Je relève ceci : « Ainsi, j’ai reçu dans la modération du journal Agoravox des messages de haine et de censure venus de fervents partisans et admirateurs de Vladimir Poutine… »
C’est grave et cela montre que ce site est gangréné par des pro-Poutine enamourés voire fanatiques.
Et l’auteure précise, malgré ces attaques : « Pour ma part, je me refuse à censurer et à insulter ».
On voit où est la grandeur d’âme et où est la petitesse...
L’insulte est la marque des faibles. Pour information, Poutine méprise les faibles...