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  • Pascal L 24 janvier 2024 13:37

    @Karugido
    Le pouvoir du peuple, c’est quand il n’y a plus de peuple... Cela ne peut fonctionner qu’avec une décentralisation poussée à l’extrême parce que le débat est alors nécessaire pour que chacun en comprenne les enjeux. Mais si nous allons jusque là, les autres groupes sont ignorés et chacun défend sa marmite. Il est toujours possible d’ignorer le monde, jusqu’à ce que le monde nous tombe dessus. Comment alors faire face aux ambitions démesurées de nos voisins ? Comment faire face à un Poutine ? Les républiques grecques ont été dissoutes par la guerre. En Suisse, les problèmes locaux peuvent être résolus par des votations, mais les domaines comme la guerre ou la monnaie ne peuvent être traités qu’au niveau fédéral et l’avis du citoyen de base ne compte pas. En Suisse les frontières linguistiques sont de vraies frontières et il faut entendre les Schwytzophones parler des francophones (et réciproquement)... En habitant un pays plus grand, l’éventail des possibilités est plus grand (études, travail...) mais au prix de quelques compromis. EN France, la difficulté est que la classe dirigeante est séparée du peuple et ne tient plus compte que de son seul intérêt. Cela ne peut aboutir que sur une crise profonde et rien ne dit que la classe dirigeante sera remplacée par une équipe meilleure.
    J’ai tendence à dire que nous ne devons pas voter pour des personnes mais pour des projets. Ceux qui seront chargés de mettre en œuvre les projets devront être choisis par un appel d’offre.



  • Pascal L 24 janvier 2024 11:18

    @rogal
    Ou plutôt : à chacun les croyances qui l’arrangent et pour beaucoup, ce sont des croyances qui effacent la responsabilité. Si Dieu existe, il ne peut être ce que les hommes veulent qu’il soit. 
    Dans le christianisme, il est possible de rencontrer Dieu et se faire son propre avis. Malheureusement, ce qu’il nous dit ne répond pas à nos désirs profonds aussi les croyances les plus invraisemblables ont encore de beaux jours devant elles.



  • Pascal L 24 janvier 2024 11:09

    La constitution de 1958 a aussi eu pour objectif de contrebalancer les excès des 3ème et 4ème république où l’exécutif était soumis aux caprices des alliances des partis. 

    Mais là, ils sont allés beaucoup trop loin dans la suppression des contre-pouvoirs. C’est à la qualité des contre-pouvoirs que nous pouvons juger de la qualité d’une démocratie.

    Un contre-pouvoir doit avoir la capacité de destituer le pouvoir, mais pas selon ses caprices. Il doit suivre un cahier des charges précis. Un pouvoir ne doit être destitué que lorsqu’il n’a pas respecté les règles et le contre-pouvoir doit de même être responsable de ses actes.

    Nous savons que la tentation d’abuser d’un pouvoir est permanente chez l’homme et les règles doivent être construites en ayant cette caractéristique en tête.

    Il est intéressant de constater que les religions que les hommes préfèrent sont celles qui effacent leur responsabilité : soit un dieu puissant qui décide à notre place, soit pas de dieu du tout. Le christianisme est la seule religion qui nous rend libres et responsables, aussi c’est la religion la plus combattue, sauf lorsque l’on arrive à la corrompre (c.f. Russie, ou les systèmes de la commande ou du concordat en France) ou à créer une hérésie (l’arianisme ou l’islam permettent de justifier et d’accompagner le pouvoir et ses excès).



  • Pascal L 23 janvier 2024 22:11

    @Decouz
    Pas de parenté, mais une même manière d’obliger les foules à obéir. Définir un camp du bien et un camp du mal qu’il faut détruire à tout prix pour faire partie du camp du bien. Les deux prévoient un paradis sur Terre à ceux qui obéissent. L’islam est bien une idéologie politique totalitaire. L’islam a fait plus fort en créant de toutes pièces un Dieu puissant qui déresponsabilise les individus noyés dans le groupe. La longévité de l’islam est liée à ce concept mais il devient de plus en plus difficile de maintenir les mensonges des califes car tout musulman qui se pose des questions impertinentes sur l’islam peut trouver des réponses sur Internet. Ce mouvement de grande ampleur est probablement à l’origine d’une augmentation de la violence par les groupes salafistes comme les Frères Musulmans et par voie de conséquence du Hamas qui s’est donné comme mission de détruire Israël.
    « Selon Abou Hourayra (DAS), le Messager de Dieu a dit : L’heure ne se lèvera pas avant que les Musulmans ne combattent les Juifs, au point que le Juif se cachera derrière les rochers et les arbres. Les rochers et les arbres diront alors : « O Musulman ! Voici derrière moi un Juif, viens le tuer », sauf un arbre épineux de Jérusalem nommé « gharqad ». C’est en effet un arbre appartenant aux Juifs » » (le Jardin des Vertueux (Ryad as-Salihin) de l’Imâm Mohieddîne Annawawî)



  • Pascal L 23 janvier 2024 20:56

    @Yann Esteveny
    « Les faits et le réel sont effacés ou travestis pour satisfaire son petit moi tyrannique » Tout juste. L’amour de Dieu implique une réponse qui est amour. Cela signifie que nous sommes libre par amour mais aussi responsables de nos actes, même les plus vils et c’est cette responsabilité qui est rejetée. L’humanité préfère souvent un Dieu puissant dont nous sommes les esclaves (islam) ou pas de Dieu du tout pour ne pas rendre de comptes. Saint Augustin disait que l’enfer est le paradis des orgueilleux. Ceux-ci refusent l’amour de Dieu pour ne pas entrer dans un chemin de pardon.
    Un Dieu inventé par les hommes pour satisfaire nos désirs est une chimère. Dieu EST indépendamment de notre volonté et nous ne pouvons que nous incliner et accepter ce qu’il nous dit de lui..

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