@Krokodilo
Les Ukrainiens retranchés en ville ou sous terre ? Évidemment, ils défendent leur territoire face à une invasion russe qui bombarde écoles, hôpitaux et immeubles à Marioupol, Kharkiv ou Bucha. Ce ne sont pas des tactiques de « boucliers humains », mais une résistance désespérée contre une armée russe qui viole le droit international. La vérité, première victime ? Justement, la propagande du Kremlin excelle à la tordre, accusant Kiev pour masquer ses propres crimes de guerre, documentés par l’ONU et Amnesty International, entre autres. Comparer cela aux « frappes chirurgicales » des USA ou à la censure israélienne ? Une diversion. Les journalistes en Ukraine, eux, risquent leur vie pour témoigner, contrairement à la Russie où ils sont muselés, exilés, emprisonnés ou encore à six pieds sous-terre.
Un « accord tacite » pour limiter le conflit ? Pure spéculation. Les 200 000 victimes, en grande partie civiles, montrent l’ampleur de l’agression russe, pas une retenue concertée.
Vous parlez de « tapis de bombes » ailleurs ? Regardez ceux de Poutine sur l’Ukraine, la Géorgie, la Syrie. Si vous cherchez la vérité, commencez par les rapports indépendants, pas les narratifs conspirationnistes, usés jusqu’à la corde, qui excusent un tyran prêt à tout pour assouvir ses ambitions impérialistes.