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Krokodilo

Krokodilo

Médecin généraliste, je m’intéresse à tous les sujets sur lesquels je n’ai aucune compétence, ce qui me laisse un large champ d’intervention. A l’époque où j’enquêtais sur les OVNI, j’ai percé le grand secret de la zone 51 : les extra-terrestres sont effectivement venus sur Terre, mais ils ont trouvé l’anglais trop difficile et sont repartis. Depuis, je m'intéresse à la question des langues, de la communication internationale et de l’espéranto.

Tableau de bord

  • Premier article le 06/12/2006
  • Modérateur depuis le 09/01/2007
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Derniers commentaires



  • Krokodilo Krokodilo 29 janvier 2008 15:56

    Mulder 181,

     

    La réponse est déjà votre message : " sauf en amérique du sud ou là, bien sur, mon espagnol est une aubaine."

     

    Donc, pourquoi imposer l’anglais à un enfant dont les parents pourraient pour diverses raisons vouloir l’espagnol, le russe, l’allemand, le chinois en LV1 ?

     

    "c’est une langue relativement aisée à apprendre,"

     

    Je vous renvoie à mon article d’Agora vox sur les difficultés relatives des langues. A force de propagande, on nous a mis dans la tête que l’anglais était facile, ce qui est un mensonge éhonté. Il a une phonétique aberrante, unique au monde sauf erreur, il est truffé d’idiotismes et de doublons de vocabulaire. En outre, toute langue est facile en débutant, d’autant plus que les enseignants expérimentés commenceront toujours par éviter les difficultés, ou les distilleront très progressivement

     

    "Une langue commune pour l’humanité, cela dérange quelqu’un ? Arriver à se comprendre, c’est déjà le départ d’une relation humaine, non ? Il se trouve qu’actuellement, l’anglais domine le monde"

     

    Tout à fait d’accord pour une langue auxiliaire commune, mais le choix doit être basé sur des critères précis, simplicité, facilité d’apprentissage, neutralité relative, internationalité relative, pas sur la puissance économico-politique et les aléas historiques, ainsi que sur le défaitisme des autres langues… Selon tous ces critères, l’anglais est un des plus mauvais candidats au statut de langue auxiliaire internationale !

     

    "Et si certains ne veulent pas apprendre l’anglais, de quel droit empécher son apprentissage à l’école. Il ne s’agit aprés tout que d’un outil comme peut l’être l’apprentissage de l’outil informatique."

     

    Vous posez la question à l’envers : de quel droit imposer l’anglais aux enfants quand leurs parents pourraient vouloir choisir une autre langue ? Si c’est vraiment un simple outil obligatoire au même titre que la géographie, pourquoi l’Union européenne a-t-elle honte de dire qu’elle veut en faire la lingua franca de l’Europe ? L’UE s’est bâtie dans le respect des peuples et de leurs langues. Avec le Chinois, vous pourriez parler à un milliard de personnes !

     



  • Krokodilo Krokodilo 29 janvier 2008 11:49

    Que deux articles ? Je croyais que c’était une vingtaine ! Qui est-ce qui prend trop d’hallucinogènes ?



  • Krokodilo Krokodilo 29 janvier 2008 11:45

    Mescalina,

     

    Je confirme, dans un collège proche, en 6e on ne peut choisir que anglais ou une classe bilingue angl-allemand, ce qui revient à anglais oblgatoire. Et près de la frontière italienne, il arrive qu’on ne puisse choisir italien première langue ! quant à savoir comment ce serait possible de proposer un vrai choix de langues, je vous renvoie à mon précédent article.



  • Krokodilo Krokodilo 29 janvier 2008 11:39

    Donner à un seul soignant le droit de choisir à qui il va prodiguer ses soins en fonction de ses idées personnelles conduirait forcément à des dérives. Les cas extrêmes, du type est-ce qu’un chirurgine doit opérer Hitler de son appendicite ne sont que des exceptions, presque des situations fantasmatiques. Henri Dunant a montré la voie en créant, sauf erreur, la notion d’ONG, d’autorité supra-nationale reconnue par les nations, et le téléfilm a bien rendu à quel point les visionnaires passent pour des illuminés, entourés de gens qui les enjoignent d’être plus réalistes. Gandhi non plus n’était pas réaliste, Zamenhof non plus !

     

    La question n’est pas doit-on soigner les dictateurs, mais comment les conduire devant la justice, c’est-à-dire soutenir le Tribunal pénal international, discuter du droit d’ingérence, etc. Et la réticence des grandes nations est manifeste devant le TPI. En gros, d’abord on soigne le type, puis on le colle en cellule !



  • Krokodilo Krokodilo 29 janvier 2008 11:16

    Ca existe déjà depuis de nombreuses années : le RASED (réseau d ’aide et de soutien aux élèves en difficulté) dépiste ce type d’enfants dès la maternelle, et propose des "cours" de soutien en petit groupe avec une enseignante spécialisée qui leur fera faire des exercices, du mime, des jeux de rôle et toute sorte de "cours" à vocation psychologique. par la suite, une autre structure prend le relai, malheureusement, ce n’est pas toujours suffisant, et j’ignore si ces structures sont présentes partout.

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