Je suis assez d’accord avec l’article.
J’ai eu le livre de Todd sur l’étal d’une librairie, bien sùr, je ne l’ai pas lu dans son ensemble, mais ceci ressemble tout de même à une démonstration pour laquelle la conclusion est connue d’avance.
Quant à la notion de « catholiques zombies », franchement, quoique résoument athé, cela me choque. Qu’est est-il alors des islamistes cagoulés et armés de kalachnikov qui desccendent des intellectuels qui ne pensent pas comme eux ?
Car c’est bien de la liberté de penser dont qu’il est qustion, et la liberté de ne pas être d’accord l’un avec l’autre. C’est la base de la démocratie. Et pas la défense de la religion catholique.
Alors, effectivement, il y a les inégalités sociales. Mais cells-ci ne sont à combattre via la religion, l’appartenance ethnique, ou culturelle, mais avec les moyens du politique, et une vraie crituque du libéralisme, au-delà du systéme capitaliste lui´meême, et surtout pas de la liberté des femmes ou de la liberté d’expression.
Todd fait comme si l’bsence de formation à la cotoyenneté, l’absence de conscience pooitique et économique justififiait une quête de différenciation par l’intolérance de l’autre.
Car il faut tolérer l’islam danms sa composante modéré, mais pas ceux dont le but est l’abolition de notre démocratie, et dont le moyen est le meurtre.
Ceci dit, je sens que Valls et Hollande ont trahi « l’esprit du 11 janvier » :
* l’un en faisant voter une loi liberticide telle que ce commentaire sera bientôt considéré comme suspect : C’est-á-dire qu’au nom de la défense de la liberté, il supprime cette même liberté.
* l’autre en se vendant aux régimes contributeurs de l’intégrisme le plus archaïque, les pétromonarchies du golfe. Il appuie par là les régimes les plus archaïques de la planète, et qui nous menacent directement (via le soutien soujacent aux ultra-radicaux)
*Lorsque valls critique officiellement Emmanuel Todd, il enfreint son rôle et donne á voir une dérive qui frise la dictature.
Car même si je peux éprouver une gêne face au livre de Todd, il est évident que ce livre, par son existence même, a le mérite d’ouvrir un débat nécessaire.