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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 octobre 2012 00:44

    Pas exactement Foufouille.

    Pour un brevet il n’y a pas de secret seulement protection pendant 25 ans.

    S’il y a secret c’est qu ’il n’y a pas protection !

    C’est ce que signale hopeless. Le brevet concerne juste la molécule, mais pas les adjuvants qui eux a priori n’ont donc pas fait l’objet de protection mais de secret de dosage. Bref, le labo fabricant le générique peut reproduire la molécule mais n’a pas accès au secret concernant le dosage des adjuvants. Et ci ces derniers interviennent dans l’éfficacité de la molécule donc du médicament, l’original conserve sa position. A moins qu’un labo fabricant un générique trouve le bon dosage.



  • Hervé Hum Hervé Hum 10 octobre 2012 23:44

    Votre article fait l’impasse sur le poids des ingérences et des intérêts des anciennes puissances coloniales, notamment la France. Est ce voulu ? Pourtant il me semble qu’aucune analyse ne peut en faire l’économie.

    Le problème récurrent des pays africains est que leur frontières ne sont pas des frontières culturelles naturelles pour la plupart.

    Les pays d’Afrique sortiront véritablement de leur guerres sans fin le jour où ils auront réglés leur problèmes frontaliers... Intérieurs ! Entre minorité et majorité culturelles. Le developpement économique a un fort pouvoir d’anesthésie mais reste toujours sous la menace d’un réveil brutal en cas de récession. Bref, si vous avez totalement raison en ce qui concerne le leadership, celui ci doit surtout permettre aux pays africains de se retrouver autour d’une table pour régler une fois pour toute le problème des clivages culturels chevauchant les pays issus de la partition faite par les anciennes puissances coloniales. Ceci ajoutant à la complexité.

    Mais l’histoire du monde nous enseigne que la condition préalable à tout épanouissement social d’un pays tient à sa cohésion sociale et celle ci passe par l’intégration des différentes cultures la composant. A l’inverse d’une Europe qui se fédéralise à reculons parce que les nations qui la constituent sont séculairement structuré, un mouvement (volontaire) fédéraliste de pays d’Afrique aurait pour conséquence une régionalisation fondé sur la valorisation des frontières culturelles pré coloniales. Les pays d’Afrique pourraient aussi attendre que le temps structure ces pays nées de la colonisation, mais je crois que le monde n’attends plus. Cela veut dire que ces pays issus de la colonisation devraient terminer avec cette période en détruisant son plus puissant vestige, ses frontières...  



  • Hervé Hum Hervé Hum 10 octobre 2012 10:43

    Chers auteurs,

    Avec la dette actuelle, la seule solution pour les Etats de résorber leur dette tout en faisant de l’épargne (suivant vos propos) est de se vendre au secteur privé. Mais qui est donc ce fameux secteur privé ? Représentent ils une majorité de citoyens ou une extrême minorité ? Le citoyen n’a t’il pas été trompé ?

    La seule chose qui légitime démocratiquement le fait que les états doivent emprunter avec intérêts sur les marchés boursiers était l’ignorance des citoyens. C’est cette même ignorance doublé du culte de l’argent facile qui seule justifie la spéculation car moralement, c’est intenable. La spéculation est ontologiquement un délit, un vol du travail.

    ALors, si le principe de stabilité est justifié (par le simple fait qu’on ne peut vivre sur le dos du travail d’autrui comme le permettait le temps de la colonisation), ce qui ne l’est pour quasiment personne c’est l’obligation faite aux ’Etats de devoir emprunter sur les marchés privés avec des taux d’intérêts. Quel que soit leur taux.

    Bref, chers auteurs, si vous êtes en mesure de me démontrer que le prêt usurier aux états et la spéculation peut être justifié moralement, dans ce cas là, je soutiendrai le traité « tel quel ».

    Dans le cas contraire, ce traité ne peut être soutenable parce qu’il repose sur des bases d’une logique monétaire et économiques spoliatrices de l’intérêt public et de la justice sociale.

    A vous lire !



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 octobre 2012 13:17

    Bonjour JL, je vous attends !

    j’ai bien écrit « pour contradictoire qu’il puisse paraître », ceci car je ne souhaitait pas développer. J’avais juste dit que « la mondialisation est leur pire ennemi en ceci qu’elle fédère les nations ».

    Ensuite je pense avoir bien clarifié ma pensée pour lever le paradoxe.

    Concernant Karash, au delà du discours d’une personne je regarde son intention. Car on peut se tromper sur la réalité tout en étant sincère dans son intention. Or, la vérité c’est l’intention de l’être.

    Petite précision sur votre phrase "mon point de vue est que l’on ne peut pas si facilement transposer les niveaux et les genres, et en tirer des arguments pour justifier ou invalider telle ou telle politique.« 

    Bien évidemment, c’est toujours dangereux.

    Disons que si vous avez lu mes autres articles vous aurez une idée plus précise et plus juste de ma façon de voir. Les »niveaux" ne sont pas une hiérarchisation de la conscience mais une différenciation entre la conscience intérieure et la conscience extérieure. La hiérarchisation de la conscience est sa division en dimension. Celle ci permet de considérer que même un atome est animé par la conscience. Or, pourrions nous exister sans atomes ? Bref, cette hiérarchisation ne se fait pas au détriment de l’une sur l’autre mais sur leur interdépendance et complémentarité.

    Plus qu’une crise économique, l’humanité traverse une crise de conscience. Le paradoxe ou contradiction tient de cette crise qui oppose dimension de conscience intérieure et extérieure.

    Si nous voulons élever notre conscience au delà de notre planète, il faut au préalable poser comme socle que celle ci est notre espace originel, fondateur et donc notre espace intérieur. En d’autres termes, la Terre cesse d’être notre espace extérieur (relativement à la nation) pour devenir notre espace intérieur. Les nations restant fondamentalement dans cet espace intérieur puisque le composant, mais reculent d’un palier (relativement à notre conscience), de la même façon qu’une région est intégré dans une nation.



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 octobre 2012 00:21

    Karash, on ne sera jamais d’accord sur l’intérêt de la spéculation.

    De mon point de vue, toute tentative de justifier la spéculation n’est que du sophisme.

    Dans un système économique sain la spéculation n’a pas sa place, puisqu’elle parasite et fausse la réalité des marchés. De l’offre et de la demande. Tente de prélever une quôte part sur le travail sans rien lui apporter, mais toujours avec le risque de le réduire voir de le détruire.

    Désolé, si votre libéralisme s’accorde avec la spéculation, je n’ai plus rien à lui dire.

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