Bonjour à tous
Révolutionner
Alinéa, d’autres aussi peut-être, auraient envisagé que j’aie quelque envie de révolutionner quelque chose
Là comme ça, à chaud, je dirais que non.
Pourtant, comme Shawford l’avait souligné samedi lorsqu’il m’avait mis mat en disant que mon a-finalisme était propre à ma psyché (Alors qu’à l’évidence ma nourriture psychique a été constituée des trouvailles de ceux qui ont cherché la Finalité quitte à mettre la Terre sens dessous dessous) je suis a-révolutionnaire tout en ayant constamment mangé des fruits et surimis issus de révolutions.
Je suis a-révolutionnaire alors que je ne suis que révolution ; jusque dans mes sangs.
Si les autres retournent la Terre dans tous les sens pour y trouver le Sens, je les laisse faire et si des gens font la révolution, je les laisse faire. Je m’adapte à ce qui en résulte
J’ai créé des contextes marqués mais à petite échelle, Familiale, pas au-delà.
Dans tous les secteurs d’activité économique j’ai apporté des mieux ergonomiques et sensuels mais je ne faisais que participer à un mouvement préexistant. J’ai inventé des bidules mais aucun mouvement.
Je m’assigne plutôt la tâche de voir les Mouvements du mainstream puisque c’est de là que partent les Mouvements physiques de la grosse Bête et ses accouchements.
En observant les révolutions pondre des chimères (viables, je ne péjore pas), j’observe comment j’ai été conçu (Je suis chimère viable, je ne me péjore pas).
Tiens, en voilà un sujet !
Demain j’en ferai un pavé
Superbe complément Volt
Il est flagrant que ce que je dis dans mes pavés a un côté cadenassé alors que chaque point, pourtant vrai, peut être réouvert.
Il y a comme une possibilité à tout dire d’être encore redit
Tant mieux n’est-ce pas !
Je cadenasse quasiment toujours mes discours afin que mon lecteur suive le fil comme dans un couloir. Mais je compte bien qu’ensuite et surtout sur un forum ouvert et traversé par un puissant mainstream, chacun ouvrira de nouvelles fenêtres mais surtout perspectives.
C’est la perspective qui me semble intéressante : Une idée, par rapport à une autre
Les couloirs de visite que je propose ont certes des murs de part et d’autre (qui appellent à être défoncés) mais ils conduisent d’un endroit à un autre. On s’y déplace.
Edgard Poe aussi déplace son lecteur. Il démarre d’un endroit banal puis le conduit vers un extraordinaire. Mais là, son lecteur est seul, pas sur un forum traversé de vents en tous sens.
En nous mettant à l’écart en ce dimanche sur ce topic d’Alinéa, nous avons pu vivre un peu l’effet Poe dans un couloir long de 10 000 km
Outchhh !
Là vous posez un gros paquet de bonnes grosses questions personnelles
Ou la la !
Chaud !
Trop chaud !
Allez, bonne nuit Alinéa
Je repasserai ici demain pour voir s’il y a des choses à dire en fonction d’éventuelles réflexions mais pour ma part, il me semble avoir vidé à peu près mon sac.
Je ne pourrais aller plus loin qu’en parlant davantage des conséquences de toussa
En viet, le verbe aller c’est Di (tous les mots sont monosyllabiques)
On ajoute un mot devant ou derrière ce verbe intangible et on comprend que l’action est accomplie ou à accomplir
C’est déjà simple
Là-dessus, le langage de la rue le fait connaître à tous, (pas besoin d’aller trop à l’école)
Et là-dessus tout s’écrit comme ça se prononce
(Pour avoir une mauvaise note en orthographe, faut le faire exprès)
En viet, on ne peut faire le savant qu’en désignant des objets ou concepts rares.
En France, on peut déjà crâner rien qu’en disant « Il eût fallu que je le susse »
C’est dingue !
Le moinsage
Fallait être français pour inventer un truc pareil
Arrive le chapitre de la conjugaison
Je ne vais pas le développer ce soir mais je signale seulement que ça n’existe pas en viet
On y ajoute des mots comme hier, ou plus tard et ça suffit
Il n’y a même pas de conjugaison selon la personne.
Conjuguer selon 6 personnes dont les indéfinis, est un délire qui n’est utile que pour les langues maniéristes
Un enfant de France doit se farcir d’apprendre cette folie qui ne lui enseigne strictement aucun fond et qui ne l’envoie qu’aux seules bonnes manières. Et quelles manières sinon les aristocratiques
Gaspiller sa jeunesse à apprendre des manières sans le moindre contenu poétique pour seulement éviter de passer pour un âne, un inculte, c’est profondément aliénant au mépris et à la prétention
La conjugaison à elle seule permet de caster les gens entre eux
La conjugaison à elle seule produit l’éminence du savoir dans la relation aux autres
Ajoutons y les accords grammaticaux et la coupe sera pleine
Cette langue est éminemment prétentieuse
Il n’y a qu’un seul moyen d’être un Français humble, faire des fautes partout
*****Alors, pourquoi « plus » et pas « mieux » ?*****
Bah, disons que pour tout concept (sauf celui du Mieux), envisager sa dynamique va instincitvement à penser d’abord en Plus
Puisque Egalité est bloqué au = (facile à atteindre et qui ne délivre pas d’orgasme)
Puisque seules Liberté et Fraternité peuvent éventuellement avoir une dynamique, nous aurions pu dire « Plus de liberté » et « Plus de »Fraternité"
Or la Liberté est -pour chacun- ce qu’il peut faire lui
Tandis que la fraternité c’est de qu’il attend des autres à son égard
Résultat des deux concepts mous érigés en idéaux, c’est la liberté qui a été chosie par chacun et dans les seuls exutoires possibles dire et s’enrichir
***** J’ai fait une thèse en linguistique ( non aboutie comme je l’ai dit à Volt dans un autre com) ou notre système aspectuel avait toute son importance .Nous avons le système aspectuel le plus complexe de toutes les langues, en simplifiant c’est parce qu’il a besoin du contexte, de la phrase d’un récit ou de la situation d’un discours****
Cette aspectualisation me semble obligatoire tant les articles sont froids
Nous sommes obligés de compenser par les manières ce que les mots trop froids n’expriment pas.
Les smileys nous aident à contourner la nécessité de laborieuses manières. On pose une phrase simple, on ajoute un smiley et ça le fait
Il existe aussi des particularités des peuples aux différents percepts
Les illusions d’optique qui marchent sur nous sont parfois sans effets sur d’autres
Ce que je dis de la langue française vaut probablement pour les langues frangines, je ne suis pas philologue
Or elles ont toutes un même berceau, une même Maman
Les diplomates dont tu parles Shawford, étaient de ce chaudron (et de ce chaudron européen sont partis des missionnaires qui ont imposé la langue européenne dans le monde)
D’autre part, c’est cela qu’il faudrait remarquer surtout, c’est que le langage diplomatique n’est pas du tout favorable à ethos pathos
Il y a toujours un sous-jacent d’ethos pathos puisque ces choses existent, mais ethos et pathos sont cachés, dissimulés par cette langue superbement conçue pour produire de la distance et de la froideur
La gueusaille ne parlait pas cette langue
Elle était celle des princes qui devaient tuer père mère et frères
Je vais reparler ici de notre devise en parlant aussi de l’hypnose
Le principe de l’hypnose paraît mystérieux à tous, (Beaucoup n’y croient pas)
Il est simple et je vais m’appuyer sur la vidéo Mesmer chez Métro
pour l’expliciter
Il me semble que comme pour le mainstream, il serait temps que nous ayons une mise en perspective de ce qu’est l’hypnose car l’air de rien, nous sommes constamment sous petites hypnoses.
L’hypnose idéale, parfaite, est celle produite par Mesmer, ceux du music-hall et par les médecins du genre
Je prends donc le cas illustré par Mesmer / Métro que vous pourrez trouver en vidéo sur le Net
La veille, il est annoncé dans le journal Métro qu’un hypnotiseur va venir faire une démonstration.
Depuis la veille, tout le personnel y pense, le soir en s’endormant tous pensent à ce qui va se passer le lendemain.
Ils sont déjà tous à 5% sous hypnose tant leur esprit focalise dessus.
Le jour J arrive.
Mesmer est annoncé dans l’ascenseur, chacun ne pense plus qu’à ça et ne parle plus que de ça. Ils sont tous à 10% sous hypnose et s’il survient un bruit insolite dans la rue, il n’y en a déjà plus un seul qui y fera attention.
Il y en a même deux ou trois qui ont déjà oublié de passer un coup de fil pourtant urgent.
Mesmer les réunit et leur annonce clairement qu’il va les hypnotiser et en dit les détails qui seront visibles selon cette focalisation. Tout le monde, patron compris l’écoute, personne ne l’interrompt, il commande et tous les esprits boivent ses paroles. Ils sont tous à 15% sous hypnose.
Il demande 10 volontaires.
Dix personnes disposées à lui obéir se détachent du groupe principal. Dès la seconde où un volontaire s’est avancé, il s’est engagé devant la mase et ne peut plus se ressaisir parce que ce serait ridicule. Cette impossibilité de reculer en raison du ridicule lui fait exclure automatiquement de changer d’attitude. Alors il la maintient vers l’obéissance.
Le groupe principal est déjà coupé du mainstream de la rue, il est réduit à un mainstream très étroit, personne ne pense à quoi que ce soit d’autre.
Alors les dix qui s’en détachent sont encore plus isolés du mainstream de la rue. Si par exemple il y avait un incendie dans les couloirs, les premiers à réagir seront ceux qui se tiennent le plus loin de Mesmer, ce ne seront pas ceux du groupe de dix qui sont déjà hypnotisés à 70%.
Puis Mesmer en appelle un premier et il lui dit tout ce qu’il y a de plus bête et fondamental. Posez le pied ici, là, très bien, posez la main ici, parfait. Il s’agit d’indications sur l’équilibre. Nous tenons debout sans y penser alors que ce n’est pas facile. Or là, Mesmer demande au cobaye de penser à cet équilibre pourtant intinctif. C’est parce que nous ne pensons pas à notre équilibre ni à notre respiration ni à notre regard que notre pensée reste disponible à autre chose, au mainstream par exemple.
Mesmer demande à son cobaye de penser à des choses qui ne sont pas à penser. Le cobaye est à 100% sous hypnose.
Il peut alors lui ordonner le lâcher prise complet, le fruit est mûr, il n’a plus qu’à en amortir la chute.
Pendant ce temps, les autres cobayes se sont imaginés à la place du premier cobaye, et sont passés à 90% sous hypnose. Mesmer peut les convoquer à toute vitesse et ils vont passer à 100% en un éclair
Dans la vie de tous les jours maintenant.
Un ami ne dit, viens me rejoindre à une soirée extra.
Il me tente, je lui fais confiance, je m’habille et me présente à l’adresse en question que je découvre totalement.
Je sonne, j’espère que mon ami sera là etc.
Je suis tendu vers l’espoir que ça va continuer.
La porte s’ouvre, lui a l’air à l’aise, moi j’ai les yeux qui roulent partout pour découvrir la chose nouvelle, soudain mon ami me dit « Fais attention Easy, ne marche pas sur ce tapis, ce serait offense, marche plutôt sur celui-là, ce sera bien vu »
Me voilà à lui obéir au millimètre. Ensuite il me présentera à des gens en me disant quelle attitude avoir et je vais constamment lui obéir. Je vais oublier toutes mes affaires urgentes, père et mère, femme et enfants, etc
C’est de l’hypnose partielle.
Dans une entreprise il se passe constamment ce genre de chose.
Dans les réunions aussi etc
En 1789, 1792, les révolutionnaires étaient mal comme on dit.
Ils ne savaient pas du tout où ils allaient.
Quelques uns tel Lafayette avaient des références avec la démocratie américaine, avec la révolution anglaise, mais pour autant, ils balisaient. Le peuple pouvait très bien faire n’importe quoi. Il fallait très vite focaliser son attention sur quelque pendule, drapeau, musique mais surtout objectif
Le concept d’égalité (zéro caste) était hyper neuf pour 98% des Français et faisait très peur à la gueusaille qui n’avait jamais été préparer à prendre des décision importantes.
Ce seul concept aurait théoriquement dû nous suffire ; Mais il était d’allure si aposématique pour tant de gens (puisque jusque là il leur était profondément interdit de se croire à caste égale avec les aristocraties, y compris à travers les fondamentaux religieux) que les révolutionnaires paniqués l’ont entouré de deux concepts extirpés d’une position dormante, non-dite, où ils jouaient déjà plein rôle.
Ils ont entouré l’Egalité aposématique de « marchez » et de « respirez »
Jamais personne n’a été libre de tuer ou voler. La liberté chacun, dans tout pays, est un concept creux ou mou, qu’il est impossible de brandir en absolu. La fraternité c’est pareil. Tous les peuples ont toujours pratiqué une fraternité molle, ineffable, au cas par cas. Il n’est impossible d’en faire un absolu puisque déjà des vrais frères se tapent dessus.
L’égalité n’a pas de perspective contrairement à la liberté ou même la fraternité. L’égalité est un endroit, très facile à obtenir et une fois qu’on là, ce poit mort, bien rien.
Les deux autres concepts bien qu’étant en meilleure place dans le fonds de caisse, peuvent s’ils sont érigés en haute valeur, posséder une direction à prendre, toujours perfectible. Ce sont deux concepts ayant une possible dynamique
Egalité c’est fait et il n’y a plus rien à y faire de majeur et reste alors à exploiter au mieux individuel cette liberté brandie en idéal.
Il n’y a que deux libertés possible à développer, celle de la pensée voire du dire et celle de s’enrichir.
Cette devise n’offre qu’une unique dynamique individuelle possible : vers le dire plus et vers le gagner plus.
Je ne l’ai pas lu Alinéa,
Je vais en parler dans un nouveau pavé
Rectification
Nous sommes un des rares pays du monde à avoir Ces mots pour devise nationale alors que tous auraient pu nous imiter. Il doit y avoir une ineffable raison à cela
Bon, j’arrète là le pas japonais (à l’instar de la traduction, le double regard est fatigant)
Je réagirai à vos éventuels commentaires
**** Peut-être ne le peut-il pas. Pourquoi ? ****
Ahhhh , je ne sais pas Jason, je ne sais pas
Je refile sur un exemple de situation
Un soldat français est blessé,
Il est dans l’infirmerie
Il pense à sa famille, à sa douce.
Il y a une infirmière.
Elle est gentille, compassée toussa
Elle saura mettre les formes, les manières pour faire passer du pathos, de doux smileys
Mais la catégorie des mots qu’elle utilisera seront des mots froids.
Je reprends autrement ;
Si l’infirmière ne communique que par écrit et que ses mots passent à la censure militaire, ils seront « Comment allez-vous ce matin ? »
Aucun problème avec la censure militaire, tout le monde est content.
Mais le blessé a été désigné en Vous.
Au Vietnam, toujours avec une censure militaire, l’infirmière écrira « Comment va grand-frère ? »
En sachant que c’est exactement ainsi, que sa bien-aimée lui poserait la question, exactement, mot pour mot
Le soldat viet blessé entend dès l’infirmerie une femme lui parler comme sa tendre épouse lui parlerait. Et là j’ai considéré des âges égaux, Si l’infirmière est plus âgée, le soldat entendra les mêmes mots que lui diraient sa mère « Comment va fils »
Je pense, Jason, qu’il y a incompabilité entre l’égalité la liberté et la fraternité.
Nous sommes un des rares pays du monde à avoir des mots pour devise nationale alors que tous auraient pu nous imiter. Il doit y avoir une ineffable raison à cela
Les ineffables contiennent quelque chose de précieux que la langue française a piétiné en croyant mordicus que le dicible suffisait amplement
*** Sachant qu’énormément de choses sont « expressibles » dans la langue française. ***
Il semblerait qu’en raison de notre embrochement sur notre linguistique nous soyons obligés d’énormément gesticuler de formes.
Ce qu’une dame dit à un enfant de rue au Vietnam au travers d’un seul mot, il nous faut déployer ici une considérable caisse à outils manières, pour le dire.
Ici la manière est déterminante (manque alors les smileys dont nous avons déjà parlé ici)
Une dame viet qui appelle un vendeur de fruit Enfant comme elle appelle son propre enfant, lui offre directement l’ethos et le pathos (le smiley est déjà dans ce seul mot)
Ici, il faudrait appeler quelqu’un dans la rue ami, copain, camarade pour qu’il y ait un contenu ethos pathos. mais le faire c’est immédiatement se prendre une gifle « Je ne te permets pas de m’impliquer dans ton champ ethos-pathos. Ne me Touche pas »
Ici, le Tu offrirait de l’ethos pathos, mais il peut être aussi bien gentil que méchant.
Par ce Tu ou Toi on peut désigner aussi bien un aimé qu’un méprisé.
Le Tu français ne contient pas un lien indiscutable, c’est un lien dont seul celui qui l’émet détient la clef. Celui qui l’émet aliène l’autre de manière unilatérale
Alors que quand j’appelle quelqu’un tonton ce lien est celui d’une classe qui ne m’appartient pas. Je ne peux pas péjorer ou majorer cette appellation à la guise
Quand un Français appelle quelqu’un monsieur il ne peut pas péjorer ou majorer ce mot mais ce mot est alors neutre et vide de pathos
Quand un Français appelle quelqu’un Tu, il peut le péjorer ou majorer à sa guise
Au Vietnam, nul ne trouve offense à être appelé neveu ou oncle, au contraire, ici appeler quelqu’un par Tu, c’est un drame possible à la clef.
Il y a une tension dans tous les mots que les Français utilisent pour désigner les autres. Une tension qui rend les rapports toujours tendus et stressants et chacun va très vite à faire procès à l’autre rien que sur la manière dont il a été appelé.
Volt nous a signalé que
**** l’arabe a cette propriété que j’ai jamais réussi à élucider/interpréter, mais qui doit en dire long : il n’y a pas que singulier et pluriel, il y a le duel, duel féminin ou duel masculin, possiblement lui-même singulier ou pluriel, c’est très singulier. ****
Nous voilà instruits d’un fait.
Nous voilà cultivés
Mais qu’y comprenons-nous sinon qu’il existe des gens voyant différemment (ce qui est déjà une bonne chose) ?
De même que nous sommes instruits du fait que les Hopis n’ont pas notre notion du temps mais que nous sommes infoutus de deviner les conséquences que ça a (de nous mettre un instant à leur place), nous sommes infoutus de deviner les conséquences de ce duel des arables
C’est donc une chose que les ethnologues et philologues nous instruisent des particularismes tels qu’ils leur apparaissent dans leur lunette logos ou universitariste, ce serait autre chose qu’ils pensent à nous dire les conséquences de ces particularités des uns et des autres sur le sensible, sur le ressenti de chacun. Et cela en tenant compte de notre endroit pour en souligner les contrastes.
Espérons donc qu’un jour un medium viendra nous dire les conséquence de l’intemporalité des Hopis et du duel des arabes
Personnellement, bien qu’ayant déjà le regard double du caméléon, je ne parviens pas à deviner ces conséquences. J’espère donc un médium ou plutôt deux media. Chacun pour sa spécialité bi-regard.
(Il a existé des types extraordinaires tel Alexandre de Rhodes ou des grands orientalistes qui ont été capables d’avoir plus de deux regards. J’en bave)
Je vais maintenant fouiller dans ce qui s’est déjà dit ici, dans vos commentaires, me remainstreamer afin de rester en ligne
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