« seulement encore faut-il qu’il y ait des convictions, des sympathies, de la confiance ! »
Ou des bleuets,des narcisses ou des coquelicots !
Sinon, pour celles (ceux) qui ont ce qu’il faut sous la main (?) reste la pêche (mais moi, les poissons je leur fous la paix, et en plus ils ne sont pas responsables de la connerie des « zélecteurs » français)... ou pourquoi pas les « galipettes » !
Ce qui a marché c’est la fabrication par l’oligarchie d’un pantin capable de dire tout et son contraire pour attraper les « gogos de droite » et les « gogos de drôôôche », soutenu par une campagne marketing copiée sur celle utilisée pour vendre un yaourt au « bi fidus actif » et implanté après lobotomisation dans les cerveaux à coups de sondages bidonnés et de médias aux ordres.
Mais comme cette vérité-là elle égratigne votre égo, vous préférez feindre la dissonance cognitive.
A lire les réactions des UPRistes, je crains qu’il vous faille vous préparer à l’être (encore) beaucoup (plus que les « autres »)
Ca rejoint un com que j’ai posté un peu plus haut et que je vais reformuler par une métaphore« .
Quand mes fils étaient plus jeunes et qu’ils ramenaient des notes insuffisantes, ils m’expliquaient (comme le font tous les mômes) que ce n’était pas de »leur faut« .
Un prof qui les avait pris en grippe ou qui ne leur avait pas accordé suffisamment de temps, etc.
Quand les commerciaux que j’avais »formés« et que j’encadrais revenaient »bredouilles« plus souvent que la moyenne de leurs »visites clients« , ils avaient eux aussi toujours une tonne de »bonnes raisons« d’avoir échoué.
Alors je commençais par leur rappeler que j’étais le premier responsable.
Je n’avais pas su ou n’avais pas trouvé les bons mots pour leur faire comprendre cette notion capitale.
Tant que l’on consacre son énergie à se chercher des excuses ou à rejeter sur »l’autre« la responsabilité, on en oublie d’analyser objectivement son propre comportement, ce qui parfois (souvent) permet de réaliser qu’on a soi-même commis des erreurs voire que l’on est le seul et unique responsable de la situation.
Et comment peut-il être envisageable d’éviter de re commettre des erreurs quand on n’a pas pris conscience que c’en sont ?(comme disait Dalida)
Quelques autres exemples de la »lucidité« assélinnienne.
Ceux que ça peut amuser peuvent relire TOUS les commentaires UPRistes »du lendemain du jour ou LA surprise n’a pas véritablement été celle annoncée depuis des mois !« sous le prisme de ce que je viens d’écrire (mais dois-je préciser que le »concept n’est pas de moi )... ils ne seront pas déçu
Exemples :
« La vérité, c’est qu’il est difficile, surtout en France, d’avoir raison avant tout le monde.. »
« Il faudra donc que des événements graves surviennent pour que les gens commencent à comprendre et à percuter les vérités d’Asselineau pendant cette campagne ! »
Mais le Harcèlement, l’arrogance, la morgue, les mensonges éhontés, les procédés infâmes, les insultes... bien sûr n’ont en aucune façon participé à la déroute !
Quant aux élucubrations et autres exagérations (« la progression exponentielle », « la fulgurante progression », « l’irrésistible ascension » etc. etc.... rien de tel pour « crédibiliser » un discours !
MOI , J’aurais « choisi de sauver l’UE à tout prix dans le dernier mois... » ?
Le vote de certains souverainiste « [M’] aurait manqué » ?
Comme la plupart des UPRistes, vous êtes devenus tellement monomaniaque, vous faites une telle fixette sur Asselineau, ses certitudes qui sont devenues les votres que vous en êtes incapable de LIRE un commentaire (je veux dire par là de chercher à en comprendre la « substantifique moelle »)
Vous n’en voyez (et donc n’en retenez) que ce qui vous chagrine.
Qu’au fur-et-à-mesure, vous ne vous soyez pas fait une idée ne serait-ce qu’approximative de mon profil est compréhensible compte-tenu du nombre d’interlocuteurs qui interviennent sur ce site.
Alors je vais tenter de le résumer en allant à l’essentiel.
Je n’ai « ni dieu ni maître » et je ne crois pas au concept de « l’homme providentiel ».
Contrairement à Asselineau et pour paraphraser E. Chouard (qui cite, Hippocrate) je considère que ce à quoi il faut s’attaquer PRIORITAIREMENT, c’est à « La cause des causes ».
Et si l’UE, les traités, touçatouça sont effectivement un boulet au bout d’une chaînequinous entrave et qu’il serait judicieux de scier, LE problème principal (la « caisse à outil » où l’on trouvera la scie ou la lime qu’il faut se procurer pour espérer pouvoir scier la chaîne du boulet) est le système électif... !!!
La preuve en a encore été faite hier, l’oligarchie dispose avec ce système et grâce à sa puissance financière de l’arme quasi infaillible pour faire « élire » un des « larbins » qu’elle aura désigné pour défendre ses intérêts.
Le « piège » nécessite de temps à autres quelques petites modifications/améliorations mais il fonctionne depuis plus de deux siècles.
Il serait trop long de vous expliquer le raisonnement « échiquéen » qui me faisait préférer voire Mélenchon au second tour mais ce n’est surtout pas par une forme d’idolâtrie béate semblable à celle des UPRistes et de leur sauveur suprême.
Mais puisque vous me rappelez que la défaite de Mélenchon était « annoncée » alors il faudrait que vous surpassiez de dix têtes en MFGE * le plus mauvaise foi de vos compagnons de combat pour prétendre que celle de votre charismatique Maître à Penser l’était« »légèrement« plus.
Et il faudrait que vous le soyez encore plus pour ne pas reconnaître que si pour l’un le résultat est sans appels, pour l’autre, il n’a pas manqué grand-chose. (un ensemble de motifs que je vous sais assez intelligent pour les deviner pour peu que vous redeveniez apte à un minimum d’objectivité)
J’ai eu la chance de croiser des personnes qui m’ont appris qu’il n’existe pas d’échec mais seulement des erreurs.. à condition de savoir les reconnaître pour éviter de les reproduire.
Errare humanum est...Perseverare, diabolicum)
On ne refait pas le passé.
Mais je vous le dis clairement :
Mélenchon n’a jamais été mon idole, je suis en désaccord avec un certain nombre de ses opinions, je n’ai réellement confiance en AUCUN politicien professionnel, La »constituante« version FI m’apparaissait »très loin du compte« ...
mais j’aurais préféré le voir lui plutôt que le chouchou Rothschildien des médias en finale contre MLP !
Peut-être parce qu’à l’école primaire j’ai appris la fable du Héron de La Fontaine.
»...
On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Gardez-vous de rien dédaigner ; Surtout quand vous avez à peu près votre compte.