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Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
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Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 décembre 2011 14:34

    Merci pour les liens.

    Cependant, je n’ai pas pu ouvrir le premier.

    Le second confirme l’importance qu’a cette économie pour les néocapitalistes.

    Ils iront jusqu’à breveter ce qui est public, y compris des connaissances ancestrales qui ne leur doivent rien.

    C’est clairement du vol.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 décembre 2011 12:37

    Les gens, c’est qui ? Je ne comprends pas le concept.

    Si l’on veut parler de la façon d’habiter, cela devient intéressant. Mais ce que pensent « les gens », ce que veulent « les gens », je n’en sait rien. Nous n’en savons rien.

    Il y a par ailleurs confusion entre forme et qualité. Notamment au niveau acoustique, qui a été longtemps négligé. je pense qu’une architecture contemporaine devrait permettre la diversité. A la fois au niveau de formes, des espaces, etc.

    Aujourd’hui, tout se cloisonne, se restreint, les zones urbaines deviennent zones à risque, les prix explosent, on ne construit plus, et ceux qui ne peuvent habiter dans les centres-villes s’éloignent ou deviennent des SDF.

    Si l’imaginaire interdit la courbe, le toit-terrasse, le plan incliné ou je ne sais quoi, si les seules formes valables sont les formes ancestrales, on se sclérose, s’étiole, se rabougrit. Si la seule pansée architecturale est celle qui fait plaisir à la ménagère de cinquante ans, on aura dans l’architecture le même goût qu’à TF1.

    Quant aux organisme ultralibéraux, Bouygues par exemple, ils se plieront au marché, et feront dans l’industriel, que ce soit des toits en pente ou des terrasses.

    C’est vrai, la conférence m’a déçu.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 décembre 2011 11:13

    Je ne suis pas du tout d’accord avec ce qui est dit.

    L’architecture contemporaine est née notamment du Bauhaus, à l’époque détruit par les nazis.

    Elle se dégage effectivement des formes traditionnalles, mais transforme les intérieurs, par la lumière, l’espace, les toits terrasses, etc.

    Le Corbusier n’était absolument pas« ultralibéral », et avait une conception certaine de la beauté. Le beau n’est pas forcément le compliqué, ou la matériau ancien. Le béton peut être beau !

    L’architecture contemporaine a notamment permis de passer du taudis, du bidonville, à l’appartement.

    Aujourd’hui, en France, les nouvelles constructions sont plutôt de style néoclassique, avec toit et petites fenêtres, que vraiment modernes.

    Le problème est plutôt social. Les nouvelles architectures s’étant développées dans les zones nouvelles, elles ont été liées à la construction de banlieues, vite transformées en ghetto, avec tous les problèmes inhérents.

    Par ailleurs, effectivement, il y a un fossé entre l’architecture contemporaine pour villas de milliardaires et celle, (peut-on parler d’architecure ?), pour les banlieues sordides.

    D’une façon générale, il y a comme un rejet global du vingtième siècle, qui a permis la distanciation avec la tradition, dans tous les domaines. C’est une sorte de régression, une involution vers les certitudes, à un moment où tout semble s’écrouler.

    Dans les temps de progrès, l’art, l’architecture, etc, invente.

    Dans les temps de régression, on se rassure avec des formes anciennes. Je ne vois pas en quoi la pavillon présenté dans la photorama est plus beau que la ville de Le Corbusier, au contraire. L’un est triste, enfermé, sombre, tarabiscoté, l’autre ouvert, lumineux, j’ose dire splendide.

    Mais le premier rappelle des formes connues, rassurantes, et peut-être protectrices, le second plus dynamique, plus incertaine, et anxiogène à une époque de crainte de l’autre.

    Quant aux institutions, quoi de plus institutionnel qu’une cathédrale ? Cela ne l’empêche pas d’être magnifique.

    Le vingtième siècle aussi a construit des œuvres magnifiques. Mais beaucoup sont en péril.

    Devant la folie régressive, il va bientôt falloir classer les HLM de banlieue au patrimoine de l’Unesco !



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 décembre 2011 10:33

    Les mécanismes dont je parle ici concernent la création de valeur à l’origine.

    S’il n’y avait pas cela, ce profit dégagé par les entreprises, les mécanismes financiers, ne pourraient pas fonctionner.

    Les investisseurs en bourse sont les demandeurs de taux de profit élevés, et ce sont bien eux qui poussent les entreprises à obtenir des taux de profit toujours plus élevés. Les nouveaux mécanismes ont créé une sorte de déséquilibre qui a rendu les entreprises « traditionnelles » fragiles. Ceci dit, la bourse fait effectivement bien partie du problème, et de façon importante.

    Quant au crédit, je suis entièrement d’accord, il y a eu là comme une spéculation sur le futur, qui ne pouvait aboutir qu’à la catastrophe.

    Mais si l’on regarde bien, cette montée du crédit est concomitante à l’augmentation de la productivité, qui se traduit par chômage et bas salaires. Pour que la machine puisse perdurer, est intervenu le crédit en remplacement du salaire, ce qui contribue à la catastrophe.

    Je laisse à d’autres le soin d’analyser plus finement ces mécanismes.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 29 novembre 2011 23:38

    Kissinger, celui par qui Pinochet est arrivé au Chili, via le coup d’Etat du 11 septembre 1973.

    Ces gens sont prêts à tout.

    La démocratie a été un argument de vente de leur système, à une certaine époque. Aujourd’hui, il ne sert plus à rien, et la voix directe de la population leur devient même gênante.

    Tant qu’ils peuvent nous manipuler, ils s’en contentent. Mais le jour où cela ne suffit plus, ils n’auront aucun scrupule à organiser une vraie dictature, à la Pinochet, ou à l’Argentine, y compris dans les pays capitalistes centraux.

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