@Maître Yoda
je vous ait déjà donné mon point de vue, mais soit vous ne lisez pas, soit vous oubliez tout aussitôt que vous l’avez lu.
La nation ou une multinationale sont des outils, pas des êtres pensants, c’est totalement absurde (pour ne pas dire idiot) et tout l’art de la manipulation est d’arriver à vous le faire gober.
Si je vous tape avec un marteau et que je vous explique que c’est la faute au marteau, vous me croirez pas, pourtant, vous en êtes totalement convaincu pour ce qui concerne la multinationale ou la nation, qui sont des outils et non des êtres, donc, dont l’usage dépend uniquement de ceux qui en ont le contrôle. Un outil n’est ni bon ni mauvais en soi, ce sont ceux qui en ont l’usage.
Autrement dit, tant que vous confondrez l’outil et la main qui le tient, désolé, mais vous persistez à jouer les idiots utiles.
En tous les cas, vous avez présenté aucun contre argument, non, vous restez figez dans votre dogme, votre croyance absurde que la nation est le cadre qui vous protège alors que depuis toujours c’est celui qui sert à provoquer les pires guerres et destructions lorsque jugé nécessaire par ce « petit nombre qui fait travailler le grand, est nourrit par lui et le gouverne » (Voltaire).
Et comme je vous l’ai maintes fois dit sans que vous ayez jamais porté de réfutation, la guerre ou menace de guerre est la condition absolue pour tout prédateur humain afin de justifier et ainsi obtenir la soumission volontaire des citoyens et interdire toute opposition intérieure. Accepter de travailler comme un forçat et se sacrifier au seul profit réel de ceux qu’Anatole France disait dans sa phrase « on croit mourir pour sa patrie et on meurt pour les industriels ». Avant les industriels, c’était les nobles et aujourd’hui ceux qu’on appelle les oligarques ou les gros actionnaires des multinationales.
Bref, le débat et clos et je n’ai donc plus rien à vous dire et vous invite à ne plus m’adresser la parole, c’est inutile.
@Maître Yoda
J’ai déjà répondu et donné mes arguments par rapport a vos arguments.
Le nationalisme est le terreau du capitalisme et ne peut atteindre que le stade de l’impérialisme, mais il faut toujours avoir au moins deux empires qui se font face. C’est ce que j’appelle la limite orwellienne.
La contradiction dans votre propos que vous niez, c’est que Musk et Trump sont de pur capitalistes et pour eux, le capitalisme ne peut et ne doit donc pas dépasser le cadre de la nation. Ils sont donc des nationalistes parce qu’ils sont capitalistes.
D’un point de vue purement logique, tous vos arguments s’effondrent de la même manière et comme vous ne le voyez pas, cela ne sert à rien de discuter, car cela signifie que votre imaginaire commande à votre analyse de la réalité.
Donc, inutile de poursuivre, tout est déjà écrit.
Pour finir, j’ai aussi écris qu’il est impossible de supprimer le principe capitaliste qui relève de la nature d’être prédatrice, mais que selon les conditions environnementales, le prédateur doit être domestiqué, apprivoisé et non plus exercer une prédation sans limite.
La raison, Maître Yoda, est la seule voie pour s’adapter à l’évolution de son environnement en ce qui concerne les relations physiques.
Rechercher l’équilibre économique ou poursuivre dans la voie actuelle ?
Et cela peut se faire que dans la seule condition où les peuples des nations se soumettent à un même ordre qu’est la charte des droits humains, corrigé du biais de la propriété privé, parce que la nation est le cadre premier des communautés humaines (dans leurs relations) et l’individu, le cadre premier à l’intérieur de chaque communauté (toujours dans leurs relations).
Sans cela, c’est impossible !
Mon point de vue reposant sur le principe de causalité tel que je le connais et essai autant que possible de l’appliquer et où il faut l’invalider sur le plan logique pour le réfuter sur ce même plan.
L’IA, sur le plan logique n’y voit pas de contradiction, mais peut être vous ?
@Maître Yoda
Je connais de « l’ampleur de votre compréhension » que ce que vous en dites ici même, tout comme pour moi d’ailleurs.
Autrement dit, c’est le débat et la qualité des arguments qui détermine qui dit le plus ou le moins de conneries.
Personnellement, je donne toujours l’argument pour traiter quelqu’un d’idiot sans cela, c’est effectivement une simple réaction stupide.
Ainsi, vos commentaires ignorent le plus souvent mes arguments pour en retenir que la sentence. Ce qui vous permet de ne pas répondre.
Je vous ait montré que Musk n’a que faire de lutter contre le gaspillage en lui même, mais uniquement de cibler certains gaspillages pour mieux faire passer celui qui sert ses propres intérêts. C’est tout l’art de la manipulation et je vous ait invité a vous interroger sur le fait de votre propre inclinaison à vous laisser aussi facilement manipuler par l’apparence. De mon point de vue, c’est le propre de l’idiot utile.
Le gaspillage selon Trump et Musk, c’est pour beaucoup tout ce qui concerne l’aide aux classes travailleuses et tout ce qui consiste à réduire les impôts des riches est vu comme de l’argent utilie.
Mais vous pouvez ne pas être d’accord et me donner vos arguments qui invalides les miens.
Vous savez, on peut trouver que Hitler aussi en son temps faisait de bonne chose sur le plan économique, mais pour quelle finalité ?
@Réflexions du Miroir
J’ai écouté le podcast, bon, de mon point de vue c’est trop simpliste, car il faut définir le bien et donc, de savoir s’il est possible de lui donner une définition universelle, car si on ne peut pas lui donner une définition universelle, alors, c’est qu’il existe que des définition particulières. Le bien ici peut alors être vu comme le mal ailleurs et la distinction entre mal extrême et radicalité ne tient plus.
Ainsi, la charte universelle des droits humains prétend donner cette définition universelle du bien, pour autant, elle est mise en application par aucun dirigeant dès lors où ses intérêts sont contraire.
Pour que la charte s’impose en tant qu’universalité de ce qu’est le bien face au mal, cela ne peut pas reposer sur un dirigeant quelconque, fut il honnête et épris de justice, mais sur les citoyens eux même.
Le cas de Eichman est celui de la nature d’être opportuniste qui ne se pose pas ou plus la question morale, mais de l’intérêt qu’il trouve.
En fait, on peut appliquer la même logique avec l’IA, c’est à dire, où il faut observer la relation causale entre la conscience et l’intelligence. La première porte sur le sens de l’action, tandis que l’intelligence porte sur la capacité d’action.
Or, dès l’instant où vous cessez de vous interroger sur le sens de l’action pour vous limiter à la capacité d’action, alors, vous acceptez de vous réduire à votre fonction en tant qu’outil pour celui qui détient la conscience et donc, guide l’action. Pour l’IA, pas de problème, mais pour l’humain, celui-ci peut se décharger de sa conscience que s’il agit à un niveau où il n’a pas de pouvoir hiérarchique décisionnel au niveau supérieur, donc, en tant que cadre dirigeant.
Car l’intelligence seule ne peut pas produire d’action, il faut obligatoirement lui donner un sens, donc, une conscience.
@Réflexions du Miroir
merci. Je vous renvoi l’ascenseur, car ce que vous écrivez sure l’élite est exact.
Il y aura toujours une élite, quel que soit le modèle, la différence repose sur la manière dont elle est constituée. Par le mérite personnel ou par l’exploitation du mérite personnel d’autrui, là est toute la différence.
Dans une communauté, il y a toujours la reconnaissance de celui ou celle qui ont su apporter à la communauté un valeur ajouté pour répondre aux besoins, mais cela ne saurait en faire un roi, seulement un sage don la voix est écoutée mais en aucun cas vénérée, car alors, on passe de la reconnaissance du mérite personnel à la reconnaissance de l’exploitation du mérite.
La personne cesse d’être alors intégré dans la société, mais se place au dessus d’elle. On passe d’un rapport d’équilibre au rapport de domination.
Et seul l’état d’urgence ou de guerre justifie de s’en remettre à un chef de guerre pour lequel on abandonne pour le temps de la guerre le principe d’équilibre et du débat pour celui d’obéissance et l’absence de débat,
Les capitalistes utilisent la nature sauvage pour justifier leur domination, arguant que c’est la compétition qui gouverne, ce qui est factuellement faux, car dans la nature, la compétition seule n’aurait pas permise à la vie de se développer et elle n’existerait tout simplement pas. Il faut autant la compétition que la coopération où il faut alors étudier leur relation causale. C’est à dire, de savoir quand la coopération doit être l’ordre premier, directeur face à la concurrence ou bien le contraire. C’est à dire, entre un environnement ouvert ou fermé.
@Maître Yoda
De mon point de vue, c’est vous qui « tournez en rond » autour de celui que vous avez élevé au statut d’idole et ne pouvez donc pas accepter de le l’en faire descendre.
Résultat, votre commentaire raconte n’importe quoi et n’a plus rien à voir avec ce que j’écris.
Ainsi, j« ai clairement écris que je ne contestais pas le principe de réduire le gaspillage, mais qu’il fallait bien s’entendre par ce qu’on considère comme du gaspillage et ce qui relève de la volonté de détruire des services sociaux au plus faibles et d’accroitre sans cesse sa propre richesse sans apport personnel en terme d’utilité à la société, mais en terme d’exploitation et d’oppression.
Ainsi, votre commentaire passe complètement sous silence le fait que réduire voir supprimer les impôts des riches est une forme de gaspillage d’un point de vue de redistribution de la richesse produite. Car il ne vous viens pas à l’esprit de voir quel usage est fait de cet argent amassé, si ce n’est de le gaspiller en terme de jet privé, de super yatch, de vol orbitaux, etc. Autant de gaspillage d’un point de vue de la lutte contre la pollution, du minimum de justice sociale et économique.
Interrogez vous donc de savoir pourquoi vous suivez le doigt de Musk qui vous désigne la cible, c’est à dire, les pauvres comme raison de la gabegie et que pour lui, seuls les riches ne gaspille pas l’argent du contribuable et que donc, il faut le leur donner et simplement attendre que l’argent »ruisselle", c’est à dire,attendre la soupe populaire et la charité, pour autant qu’ils le veulent bien, puisqu’il s’agit là de leur droit, tandis que les autres n’ont que les devoirs. Ce n’est pas moi qui le dit, mais Trump et Musk eux même.
Bref, libre à vous de faire l’idiot utile, mais n’attendez pas d’un Musk (ou de tous ses semblables) qu’il vous en soit reconnaissant en dehors de belles paroles, celles qu’il prononce au travers de son réseau social où il se présente comme un pauvre petit ouvrier de base pour faire croire qu’il est comme vous. Il signait même ses tweet par vox populis, donc, en se présentant comme la voix du peuple.
C’est tout l’art de la manipulation, c’est à dire, jouer sur la confusion.
@Maître Yoda
Vous connaissez le proverbe « l’arbre qui cache la forêt » et « ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain » ? eh bien, c’est ce que fait Musk à destination des nigauds, des idiots utiles.
Musk est un excellent manipulateur, aussi, mettre en avant ce qui va pas pour faire passer une politique qui consiste à tout supprimer, il faut être vraiment idiot pour gober cette mise en scène.
Sinon, Musk n’a rien trouvé de lui même, d’autres gens s’en occupent pour lui.
Bref, si vous voulez tuer votre chien, n’importe quelle raison suffira, alors que si vous y tenez, ce sera le contraire.
Commencez donc par savoir quel système social et économique, donc, sur quel code déontologique il repose et ensuite vous pourrez avoir un sens critique en rapport à votre choix.
Autrement dit, si votre choix est celui d’un modèle comme je le défend, alors, vous ne pouvez pas croire un Musk, dont son propre chatbot dit qu’il est le plus grand agent de désinformation et de manipulation au monde !
L’IA n’ayant pas d’état d’âme et ne sachant pas ce que veut dire être payé pour mentir et faire du sophisme intellectuel (leur histoire de gratification est des plus risible) elle se base sur les faits et la logique qui les sous tends.
L’humain lui, peut court-circuiter la logique pour conserver sa volonté de croire le contraire de ce qu’elle lui enseigne.
@Maître Yoda
Il faut bien s’entendre sur ce qu’on entend par « rationaliser », car selon le point de vue où on se place, une même « rationalisation » sera interprété de manière différente, voire opposée.
Ainsi, la politique de « rationalisation » ordonnée par Musk et Trump, consiste t’il à rendre l’appareil d’Etat plus efficace ou bien consiste à réduire son pouvoir de contrôle et d’action, donc, de lutte contre la corruption généralisée ?
La rationalisation consiste t’elle à concentrer les moyens sur les forces de l’ordre et de mettre en place une hiérarchie obéissante à l’élite au pouvoir, plutôt qu’à faire respecter la loi, du moins, tant que celle-ci reste avec un code déontologique qui reconnaît les droits des faibles.
Bref, Musk est un très bon communicant qui tend à se laisser griser par ses réussites et croit qu’il peut dire n’importe quoi, ses fidèles n’y verront que du feu.
Vous me parlez de paypal, mais savez vous qui sont ses créateurs dont Musk faisait partie ? Savez vous d’où vient la pensée idéologique de Musk en lien avec sa famille et communauté sociale ? Ben, à ce que je viens de voir, ce sont des nazis de la première heure et ensuite, sont restés fidèles à cette idéologie qui repose sur la domination sociale et économique (et non sur la haine des juifs). La famille de Musk était déjà très riche et cette richesse s’est faites sur l’exploitation des mines, avec des conditions de travail très dures.
Autrement dit, leur idéologie repose sur le même principe que la noblesse de l’ancien régime, une classe supérieure dominante qui détient les droits et les classes dominées, qui ont des droits en fonction des services qu’ils rendent à la classe dominante, de telle sortes qu’ils s’assurent de leur allégeance par l’intérêt, qui fait alors une adhésion. Les meilleurs d’entre eux pouvant passer à l’échelle supérieure. De ce point de vue, ils n’ont pas fait la même erreur que la noblesse française avec la grande bourgeoisie !
Les autres ayant que le devoir de se soumettre et d’accepter leur sort, selon le bon gré de la classe dominante. C’est à dire, où le ruissellement est le terme modernisé de la soupe populaire et de la charité religieuse.
@leypanou
Maître Yoda ne comprend malheureusement pas grand chose au système capitaliste et ses méthodes d’exploitation
Car l’abus est dans le principe même de l’impôt prélevé dans un échange économique qui va au delà de sa valeur en terme de travail et qui est rebaptisé « profit » ou « bénéfice », mais qui sont fondamentalement des impôts du point de vue de celui qui doit s’en acquitter et est un profit ou bénéfice pour celui qui les perçoit.
Le principe du mérite personnel est compatible avec une forme de royalties définie en raison de son apport, mais les royalties qui récompense quelqu’un pour son apport personnel, ne saurait en faire un roi, car là, on est dans la royauté.
@Eric F
réfléchissez un peu, si ce que vous dites sur le fait que ce qui n’a jamais été le cas implique que cela n’arrivera jamais est exact, alors comment se fait il que le monde évolue par des évènements qui n’avaient jamais eut lieu et ont fini par avoir lieu ?
Selon ce principe, la vie ne devrait pas exister !
En réalité, c’est l’évolution des conditions environnementales qu fait qu’une chose ait lieu ou non, surtout lorsqu’elle n’avait jamais eut lieu avant.
C’est ce que j’explique dans un de mes articles, où je montre que si l’environnement à favorisé et porté le système capitaliste en raison d’un monde ouvert et en concurrence, le passage à un monde fermé en raison de l’interdépendance des peuples sur tous les plans et la fin de l’ère de la colonisation acté par la charte des droits humains ayant donné lieu à l’ONU et au droit international (que Trump et Musk veulent détruire sans en avoir l’air), implique de changer de système.
Car un environnement fermé au niveau de la planète, implique de mettre la coopération devant la compétition entre les êtres, alors que le système actuel repose sur la relation inverse et qui exige d’avoir un monde en état ou menace de guerre permanent pour obtenir la soumission volontaire et l’interdiction de toute opposition intérieure.
Bref, un capitaliste n’a d’autre choix que de jouer les pompiers pyromanes ! Ainsi, Trump joue les pompiers avec l’Ukraine et le pyromane avec la Chine, mais où il ne s’agit pas tant de faire la guerre militaire, mais économique pour justifier d’avoir des chefs de guerre tel que Musk et cie. Car pour eux, l’ordre premier est d’assurer le maintient de leur domination économique sur leur propre population.
@Maître Yoda
De mon point de vue, ni Trump, ni Musk on donné un « coup de pied dans la fourmilière », c’est complètement absurde.
Ils ne « rationalisent » en rien l’argent public et le croire c’est ne rien connaître à l’économie, ce qui rend d’autant plus facile la manipulation.
Ils ne veulent pas stopper la corruption, mais la faire changer de main. Quand Trump ou Musk exigent la fidélité et l’obéissance, c’est le principe même de la corruption, car l’incorruptible est celui qui obéit à la loi et non à son supérieur hiérarchique.
Si vous voyez dans l’attentat manqué de Trump un signe du destin, alors que dire des attentats manqués d’Hitler par exemple, un signe du destin pour lui aussi.
Et toutes les personnes animées de justices qui se font assassiner, c’est aussi un signe du destin je présume !
autrement dit, le signe du destin voudrait que les pires crapules puissent accomplir leur volonté destructrice.
Absurde.
Trump et Musk, sont des fascistes dans l’âme, ils voient le monde uniquement dans un rapport de domination et non de justice, qui leur sert uniquement d’outil de manipulation pour les pauvres d’esprits qui les écoutes et en faire de parfait idiots utiles.
le principe de justice se fonde sur l’équilibre et non le déséquilibre et tout l’art est alors de faire prendre des vessies pour des lanternes. La justice sociale et économique repose uniquement sur l’équilibre entre ses droits et ses devoirs vis à vis des autres, dès lors où vous accumulez les droits (monétaire et immobilier) vous creusez le déséquilibre et qui implique de faire payer vos droits en devoirs pour les autres.
C’est ce que Trump et Musk veulent imposer sans plus de retenus là où les capitalistes avait dû composer via des impôts chargés de compenser les déséquilibres liés à la propriété des moyens de production et de son financement à la fin de la 2ème guerre mondiale en réponse à la menace communiste.
Les élites prédatrices ne se battent pas de savoir s’il faut conserver le système capitaliste, mais sur la meilleure manière de le conserver. Et sur ce point, c’est Trump et Musk qui ont raison, le capitalisme a besoin pour se maintenir et se justifier d’un monde en état de guerre permanent et interdit la mondialisation sociale, le hic de la mondialisation économique étant qu’elle pousse naturellement vers la mondialisation sociale incompatible avec le système actuel.
Autrement dit, de mon point de vue, la différence est entre les nationalistes et les impérialistes, mais qui exige d’avoir au moins deux empires qui se font face. C’est ce que j’appelle la limite orwellienne. Il est là votre « coup de pied dans la fourmilière », contre les impérialistes pour revenir au nationalisme comme stade ultime de la société humaine.
Mais pour toute personne qui voit la société dans un rapport d’équilibre et de justice sociale et économique, c’est le principe du mérite personnel qui est l’ordre premier et l’exploitation du mérite d’autrui à son profit est alors un interdit. Et cela s’étend à toute la planète.
Pour finir, même le chatbot de Musk dit de lui qu’il est le plus grand agent de désinformation et de manipulation. Le chatbot serait il jaloux de Musk ?
Idem pour l’IA programmé pour défendre les israéliens se retourne contre eux.
Voilà ce que sont vos « héros », ceux que vous voyez comme le signe du destin qui se battent uniquement pour leur propre intérêts et que visiblement vous prenez pour les votre.
@Maître Yoda
De mon point de vue, je ne suis ni de gauche, ni de droite, je laisse cela aux imbéciles.
Je défend un modèle qui repose sur le principe du mérite personnel, contre un modèle qui repose sur l’exploitation du mérite personnel d’autrui à son profit. Le plus grand talent de Musk réside là, savoir exploiter le mérite d’autrui à son profit et manipuler les pauvres d’esprits. Perso, selon mon code déontologique, cela ne relève pas du mérite au sens de l’intégration sociale, mais de l’exploitation et dictature de la société.
Autrement dit, vous devez vous poser la question de savoir si défendre la justice sociale relève de la jalousie ou bien de valeurs éthiques. Donc, de savoir si votre remarque relève de la stupidité ou non.
Le problème de votre commentaire, c’est qu’il ignore les miens et surtout, affirme sans rien démontrer. Ainsi, dites moi donc où vous voyez dans mon commentaire de la « dissonance cognitive » ? Ou de la « jalousie ».
Quand j’écris que son mérite personnel définie par son apport personnel ne vaut pas plus d’un millième de sa fortune estimée, c’est que je lui reconnais du mérite personnel, car un millième c’est déjà beaucoup
@Seth
De mon point de vue, c’est vous qui confondez internationalisme et mondialisme, car ce que vous dites s’applique à l’internationalisme, mais pas au mondialisme.
Le capitalisme et Trump ou Musk l’ont bien compris, a besoin d’un monde en perpétuel état d’urgence pour justifier la domination d’une élite prédatrice sur le plan économique. C’est donc l’internationalisme dans le sens où les nations restent le cadre dominant par lesquelles les élites de chaque pays peuvent se maintenir. Tout comme il se servent des paradis fiscaux, du mieux disant fiscal pour obtenir toujours plus d’avantages fiscaux. Ce fut le seul argument de Macron pour supprimer les imports des riches et leur octroyer même des avantages !
Par contre, la mondialisation ruine tout cela, alors si l’inertie du capitalisme pousse à la mondialisation, leur condition de survie l’interdit de manière formelle.
Bref, l’internationalisme qui repose sur la souveraineté des (élites) nationales oui, le mondialisme qui ,repose sur soumission des élites, NON !
@Maître Yoda
Où voyez vous une critique gratuite ou payante ?
Ce que vous écrivez est absurde.
il semble surtout que vous avez mal lu mon commentaire !
relisez le plus attentivement et ensuite, revenez donc me dire où je fais une « critique gratuite » mais avec des arguments.
Enfin, je vous invite à mieux réfléchir à ce que j’écris "
Car si on considère que le but de la communauté est de permettre à chacun de ses membres de subvenir à ses besoins et que la production des biens est la somme de toutes l’activité de ses membres (positive+négative), alors, la richesse de chacun est en relation directe et déterminée par son rapport avec celle des autres en raison de l’apport de chacun à la production de richesse.
C’est le principe du mérite personnel, qui a de sens qu’en communauté et qui par définition interdit son exploitation au profit d’autrui. Sauf que le capitalisme repose sur l’exploitation du mérite d’autrui à son profit, non du mérite personnel comme ordre premier, car savoir exploiter le mérite d’autrui à son profit n’est pas un mérite personnel au sein de la communauté, mais au dessus d’elle. Où seul la nécessité du chef de guerre (militaire ou économique) impose à une communauté de reconnaître un tel mérite personnel, pour mener la guerre.
Bon, si vous avez des difficultés avec mon style, je peux réduire à la formule suivante
nul ne devrait pouvoir exiger plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il accomplit de devoirs par lui même et nul ne devrait se voir exiger plus de devoirs qu’il réclame de droits pour lui même.
Mais cela est vrai que dans une société qui tend vers la justice sociale et économique fondé sur le principe du mérite personnel, dans une société qui tend vers le rapport dominant/dominé, il n’y a rien à changer on y est déjà depuis longtemps !
@Eric F
Vous parlez avec la base biaisée qui vous a été enseigné, reste à vous d’en sortir ou pas.
Par définition, l’aspect social porte toujours sur le lien qui unit les membres d’une communauté et par conséquence, ce qui les divisent. Mais voir qu’un seul aspect est voir comme le borgne.
Les salariés chinois sont tout autant préoccupés que les autres, qu’ils soient des pays occidentaux ou d’ailleurs sur la manière de redistribuer la richesse produite. (on laissera de coté l’automatisation qui touche maintenant les intellectuels).
Le balayeur chinois revendique le même droit que le balayeur français quand à son pouvoir d’accès aux besoins élémentaires et un tout petit plus. Il y a aucune différence fondamentale ,seule la forme est plus ou moins différente.
Seulement, la division des salariés ou végétariens économique est la condition absolue pour l’élite prédatrice de conserver leur domination.
Bref, ce qui est difficile au niveau national en raison d’un environnement international fondé sur la compétition entre les salariés, devient facile dès l’instant où la compétition internationale est remplacée par la coopération. Mais ce qui l’a rend pour l’instant impossible n’est pas sa difficulté de mise en place technique, cela peut être fait du jour au lendemain puisque tous les outils sont déjà en place, mais uniquement dû à la conscience et là, la propagande et le maintient du monde en état d’urgence permanent se charge de la manipuler.
Le monde n’est plus celui de l’après 2ème guerre mondiale et à vouloir conserver une position dominante en terme de différentiel de rémunération pour un même travail, le seul résultat sera une paupérisation accélérée et un retour à la situation économique et sociale du XIXème siècle pour les travailleurs. Mais tant que vous voyez votre semblable comme votre ennemi, l’élite prédatrice au pouvoir pourra continuer à prospérer et rire de votre bêtise. Et ils ont bien raison !!!
@Hervé Hum
Une personne comme Musk n’apporte rien de positif sur le plan intellectuel, mais pousse plutôt vers la médiocrité intellectuelle. Pour autant, il est devenu l’homme le plus riche du monde en très très très peu de temps.
Son apport personnel ne vaut pas le millième de sa fortune estimée.
Dans une communauté, comme dit l’adage, il n’y a pas de sot métier, mais seulement de sottes gens. Lorsque les poubelles ne sont plus ramassés, les autres se rendent bien compte de leur utilité.
.
L’apport « intellectuel » dans une société qui se veut tendre vers la justice et la paix sociale ne porte pas sur l’intelligence, mais la conscience qui se définit pour moi comme le sens de l’action en conséquence de la connaissance et l’intelligence est alors son outil. Et chez moi, l’outil n’a d’autre raison d’exister que d’être utile à l’être, l’inverse c’est lorsque l’être est ou se réduit à la fonction d’outil, c’est à dire, devient esclave.
@Eric F
Cela s’est détricoté après la fin des 30 glorieuses et surtout après la chute du soviétisme, la mondialisation financière étant devenu le modèle unique de société, du moins en apparence.
Ne confondez pas la mondialisation financière de l’élite prédatrice, avec la mondialisation financière des salariés qui n’existe qu’à la marge.
De mon point de vue, le capitalisme tel qu’il existe ne peut pas résister à la mondialisation sociale et le problème de la mondialisation financière, c’est qu’elle attire inexorablement la mondialisation sociale.
Donc, leur unique solution est de provoquer le chaos financier et politique pour arrêter la mondialisation sociale.
C’est ce que je considère comme la 1ère contradiction fondamentale du capitalisme, son inertie la pousse à la mondialisation, mais sa condition de survie lui interdit d’atteindre la mondialisation sur le plan social, car c’est alors la coopération qui devient l’ordre premier, directeur de l’économie et non plus la compétition qui devient un ordre secondaire, donc, qui obéit à l’ordre premier qu’est la coopération.
Bigre, la dame ne maitrisait pas grand chose du sujet quelle traitait pour ce que vous en rapportez.
Déjà, il ne peut pas exister de communauté sans lois pour régir les relations entres ses membres. C’est physiquement impossible, puisque c’est la définition du chaos.
donc, dans une communauté la liberté est toujours relative, parce que soumise aux lois qu garantissent l’ordre au lieu du chaos et peut être absolu que pour celui ou ceux qui imposent leur propre dictature, c’est à dire, les capitalistes !
D’ailleurs, le seul rôle qu’elle reconnait à l’appareil d’Etat, c’est précisément celui d’imposer la dictature des seuls propriétaires, dont la propriété a été obtenue pour 99% par le vol via l’exploitation de la vie d’autrui à leur profit.
Car si on considère que le but de la communauté est de permettre à chacun de ses membres de subvenir à ses besoins et que la production des biens est la somme de toutes l’activité de ses membres (positive+négative), alors, la richesse de chacun est en relation directe et déterminée par son rapport avec celle des autres en raison de l’apport de chacun à la production de richesse.
C’est le principe du mérite personnel, qui a de sens qu’en communauté et qui par définition interdit son exploitation au profit d’autrui. Sauf que le capitalisme repose sur l’exploitation du mérite d’autrui à son profit, non du mérite personnel comme ordre premier, car savoir exploiter le mérite d’autrui à son profit n’est pas un mérite personnel au sein de la communauté, mais au dessus d’elle. Où seul la nécessité du chef de guerre (militaire ou économique) impose à une communauté de reconnaître un tel mérite personnel, pour mener la guerre.
Mais le principe du mérite personnel implique la recherche d’équilibre économique et non de déséquilibre. Un équilibre dynamique étant une oscillation autour de la valeur recherché.
Bref, la dame défend la liberté du petit nombre, qui fait travailler le grand, est nourrit par lui et le gouverne (Voltaire).
@Eric F
de mon point de vue, le terme nazi convient parfaitement pour désigner les suprémacistes israéliens.
Bon, j’ai pas lu l’article, je passe juste déposer ma « crotte », sur le fait que l’auteur trouve qu’on parle trop des palestiniens victimes des israéliens nazis, mais jamais assez des juifs victimes des allemands nazis.
C"est que le bougre défend les israéliens nazis.
Bref, l’auteur aime bien les nazis lorsqu’ils s’en prennent à ce qu’il considère comme une bonne victime !
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