estimons que la Lune est éloignée de la Terre car il nous fait un certain « temps » pour y aller, ce qui nous ramène à la situation précaire de notre vie de simples mortels.

     Dire qu’il y a de l’espace, du vide entre les deux planètes, n’est qu’une interprétation (et surement pas la bonne) de l’expérience. Il n’est pas certain que pour des pierres presque éternelles, les astres soient éloignés.

    La vitesse n’est pas mesurable (dans l’absolu). On ne peut que constater la différence de distance entre deux masses. Il y a bien l’effet doppler mais il n’a reçu une explication plausible que sur les ondes mécaniques. L’explication transposée aux ondes electromagnétiques n’est qu’un embrouillamini qui « marche » numériquement mais qui n’explique rien.

    De même l’accélération n’est pas non plus absolue. On peut être immobile, en déplacement et accéléré tout à la fois, sans même pouvoir le déceler. L’accélération est forcéement reliée à un référentiel, local qui plus est. Il y a donc une forme de morcellement de l’univers où , au delà d’un certain « éloignement » les notions de vitesse relative et d’accélération perdent leur sens.



  • David Meyers 12 novembre 2010 11:34

    La position du proviseur, et la modification con-sumériste béat des prérogatives du chef d’établissement et de la teneur des programmes est tellement tordue qu’il est difficile d’y voir clair ou d’y apporter un avis documenté.


    Merci d’ouvrir le débat avec des arguments accablants. Plus le peuple est bête et plus il est manipulable facilement. 


  • David Meyers 8 novembre 2010 13:21

    La droite se fracasse, se fendille, explose de toutes parts. L’UMPtanic sombre et entraîne la France dans les abîmes. La gauche PS se cherche un leader à 1,5 an de l’échéance sans même un programme et reste d’une discrétion de violette sur les turpitudes Woerthiennes de peur qu’on vienne les prendre les mains dans un autre pot de confiture. Le Modem roupille et les prétendants du nouveau centre restent pathétiques.


    « Françaises, français, mes chers compatriotes », élection piège à cons encore pour 2012.

    Reste une inconnue : et si Nicolas Sarkozy était inéligible en 2012 pour cause de financement illégal en 2007 ?


  • David Meyers 6 novembre 2010 16:37

    Aie Aie Aie l’Univers serait donc une sphère avec un « centre » et la vitesse d’un objet serait donc comparable à la « vitesse » de la lumière...

    Selon les constatations (bien partielles), l’Univers se dilate dans toutes les directions. Contrairement à certaines représentations pèrenoellesques, la théorie améliorée du Big Bang ne désigne pas un « centre » d’où serait partie l’explosion inititale mais un univers déjà infini où les distances seraient nulles, ce qui est différent. (Sinon, on ne pourrait pas « voir » le rayonnement cosmologique puisqu’il serait « passé » depuis longtemps)

    Alors le vecteur temps qui nous sérare du centre ???

    Comme chaque masse, nous sommes (relativement) LE CENTRE de l’expansion.

    Pour la fameuse « vitesse » de la lumière il fauttoujours prendre énormément de précaution pour en parler. En effet, la « lumière » ne se déplace pas par rapport au vide (ça se saurait si le vide possédait une métrique). On ne peut en parler que par rapport à un observateur. Plutôt qu’une constante, c’est une variable absolue puisque chacun voit midi (300km/s) à sa porte. 

    Un objet qui se déplace à une vitesse proche de celle de la lumière est encore un concept de science fiction. Il n’y a pas de voyage par rapport au vide mais seulement (jusqu’à présent) par rapport aux masses (planètes observateur etc...) donc ce qui produit de la gravitation (et encore certaines recherches prétendent que la gravitation n’est pas une force mais une illusion, un artéfact).

    Ainsi « on » peut mesurer un objet se déplaçant à une vitesse dite relativiste mais depuis l’objet, c’est « on » qui se déplace à une telle vitesse (cours de seconde).

    Il n’y a pas de dimensions de l’espace mais votre explication sur l’angle de l’objet qui s’enfonce ne représente qu’une « réalité » locale, celle de l’observateur.

    Traiter l’univers comme un trou qui contient des choses est une vision qui ne mène pas très loin.



  • David Meyers 5 novembre 2010 18:08

    Excellent article.Merci.

    Je viens de voir le petit film. Je voudrais pas jouer les rabat joie mais tout les invités ont l’air de se faire prodigieusement ch...

    Pas étonnant quand on entend la platitude désertique des discours, l’atonie maladive du présentateur. Ca ressemble à ces « séminaires » d’entreprise mal préparés. Un pur truc de communication.

    Les tables rigides et carrées et l’atmosphère glaciale donnent un profond sentiment de malaise. Les serveuses au garde à vous derrière un dressement de tables digne d’un 2 étoiles ajoutent encore à l’artificiel de la scène.

    Ce diner de l’Atlantique ressemble à une punition. C’est donc ça la Société du Bomonde ?

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