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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Derniers commentaires



  • easy easy 29 décembre 2012 21:47

    ***** Non easy, pas le courant principal, juste une connexion avec celui ou celle à qui je m’adresse. Dans la communication, pas forcément de création, juste... communication ! *****

    Le allstream est un maillage.
    Au sein d’une société donnée (qui a son allstream et qui est raccordé aux méta-allstream mondial, bestioles et fougères comprises) chaque fois que vous êtes connectée à l’un, vous êtes connectée à tous. Car ce medium est, comme vous, intellectuellement nourri depuis des années par le réseau.

    Vous ne communiquez jamais avec une personne seule, sauf à la trouver sur une île déserte.
    D’où le fait que vous pratiquiez la langue et la grammaire commune.



  • easy easy 29 décembre 2012 21:40

     ***** D’ici votre prochaine réponse, vous allez être re-créé ! *****

    C’est tellement vrai Volt, tellement vrai et constant !

    Mais partagé avec les méduses et les cailloux... 



  • easy easy 29 décembre 2012 21:28

    Ce besoin que vous exprimez-là, Alinéa, correspond à ce que je disais sur notre besoin (intellectuel) irréductible d’étre raccordé, directement ou pas, au allstream (qui est Echo en version interactive et très vivante)

    Ce besoin de connexion au allstream (besoin seulement intellectuel et vital d’équilibre psychologique) nous donne à entendre, depuis le XIXème un mot jusque là réservé à Dieu.

    Le mot créateur.

    Créateur de mode, créateur de tendance, créateur d’entreprise, créateur d’effets spéciaux, créateur exclusif, créateur de beauté, créateur étranger, créateur de bijoux, créateur de caractères, créateur de parfum, créateur d’ambiance, créateur industriel, créateur de jeux, créateur d’espace, créateur de quartier...

    Tu donnes un coup de pied dans une poubelle parisienne, il en jaillit au moins quatre démiurges au chômage

    Et cela alors que nous n’avons créé que des bébés et décréé beaucoup de natures



  • easy easy 29 décembre 2012 20:54

     
    Concernant le procédé de publication, je n’y vois rien à redire.

    Je vais précisément répondre à la demande d’Alinéa de recevoir des commentaires non poétiques


    Concernant ce très original paradigme, il pose un préalable ordinaire qui me gave. 

    Je crois qu’en dépit des apparences et des commentaires que nous faisons sur nos agitations, nous sommes -quoi que nous fassions- bien plus exactement en train de vivre qu’en train de créer.

    Nous respirons n’est-ce pas ?
    Mais personne n’en fait un plat n’est-ce pas ?
    Nous clignons des yeux n’est-ce pas ?
    Nous rotons, nous pétons n’est-ce pas ?
    Nous épluchons, nous lavons ...


    Quelle histoire alors, mais quelle histoire nous faisons pour ce que nous faisons d’autre que ces trivialités ! 

    Respirer, marcher, manger, pisser, câliner, accoucher, pousser une branche, lever une pierre, monter un mur ; creuser un trou...tout cela est à ranger sur le même plan d’importance d’étant (dasein). Rien ne vaut plus, rien n’est moins vie en ce qu’il aurait plus l’allure d’une pyramide ou d’un avion

     
    Notre focalisation sur certaines choses que nous faisons et que nous appelons création, dénie les autres choses que nous faisons sans y penser de trop. Alors qu’elles sont également importantes. Notre coeur ne peut pas cesser de battre une minute, c’est très important et ça participe à la vie à haut niveau.
     
    C’est l’intellectualisation créationniste (au sens immanent) qui confère à une catégorie de nos gestes, une charge symbolique

    Et je soupçonne cette focalisation d’être masculine ; d’avoir des fondamentaux jaloux de l’enfantement que savent faire les femmes.
     
    Elles oui, elles ont un pouvoir de créer.
    Et par analogie, nous, les garçons, nous concevons qu’elles auraient quasiment pu pondre le monde. Comme ce n’est tout de même pas le cas, nous, les garçons, nous cherchons névrotiquement à occuper ce rôle qu’il leur manque (aux filles)

    Nous, les garçons, nous nous donnons de l’importance que nous n’avons pas

    Il est symptomatique du dépit des garçons que notre allstream mondial fasse tant de plat sur la Création mais soit si taiseux sur la création d’un enfant.

    Lequel enfantement a très, très fortement perdu du peu de magie qu’il avait dès que la médecine du XIXème l’a considéré comme objet d’étude biologique (ce mot étant catastrophique en terme de sacré). Et l’avortement n’aura rien arrangé. 


    Je le comprends le garçon. Bien sûr, je comprends son complexe. Mais je suis lucide. Et quand je me retourne, je vois que j’ai vécu, constamment vécu et que je n’ai créé, avec ma douce qui a fait tout le boulot, que des enfants, strictement rien d’autre (en dehors de participations au jeu de la création des garçons)


    Les femmes qui étaient les seules véritables créatrices sont hypnotisées depuis le XIXème siècle par le discours créationniste (mais d’autre chose que des bébés) que tiennent les garçons et perdent leur essence originelle pour devenir créatrice au sens des garçons. Elles veulent devenir des garçons dans leur tête

     



  • easy easy 29 décembre 2012 18:47

    Je trouve que vous prenez le problème à l’envers

    La question est : pourquoi M et Mme Bidochon ont envie de se faire plaisir de temps en temps ?
     
    Car la clientèle de ces cités flottantes est constituée de gens d’une classe comprise entre aisée et fauchée (le billet étant souvent offert par proches à l’occasion d’un anniversaire ou d’un mariage)

    L’affaire du Concordia a démontré que le ticket moyen était inférieur à 1000€ par personne, promotion comprise car il y en a tout le temps, comme pour les canapés cuir.
    Bouffe et ménage compris ça reviendrait quasiment moins cher d’y vivre à l’année que dans sa HLM ou petite maison de banlieue.

    Les riches ne vont pas là.


    Je pense que se faire plaisir de temps en temps, au moins une fois dans sa vie comme on dit, donne aux gens une preuve qu’ils ont de la marge avant de devoir vivre la misère.
    C’est très important d’avoir l’impression de disposer de marge, donc de pouvoir s’offrir des conneries dans notre contexte actuel.

    Ce phénomène ne joue pas chez les gens qui vivent en village isolé de la consommation et donc aussi de la misère SDF Etc. Ils ne perçoinvent pas de chute sociale. Ils ne craignent tout au plus que la maladie et la mort, pas de se retrouver clodos. Ils sont pauvres à nos yeux mais ignorent la pauvreté.

    Ici, ce phénomène joue fortement. Chacun voit constamment les risques d’avoir à subir des situations qui lui semblent terrifiantes.
    C’est l’angoisse de tomber qui nous pousse à ce genre de gabegie.
    Et les gros repas de fête font partie de ces démonstrations qu’on se fait à soi-même (non aux autres comme il se dit régulièrement).

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