« gentilhomme fermier », s’il-vous-plaît.
Mélenchon n’est pour cette campagne qu’un intermittent du spectacle. Il fait son grand show comme Montebourg avant lui lors de Primaires socialistes. Un tour de piste et puis s’en va. Bayrou, lui, s’inscrit dans la durée parce que son sillon est plus profond. D’ailleurs pour Mélenchon, je ne parlerai même pas de sillon mais de sillage qui va se refermer très vite sur les eaux calmes du PS, ce parti ogre qui veut toujours plus de postes d’élus et ne pense qu’au pouvoir pour le pouvoir/