Le clown sinistre qui sert de « Président » à ces pauvres « iraniens » a reçu l’accueil qu’il méritait de la part de Lee Bolinger, le président de Columbia University (« In lumine tuo videbimus lumen ») et de la part de ses étudiants, qui ont été contraints par la politesse de recevoir le tyran sur le Campus de Morningside Heights.
Dans son adresse à Ahmadinejad, Lee Bolinger a déclaré :
« Mr le Président, vous exhibez tous les signes d’un cruel et insignifiant dictateur. Lorsque vous venez dans un endroit comme celui-ci, celà vous rend tout simplement ridicule ».
Rappelons qu’Ahmadinejad avait aussi voulu souiller de sa présence le site de « Ground Zero » et que la police New Yorkaise a pu in extremis interdire sa présence sur les lieux du crime, « pour raisons de sécurité ».
Honte à tous les domestiques de l’islamisme, qui se manifestent une fois de plus à l’occasion du x ième article de notre Quebecois d’adoption, en service commandé sur les fora d’Agoravox : Pierre R.
Nos amis islamistes ont bien compris que la chute du régime sanglant du dictateur sunnite Saddam Hussein est un pas en direction de la solution négociée du problème de la Palestine Arabe.
Un pas vers la création de l’Etat arabe de Palestine dont les Nations-Unis ont prévu la création en votant, à une écrasante majorité, la résolution 181.
Ils comprennent tout aussi bien que la chute du régime pourri des ayatollahs de Téhéran, serait un second pas.
Et que la chute du régime de Bachir al Assad serait le dernier pas.
Depuis 60 ans, les arabes refusent de créer leur propre Etat, comme les Nations-Unis les y ont invité, car la création de leur Etat vaudrait reconnaissance de l’Etat d’Israël.
Ils s’aperçoivent, un peu tard, que leur entêtement, loin de faire disparaitre Israël comme par enchantement, risque aujourd’hui, tout au contraire, d’entrainer la dispartition des cartes et la partition de certains Etats arabes et musulmans de la région.
L’arroseur arrosé, en quelque sorte !
Et certains d’entr eux veulent la guerre ! Pauvres vermisseaux belliqueux, les raclées qu’ils ont reçu ne leur ont pas servi de leçon. Ne voyez-vous donc pas qu’Allah vous a abandonné à votre triste sort ?
Vous n’aurez pas affaire seulement à Tsahal la prochaine fois et le coup que vous recevrez vous mettra à genoux pour les cinquante prochaines années, jusqu’à ce que l’épuisement de la manne pétrolière fasse de vous des mendiants vivants de la charité internationale.
En attendant foutez donc la paix aux juifs de France, qui ne vous ont pas sonné.
Les messages ouvertement antisémites et les appels à la destruction d’Isrël qui inondent ce fil, trahissent l’origine de leurs auteurs et la nature exacte du conflit auquel nous devons faire face au Moyen-Orient.
Il s’agit de l’épilogue tardif de la Seconde Guerre Mondiale, qui se déroule dans une région qui a servi d’asile aux derniers fugitifs Nazis qui ont échappé à la Justice, après la victoire des Alliés en Europe.
Comme d’habitude, la cinquième colonne est à l’oeuvre, des chiens qui croient pouvoir mordre la main qui les nourri, ou qui s’imaginent faire peur avec des menaces ou des insultes.
Ils ont importé dans leurs bagages leurs haines ancestrales et leur conflit avec Israël.
Ils s’en prennent aux juifs de France, dont ils insultent les plus éminents représentants : Kouchner, notre Ministre des Affaires Etrangères, et même notre Président de la République dont la Mère était juive. Les rabbins sont molestés et les enfants des juifs sont battus dans les rues.
Ils s’en prennent à nos alliés, dont ils voudraient détacher la France et insultent leurs représentants.
Ils bafouent nos institutions démocratiques et les principes de laïcité de l’Etat.
Ils remettent en cause l’égalité des sexes et se livre à des manifestations impudiques en imposant à leurs femmes des accoutrements grotesques.
Ils fomentent des émeutes raciales dans nos banlieues, saccagent les biens privés et publics.
Ils remplissent nos prisons.
Certains d’entre eux se rendent clandestinement dans des zones de combat et portent des armes contre nos soldats et ceux de nos alliés.
Ils prennent systématiquement le parti de l’étranger et bafouent nos intérêts.
Pousseront-il leur défi jusqu’au bout ? Difficile à dire aujourd’hui, il y a cependant deux précédents qui nous amènent à envisager que celà soit le cas :
1) Adolf Hitler a préféré mener jusq’au bout une « guerre totale » (« Die Totale Krieg ») qui a entrainé la destruction complète de l’Allemagne en 1945, plutôt qu’arrêter à temps un combat qui tournait mal, comme le lui demandaient ses Maréchaux.
2) Saddam Hussein, lui aussi, est allé jusqu’au bout, alors que la présence des armées alliées à ses frontières auraient du l’inciter à reculer.
La personnalité des fanatiques les attirent toujours vers le nihilisme. Il ne faut pas oublier non plus que face à sa propre faillite, or c’est bien de leur faillite qu’il s’agit, on adopte facilement des conduites suicidaires.
Si le régime fasciste et théocratique de Téhéran s’obstine, alors il ira tout droit dans les poubelles de l’Histoire.
Il y avait trois régimes qui faisaient obstacle à la résolution des problèmes du Moyen-Orient :
1) Le régime de Saddam Hussein, qui a disparu aujourd’hui.
2) Le régime de Téhéran, qui est sur le devant de la scène et qui disparaitra sans coup ferir s’il persiste à défier, lui aussi, la commauté internationale.
3) Et le Régime de Damas, dont la peau ne vaudra plus très cher lorsque les deux premiers auront disparu.
Ensuite, il ne restera plus qu’à museler le Hamas et le Hezbollah, qui n’auront plus de protecteurs. Une simple formalité.
Le remodelage politique du Moyen-Orient, tel que l’avaient annoncé les américains est donc bien en cours sous nos yeux et l’épisode irakien n’était qu’un coup d’envoi.
Une dernière remarque franco-française, cependant : la nature de nombreux message sur ce fil et sur tous ceux qui traitent de sujets semnblables, confirment la gravité du problème que pose à notre pays la présence sur son sol de communautés étrangères dont les coutumes, les principes et les intérêts sont manifestement contraires aux notres et menacent même ouvertement une partie de notre communauté nationale.
Il va falloir traiter ce problème, tôt ou tard, car il ne faut pas être prophète pour voir dès aujourd’hui que le vase débordera un jour.
Soyons clairs : il y a des communautés immigrées qui ne posent aucun prblème d’intégration dans notre pays. Et il y en d’autres, les communautés musulmanes, qui ne cessent d’en poser. Il deviendra impossible de ne pas les distinguer des autres et de ne pas les traiter en conséquence.