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Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
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Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 26 janvier 2016 23:12

    @eric
    Gauche -Droite -Gauche - Droite - ...

    On continue de s’enfoncer dans un marécage sans fin.

    Car tous partagent le mythe de la compétitivité qui est censée nous sauver, et qui en réalité nous enfonce toujours davantage.

    Le jour où tous seront esclaves, qui seront les clients ?

    Mais cela , nul ne le dit car ça n’entre pas dans les logiciels politico-médiatiques.

    Il n’y a ni solution à l’intérieur, ni à l’extérieur, du fait du partage du mythe compétitif par les instances internationales (la compétitivité sans borne via la concurrence libre et non faussée de l’UE par exemple).

    Étrangement, un homme de droite, à la fois central et exotique, l’avait compris, Michel Seguin qui avait préfacé un livre sur les désastres (déjà du temps de Rome) de la concurrence à tout prix.

    La concurrence à tout prix, par ailleurs, ne multiplie pas les choix, bien au contraire, car les fusions-acquisitions finissent par créer des oligopoles qui contrôlent tout leur secteur.

    Pour paraphraser une phrase de Jean Laplanche : « la concurrence à tout prix est le travail sans frein de la pulsion monopolistique »

    Ce ne sont ni des hommes de fausse gauche, ni de droite tordue qu’il nous faut, mais des hommes de valeur, intègres et capables de réfléchir aux problèmes sans tabou idéologiques.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 26 janvier 2016 22:43

    Au stade où nous en sommes, il faudrait faire intervenir « la déchéance de souveraineté » contre le social-traite qu’est Hollande !

    Anti-social (chaque jour un tour de vis supplémentaire, dont le dernier en date est le code du travail), anti-démocratique (coup d’état d’urgence), ultra-libéral (cadeaux sans fin au patronat), néoconservateur (collusion avec les pétromonarchies, alignement européen sur l’Allemagne), nous avons là un président de droite dure pire que l’ensemble de ses prédécesseurs.

    Lorsqu’un individu se fait élire sur un programme pour ensuite faire l’inverse, et que son parti perd à toutes les élections, ne baffoue-t-il pas la démocratie qui est le choix non pas de cet individu, mais de ce qu’il feignait représenter.

    au-delà du cas Hollande, c’est le type même de régime qui est au bord du rouleau : pas de démocratie sans contrôle continu de la souveraineté par la population.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 29 octobre 2015 15:42


    « D’abord, il faut souligner toutes les limites des sondages, guère prédictifs à ce stade, et qui se sont souvent trompés.
    .../...
    Le plus étonnant, c’est que personne ne semble voir la légère remontée de Hollande dans les sondages ».

    Ou comment l’incohérence vient aux auteurs.

    Rien à ajouter !



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 août 2015 21:35

    Ce n’est pas le travail qui coûte cher, c’est la ponction toujours plus grande du capital sur le travail.

    La levée des contraintes sur les flux de capitaux permet aux capitalistes de choisir le pays avec les plus faibles salaires, charges sociales, etc. La limite de ce système, c’est l’esclavage. C’est ce vers quoi tend le système actuel.

    Les capitalistes peuvent passer leur production d’un pays à l’autre, pas les travailleurs, qui se retrouvent bloqués : si le libéralisme veut la libre circulation des biens et des capitaux, il n’en est pas de même pour les êtres humains, dont la valeur est évaluée à ce qu’ils gagnent. On peut le constater en voyant la méditerrannée se transformer en cimetière.

    Les conditions de quasi-esclavage des travailleurs au niveau international deviennent ainsi la norme qu’ils veulent imposer partout, y compris en Europe. La dette et la chômage sont des leviers pour imposer ces politiques dont les populations ne veulent pas.

    De ce côté la Grèce a été un laboratoire qu’ils vont étendre à toute l’Europe. Ce sont non seulement les ouvriers qui sont visés, mais aussi les classes moyennes. Comme toujours, elle ne réagiront que lorsqu’il sera trop tard. En attendant, elles gobent l’idéologie libérale en croyant qu’elle ne s’appliquera pas à elles-mêmes.

    Vu ce qui s’est passé en Grèce, il est probablement déjà trop tard.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 juillet 2015 21:02

    Ce prix est-il donné en mémoire de la « Division Charlemagne » ?

    Avec ce prix, avec ces lauréats, avec des discours, avec les faits de génocide du peuple grec ordonné par l’oligarchie financière, on voit que désormais l’Union Européenne est en guerre contre ses peuples-

    Et comme pour toute guerre, on s’assoie sur les traités ou on les utiise pour détruire l’ennemi.

    Sauf que désormais, l’ennemi, c’est le peuple : l’ennemi, c’est nous.

    Laisserons-les nous détruire sans rien dire ?

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