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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

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  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • easy easy 11 février 2013 14:38

    Moi aussi je suis hétéro (conditionnement, toussa)

    Il s’est déjà dit des montagnes de choses sur ce sujet et je ne vois pas d’utilité à les répéter.

    Je vais vous offrir une formulation ou considération que vous n’avez encore jamais entendue.

    Dans la vie, on éprouve différentes sortes d’amour (D’autres peuples ont 36 noms pour les différentes amours) 
     
    Chacun aime des choses et les gens selon différents types d’amour et chacun sexe selon un certain type d’amour qui tient alors très fortement compte du sexe du partenaire.

    Si l’amour envers les parents n’a pas à être de type sexuel alors il n’est pas indispensable qu’ils soient de sexes différents. 

    C’est en distinguant les parents par leur sexe qu’on peut en venir à les aimer pour leur sexe
    C’est quand on vit avec des parents sexuellement démarqués qu’on peut finir par en aimer un pour son sexe.
    C’est dans la structure familiale classique que l’enfant doit lutter et refouler un sentiment d’amour sexué puisqu’il voit une solution interne « Plus tard, je veux me marier avec toi papa ». Et c’est l’observation de la rue, de la moyenne des cas qui l’entourent, qui convainc l’enfant de sortir de sa famille. Au prix d’un deuil alors.

    Dans d’autres sociétés, on laisse les jeunes filles vivre avec le groue des femmes et les jeunes garçons vivre avec le groupe des hommes. Dans chacun des ces deux ensembles, il y a des initiations sexuelles mais elles ont un caractère provisoire et chacun sait que le jeune aura sa solution sexo-procréatrive en dehors de son ensemble. Aucun enfant ne fantasme de se marier avec qui que ce soit de son ensemble. Les enfants n’ont pas à refouler quoi que ce soit. Ils vivent la rue constamment ; ils ne font pas de deuil relationnel et ne connaissent pas le complexe d’Oedipe.

    Reste alors à dire ce qui se passe quand deux parents d’un même sexe élèvent un enfant d’un autre sexe. Pendant la phase non rue où l’enfant est trop confiné dans son foyer, il peut vouloir sexer avec ses parents. Mais quand il découvre la rue, ce qui se produit assez tôt, il refoule et se tourne vers l’extérieur. 

    Dans les deux cas, élevé par des parents hétéros ou par des parents homos de sexe différent de lui, l’enfant doit donc refouler la solution incestueuse trop facile en considérant la rue. Mais il le fait plus facilement dans le cas des parents homos puisqu’il n’intéresse sexuellement aucun des deux. Il ne peut pas jouer de la jalousie.

    Alors qu’un enfant face à deux parents hétéros peut facilement les déchirer en minaudant l’un.

    Si un enfant est élevé par des homos de même sexe que lui, il peut bien entendu concevoir une solution de vie incestueuse mais avec lequel des deux ?
    Il ne peut ni concevoir que le couple passe trio, ni de faire couple avec l’un des parents. Il se retrouve dans la situation des enfants des autres peuples qui sont élevés avec des groupes parentaux de même sexe qu’eux.



     
    La formule classique que nous appliquons ici est loin d’être la plus simple et exige un énorme refoulement. Elle exige la constitution d’un tabou et se réalise très souvent par un biais agressif, rancunier. Notre formule classique (née d’une considération matérialiste sur base d’héritage, de lignage) crée un dépit originel et une tension permanente.

    C’est ce qui nous a conduits à inventer des cohortes de psys et des antidépresseurs



  • easy easy 11 février 2013 13:36

    Lorsque je jouais cette sonate, autrefois, j’avais cru à son titre en clair de Lune et je ne voyais que ce contexte de solitude, de musique à soi-même.

    Lorsque j’ai entendu la Goutte d’eau de Chopin, j’avais cru en son titre, en ce contexte de pluie.
    Mais récemment, alors qu’un ami jouait la Goutte pendant que la pluie battait contre les vitres du château, j’y ai soudain vu les dernières minutes de la vie.
    J’entendis alors trois musiques, celle du battement de coeur (pris pour goutte) celle de l’âme le s’efforçant de chanter le plus à la destra possible et la Loi de la Mort à la senestra, très impérieuse, à laquelle finit par céder l’âme.
    Je vois un duel entre la mort et la vie légère qui essaye de s’enfuir vers la droite du clavier mais qui s’épuise et finit par céder en mourant au milieu du clavier.


    Partant de ma vision funèbrissime de la Goutte d’eau, je ne parviens pas à trouver funèbre le Clair de Lune où la main gauche joue davantage la même musique, le même rythme que la droite.



  • easy easy 10 février 2013 17:00

    *** Je dis juste que votre pseudo argumentaire n’apporte aucune preuve de ce que ce lien n’existe pas et la manière dont il prétend pourtant le faire n’est pas indicative de la prudence et de la pondération qu’on attendrait d’un mouvement tel que le vôtre.***

    A la base de la vaccination, on a des médecins qui ont fait ce qu’ils ont pu pour trouver une solution scientifique (dont les résultats sont observables et reproductibles) . Ces médecins ont souvent pris des risques sur eux-mêmes pour expérimenter en s’inspirant de quelques pratiques paradoxales mais efficaces (sans même qu’on pige pourquoi)
    Les Jenner, Pasteur, Yersin...on parfois triché sur le plan de la paternité du concept, ils ont parfois tiré sur l’élastique des interprétations de résultats mais comme in fine, sur la masse, il fallait prouver, ce qu’ils ont fait a été globalement scientifiquement validé.

    Il se peut, mais c’est une autre problématique, que ces réussites provoquent à terme des ruses microbiennes. Le fait que les microbes trouvent des solutions au fil des décennies pour nous attaquer autrement pourrait remettre en cause la vaccination si la balance penchait nettement du mauvais côté.

    Mais les ruses des microbes ne peuvent pas faire des pères de la vaccination des salauds.

    Si une industrie a prospéré dans le sillage de médecins honnêtes, convaincus de sauver le monde, pourquoi devrait-elle être devenue vilaine ? 

    Pourquoi l’industrie du médoc est-elle aussi diabolisée que si ses pères étaient des diables avérés ? 



    De nos jours, les Viets galèrent des productions de Monsanto. Ils savent ce que nous savons.
    Mais ils font la nuance entre deux qui produisent mille sortes de poisons marqués poisons et ceux qui produisent des médocs marqués médocs. 
    Ils se doutent que les médocs ne sont pas la panacée absolue, qu’il se produit des accidents, de même qu’en chirurgie. Mais ils ne sont pas conditionnés depuis 2000 ans par la diabolisation. 
    Du reste, ils en sont toujours à considérer qu’un ennemi peut être rééduqué, converti. 

    Sont-ils trop naïfs de ne pas diaboliser les Français, de ne pas diaboliser les Américains ? 
    Non, ils ne sont pas naïfs mais ils ne savent pas diaboliser, c’est tout. Ils ne croient pas au diable, pas plus qu’à l’archange.


    Concernant les producteurs de médocs, j’en sais autant que n’importe qui sur leurs dossiers mais je ne conçois pas de les diaboliser.

    Je peux concevoir qu’un vaccin pose parfois des problèmes. Je peux concevoir qu’un engrais puisse avoir des conséquences fâcheuses, que l’automobile et le chauffage urbain puissent nous polluer. Mais mon premier, second et troisième réflexe, face à un gosse malade, n’est pas de brailler qu’il a été empoisonné par un vilain producteur de vaccin.
     
    Il me faudrait voir des vaccinés tomber par touffes pour commencer à dire que les vaccins sont plus mauvais que bons et même là, je dénoncerais ces mauvais résultats sans pour autant diaboliser les fabricants de vaccins.

    La diabolisation, le réalisons-nous, est définitive.

    Diabolisons les politiques, les animateurs de télé, les profs, les médecins, les ingénieurs d’EDF et de Renault, les supermarchés, les acteurs exilés, les labos, les flics, les proprios, les restaurateurs, les curés, les journalistes, ceux qui dépassent à droite, les PNM, ceux qui sifflent dans les églises, les pétroliers, les producteurs de lasagnes, les distributeurs d’eau, les banquiers, les opérateurs téléphoniques, les retraités,...Pays de diables alors.


    Comment un enfant peut-il constater une ambiance aussi comminatoire où tout le monde diabolise tout le monde sans avoir le sain réflexe de se réfugier dans quelque sorte de bulle ?

     



  • easy easy 10 février 2013 13:24

    Beaucoup de vaccins sont obligatoires

    Pour une partie des parents c’est contrariant
    Pour d’autre c’est arrangeant

    Tout se joue après le drame
    C’est après l’accident qu’on voit chacun hystériser en « Je l’avais bien dit que ça arriverait »

    Si un parent vaccine et que ça tourne mal, il dira qu’il y avait été obligé par la loi
    Si un parent ne vaccine pas et que ça tourne mal, il dira qu’il avait entendu des choses terribles sur les vaccins.

    Mais dire, après l’accident « C’est de ma seule faute », personne par ici ne sait faire.
    Et cela à cause du jeu triangulaire de l’abrahamisme



  • easy easy 10 février 2013 12:08

    ****Vous avez été de bout en bout sur ce fil d’une arrogance et d’un mépris insupportable qui nous montre à l’évidence votre totale indifférence à l’égard des enfants autistes et de leur souffrance.****

    Posture archangiste typiquement française (et consorts).

    Il y a des peuples où personne n’a idée de se poser en « plus sensible que d’autres » à la cause de victimes et d’en tirer alors une autorité morale

    Le triangle de Karpman est notre figure préférée depuis 2000 ans


    Ahhhh que le monde aurait été différent si Vercingétorix n’avait pas été si indifférent à la cause des autistes !

     
    T’imagine, si Pilate avait été bouleversé à la vue d’un crucifié !
    Qu’est-ce qu’on s’emmerderait aujourd’hui



    Au fond, sans jamais avoir versé dans notre empathisme pathétique, les autres peuples se sont tout de même démerdés pour trouver un modus vivendi leur donnant l’impression que la vie était intéressante

    Leur très gros souci n’était pas de régler des cas bizarres, des maladies rares mais de trouver une solution aux ravages des épidémies.
    Je dis « trouver » mais je déconne car ils ne concevaient même pas qu’il puisse exister une solution radicale à part clouer quelques crapauds. 

    On aurait dit aux Occidentaux du XIXème n’en démordant pas de la vie en cité qu’il existe un élixir leur évitant de choper la tuberculose, la syphilis, la polio, le choléra, la peste, la variole, la lèpre, la grippe espagnole, quitte à devoir, une fois sur cent virer fou ou légume, beaucoup l’auraient avalé.

    Ce qui est ennuyeux avec les vaccins c’est qu’il faut les inoculer aux enfants et qu’il faut donc en décider à leur place. Quand tout se passe bien, roule ma poule ; mais quand il y a un problème, les parents décideurs sont rongés et tirent alors à vue.
    De toutes manières, quand on vit une turpitude, on fait tout ce qu’on peut pour en imputer la faute à d’autres. 

    (Et c’est une très grande turpitude que de ne pas posséder le pouvoir thaumaturgique, que d’être incapable de sauver un malade ou infirme qu’on nous présente. De quelque peuple qu’on soit, on apprécierait énormément de posséder ce pouvoir et bien plus pour soulager les autres que pour se soulager soi-même. C’est étrange mais constant)


    A vivre entassés et à voyager autant, nous favorisons l’apparition constante de nouvelles maladies. Mais les mesures sanitaires actuelles, en dépit des cas de vaccination qui tournent mal, offrent à chacun et en moyenne, une espérance de vie que ceux du XIXème nous envieraient probablement.



    Il y a 8 millions d’accidents de la vie par an, en France, dont 20 000 décès (dont 4000 de la route) 
     

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