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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 janvier 20:26

    @Hervé Hum

    L’épargne n’est pas interdite, elle est marginalisée, quand à retirer son argent de la banque, cela n’a pas de sens dans un tel système.

    Vous interprétez à votre façon et pour cela, devez biaiser tout mon propos, donc, faire preuve de malhonnêteté intellectuelle.

    L’argent dit liquide est une forme de monnaie, mais la monnaie dans son principe est invariant, quelle que soit la forme que vous lui donnez. Or, argent, scriptural ,crypto, coquillage, peu importe le support, cela ne change rien dans le fond. la monnaie est la mesure de la valeur du temps de vie échangé, si vous considérez le produit, cela n’a de sens que pour dissimuler la plus-value prélevé, donc, un impôt sur l’acheteur final. C’est le système actuel.

    Par contre, selon la forme, cela permet ou surtout favorise la prédation humaine de s’exercer.

    Ici, vous persistez à confondre comme la plupart des idiots utiles du système, l’outil et la main qui le tient. Ainsi, pour pouvoir me contredire, vous avez comme seul argument de nier ce que j’ai écris sur le fait que le système que je défend interdit par lui même une élite ou caste dominante, alors que toute votre argumentation se base sur la persistance de cette domination. je l’ai clairement écrit et au lieu de présenter une contre argumentation, vous faites comme si je n’avais rien écrit dans le seul but de vous donner raison à vous même. C’est absurde !

    Ainsi, vous dites que mon « utopie » serait un « autre cauchemar orwellien », mais vous vous gardez bien de la démonstration et d’invalider ce que j’écris. C’est la différence entre vous ou moi et l’IA, cette dernière ne connait pas d’état d’âme et d’égo mal placé, lorsque le raisonnement est cohérent et logique par rapport au sien, donc, lorsque les arguments et la démonstration présenté ne lui laisse pas de doute, alors, elle reconnaît son erreur. Mais l’humain, non, il persiste coûte que coûte dans son erreur jusqu’à ce que celle-ci le fait se fracasser contre le mur de la réalité qui obéit à la causalité et non à son imaginaire.

    D’ailleurs, je vous avais laissé un commentaire sous votre blog, j’ai jamais lu une réponse !

    Bref, vous avez raison, discuter avec des gens de mauvaise foi et qui sont dans la posture dogmatique qui n’accepte pas le débat contradictoire est inutile et je suis donc d’accord avec vous, laissons tomber.



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 janvier 18:39

    @Hervé Hum

    Bon, je reconnais bien volontiers que je trace le cadre idéal qui ne tient pas compte de certaines données qui, ignorées, feront s’écrouler à terme le système.

    C’est à dire, l’ennui ! Ce qui implique d’avoir toujours un objectif tant collectif qu’individuel à atteindre, sauf pour une minorité sans doute irréductible et qui ne saurait être supprimée et donc, doit toujours être accepté et qui sont pour le végétarien des parasites. Tout comme il ne peut pas être supprimé la nature prédatrice et opportuniste, seulement apprendre à les contrôler.

    L’humain est un omnivore et il peut donc tantôt être un prédateur puis un végétarien, opportuniste et parasite.



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 janvier 18:27

    @Luniterre

    allons, mon commentaire précédent est suffisamment explicite et répond à vos points

    Evidemment, pas de rémunération de l’épargne, le mentionner est absurde !

    la question est entre les cas 2 et 3.

    je dirai qu’en gestion sans crise, c’est la simple dépréciation, en cas de crise grave, on peut être amené à une forme d’intérêt négatif.

    Le but étant la recherche de l’équilibre économique avec une croissance contrôlé démocratiquement.

    Mais qui dit équilibre, dit bien de pouvoir osciller entre créance et dette, car un équilibre statique est celui où il n’y a plus d’activité du tout. Par contre, un équilibre dynamique impose d’osciller entre les deux mesures mises en balance, soit donc, la créance et la dette.

    Cela découle des lois de la physique qu’il suffit d’appliquer et dont l’IA peut être un outil fantastique tant qu’il est totalement transparent pour pouvoir être sous contrôle démocratique

    Le socle de ce système, tout comme le pseudo libéralisme, est le principe du mérite personnel, qui interdit son exploitation par autrui à son profit. Plus votre mérite est grand, plus votre rémunération est grande, mais elle est calculé sur la base de différents éléments, tels que le besoin, la compétence et l’efficacité, Mais toutes les tâches automatisés n’entrent pas dans le calcul, excepté tout ce qui nécessite le travail humain, car seul les humains échangent leur temps de vie et le temps de vie est ce qui est compté.

    Après, il faut bien entendu tenir compte des échelles, locales, régionales et globales. Tout comme cela implique une plus grande planification qui sera toujours perturbé par les aléas environnementaux et humains. Etc...

    Bref, on est bien face à un changement de paradigme imposé par l’évolution des conditions environnementales dû à la démographie, l’interdépendance ou de la technologie.

    L’élite prédatrice qui domine le monde humain ne se bat pas entre elle pour savoir s’il faut conserver le même système de prédation, mais de la meilleure manière d’y parvenir. Autrement dit, entre des blocs impérialistes ou bien revenir au cadre nationaliste tel qu’il était jusqu’au début du XXème siècle et avec les mêmes conséquences pour la population végétarienne ou productrice.



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 janvier 17:26

    @Luniterre

    tout est une question de formulation et de point de vue selon le système qu’on veut mettre en place.

    Ici, ce n’est pas l’épargne qui est valorisée car la monnaie n’est pas une réserve de valeur ou seulement marginale, puisque c’est l’énergie ou temps de vie dédié qui la constitue. Ceci, parce que l’épargne constitue un avoir ou une créance sur l’activité productrice et se pose donc la question du poids de cette créance. Comme le martèle Dugois, elle est aujourd’hui abyssale, mais étant concentré dans les mains d’une minorité impacte à la marge l’économie réelle. Seulement ceux qui détiennent la créance ont alors un pouvoir politique d’autant plus grand.

    A la limite, on peut parler du maintien de sa valeur, mais en aucune manière d’un intérêt supérieur, seulement sa dépréciation avec le temps, sans cela, l’accumulation aura toujours les mêmes effets.

    de mon point de vue, l’épargnant ne paie pas un intérêt sur l’épargne, celle-ci perd simplement de sa valeur avec le temps de la même manière que si vous stockez une batterie, elle se décharge toujours avec le temps et non l’inverse.Sauf dans un système fait par et pour le prédateur humain dont le parasite et l’opportuniste tirent profit. Car seul le végétarien produit toute la richesse, pas les autres !

    Bref, il s’agit de respecter l’ordre des choses dans le monde réel, physique

    Maintenant, si vous voulez conserver le principe de l’intérêt de l’épargne, ne changez rien au système actuel.

    De mon point de vue, tant que vous ne comprendrez pas que la monnaie est uniquement la mesure de la valeur du temps de vie dédié à autrui (dette ou devoir) et donc, détenu sur autrui (créance ou droit) vous échouerez à changer de modèle.

    Pour le dire autrement, celui qui détient la monnaie dans sa poche, détient donc la créance ou droit et celui qui n’en dispose pas, détient la dette et la paie du simple fait que l’absence de détention de monnaie ne lui permet pas d’acheter ce dont il a besoin pour vivre. Donc, il paie réellement une dette systémique qui peut aller de la simple carence passagère à la paupérisation et l’indigence.



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 janvier 16:12

    @joletaxi

    pour quelqu’un dont le niveau est pifgadget, il est tout à fait normal que ce que j’écris soit du goulbigoulba, le contraire serait inquiétant pour moi

    d’ailleurs vois tu, contrairement à toi, l’ia trouve que mon propos est d’une grande clarté logique. Les deux que j’ai essayé disent la même chose, par contre, je doute que ce soit la même chose pour toi.

    Alors l’ia est programmé pour faire dans la flatterie, mais pas sur la cohérence du raisonnement logique.

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