Très bon article qui ne perd pas le nord de vue.
Il me semble que dans le gratuit, il y a quelque chose que vous oubliez, alors que vous le faites tous les jours.
C’est la participation des internautes.
Même si pour 100 lecteurs, 1 écrit et 10 commentent, cela en fait du monde.
Les sites "de particuliers" existeront toujours, soit indépendant chez des hébergeurs, soit, si les noms de domaine deviennent trop chers, chez les loueurs de blog. Aujourd’hui, ils sont gratuits, et demain ils seront payants.
Mais il ne faut pas croire que la "création" des professionnels sera suffisante. Les gens veulent du naturel. Les sites pourris de pub servant à vendre des "sites" à personnaliser pour "gagner de l’argent" sur le net ne tiendront pas et c’est une bonne chose. Mais tous les sites d’amateurs (graphistes, musiciens, auteurs de nouvelles, photographes, petits films), même payants tiendront par la passion de leur webmaster. Je m’inquiète plus, et ce n’est pas pour des raisons économiques, pour tous les forums. La loi qui permet des plaintes pour n’importe quoi (Moi, artiste de série Z , figurant professionnel, j’ai été critiqué sur "Et pan sur les potiches" et je fais un procès parce qu’il y a une image extrait d’une oeuvre copyrightée de TF50 où j’ai la bouche béante. Atteinte à mon image, et aucune rétribution pour mon travail d’interprète alors que j’égaye malgré moi ce site) est bien plus dangereuse à mon avis.
Autre danger : faire croire que la finalité du net est de gagner de l’argent et de servir des films, de la musique et des jeux. Il y a tous les services administratifs, toutes les encyclopédies, tous les contacts entre particuliers... C’est comme ça qu’on fait mourir le net. En tuant l’esprit de communauté globale qu’il peut rendre possible
Il faut laisser cet ncipher ? (haine-ci faire ?)
Plus sérieusement, le fichage et la mega surveillance n’ont jamais empêché les dictatures de tomber, et les fichiers de remonter à la surface. Il y a eu des jugements d’anciens responsables de la Stasi, il y en aura tout autant pour ceux qui pensent que ce jeu en vaut la chandelle.
Ils ne semblent pas s’apercevoir que les cartes s’abattent plus vite qu’au siècle dernier. La surpopulation peut rendre tout bien plus compliqué, surtout dans un pays où les effectifs consacrés à la sécurité baissent. Les bombes sont dépassées, car les gens ont peur de la violence. Inutile donc de préparer des attentats contre un pouvoir en place.
Par contre, ceux qui sauront canaliser la colère des foules auront gain de cause. On n’est pas sûr que les policiers et les gendarmes actuels soient capables de tirer sur une foule avec des hommes et des femmes non armés et non casqués. Il est plus rentable de se déverser face à la police et d’y rester indéfiniment plutôt que de tenter immédiatement le coup de force. Les "manifestants" peuvent se relayer, s’assoir et tenter une bonne guerre psychologique en buvant frais, en chantant, tandis que les autres restent debouts à se faire ch.... Le pouvoir n’aura pas assez de réserves pour tenir tous les points cruciaux. Au bout de 8 h, les "forces de l’ordre devront être relevées, et le seront avec difficulté croissante surtout si des "forces passives gênent leur progression.
Les reserves seront dans un premier temps prises aux abords de Paris, puis en province. Ce qui permettrait de "faire tomber" les mairies progressivement. En effet, les fichiers ne peuvent être utilisés qu’avec des ordinateurs en état de marche. En bloquant "mollement" l’accès des gendarmeries et des casernes de police, on peut "inquiéter" les pères de famille sommés de rejoindre la capitale, sans pour autant toucher à leur famille. C’est de la guerre toujours psychologique. ENfin, cette guerre de "blocus mou"(pas de violence sur les biens et les personnes) peut aussi se faire sur les riches et les dirigeants. Pour se mobiliser, pas besoin de Net. Il suffit de simples tracts dans les boites aux lettres pour prévenir les gens. Car, l’opposition aussi semble avoir oublié qu’il y a des méthodes simples accessibles aux pauvres pour communiquer sans gros moyens, et sans risquer l’espionnage électronique. Pour filtrer les tracts, il en faudrait du monde, et aujourd’hui, avec les photocopieurs et les imprimantes personnelles...
L’esprit de résistance est bien plus efficace s’il est ancré en chacun d’entre nous. C’est lui que nous devons préserver face à ces agressions permanentes sur notre vie privée. Les données collectées, on s’en fout s’il n’y a personne pour les lire.
La LCR change de nom, mais cela ne veut pas dire qu’elle change d’idée. Les idéologies ne sont pas ceux que les hommes en font. Rendre le communisme responsable de cuba, des goulags de l’ancienne URSS, et de la chine actuelle, c’est comme rendre le catholicisme responsable de l’inquisition. Le libéralisme n’est pas non plus la cause des excès actuels.
Ce sont des hommes qui derrière ces valeurs utilisées à leurs seuls profits gachent la vie des autres en les exploitant à l’extrème, pour l’argent, le pouvoir, et la très haute idée qu’ils ont d’eux-mêmes.
Cette "élite" pourrit les institutions, les médias, l’économie, l’industrie, les échanges...
Il est temps de faire front, sans idées préconçues autour de notion de droite ou de gauche. Il faut penser un système juste tout simplement.
Pour se reconnaitre, il suffit d’en avoir "gros sur la patate" parce que malgré le travail de sa semaine, on vit de plus en plus mal tandis que les "héritiers" et les affairistes se gobergent à nos frais et mettent à bas les avancées sociales qui gênent leurs bénéfices.
Si mes souvenirs sont bons, il existe des munitions d’exercice avec des balles en plastique, extrèmement dangereuses à bout portant, et encore dangereuses à une vingtaine de mètres. Leur dangerosité à courte distance est amplifiée par le fait que les "petits bouts" ne se voient pas à la radio. Leur efficacité perforante est par contre bien moindre.
La faute est la même (conserver des munitions avec soi malgré les consignes, méprise de chargeur...). Maintenant, le risque zéro, surtout en matière d’erreur humaine, n’existe pas. Il y a faute, mais a priori pas de volonté de nuire. Il faut se réjouir qu’il n’y ait pas eu de morts et sanctionner "sereinement". "Sereinement", qui expliquera ce mot au président ?
Il faut dire que certains artistes touchent des droits d’auteurs, mais pointent aussi à la Sacem et ailleurs
Exemple pris sur le portail Sacem
"http://www.sacem.fr/portailSacem/jsp/ep/contentView.do?channelId=-536879975&contentId=536880481&programId=536881168&programPage=%2Fep%2Fprogram%2Feditorial.jsp&pageTypeId=8587&contentType=EDITORIAL" ;
"Bien des auteurs en seraient restés là ; pas Jean-Pierre Lang, qui , non content de construire ses chansons en artisan, comme il fabriqua un jour son bateau ("C’est pareil, il faut que l’architecture soit bonne"), a aussi consacré depuis vingt ans une grande partie de son temps à défendre la cause des auteurs : administrateur de la SACEM en 1994/95/96 (après avoir été six ans président de la Commission des Variétés) et de la SDRM, il est aussi président de l’UNAC (Union Nationale des Auteurs et Compositeurs), Vice-Président du FCM (Fonds pour la Création Musicale), du CNM (Comité national de la musique), des Victoires de la Musique, Vice-Président de Musique France Plus, entre autres."
Le problème, c’est qu’il fait plonger la France avec lui.
Mais que puis-je dire ? Je ne l’aime pas, c’est tout.
Sa façon de gouverner, ses décisions "cavalières", sa façon de s’adresser à moi à la télé ...
Et maintenant, je paie une redevance et des impots pour voir sa pub...
Je ne l’aime pas
Monsieur Tencer, vous avez raison. Le racisme, c’est pas beau. La violence ne résoud rien non plus. Par contre, la discussion avec vous est impossible. Pour qu’une discussion puisse avoir lieu, il faut des interlocuteurs de bonne foi.
Le combat contre le racisme ne doit pas être l’apanage de gens qui l’utilisent à d’autres desseins que ceux de pouvoir vivre en paix dans un monde respectueux des droits de chacun. Il est dommage que l’article choisi pour équilibrer celui avec la manipulation des médias dans cette affaire n’est pas été un article honnête rappelant que la diaspora dans sa majorité ne soutient pas la récupération systématique et la victimisation à outrance dont elle fait l’objet.
Dommage, parce que au lieu de 1 - 1 balle au centre et on calme le jeu, on a 2 -0 parce que vous marquez contre votre pseudo-camp.
Je pourrais en fait vous suspecter d’être un loup déguisé en mouton, dont la raison serait d’exciter justemant cette haine contre la diaspora pour que finalement elle soutienne ceux qui prétendent la protéger. Je pourrais, mais en fait, non. Parce qu’il ne m’intéresse pas de prendre part à un débat avec les mauvaises personnes.
Affaire montée en épingle pour profiter du déplacement de notre cher président en Israel.
Ce qui comptait pour les journaux : le jeune avait une kippa et en a pris plein la tête. Qu’il l’ait bien cherché, on s’en moque.
D’ailleurs, la justice prend parti puisque les charges pesant sur les accusés insistent sur un caractère "antisémite".
Il devient difficile de dénoncer les extrémistes juifs ou les excés de l’état d’Israël sans être injurié, voire risquer des procès couteux. Nous pouvons donc juger des excès des modifications du code pénal à ce propos, puisque pour exprimer une opinion sur des faits, l’auteur peut être poursuivi par des associations bien organisées.
Ce qui me réjouit, c’est que sur Agoravox, on ose encore. Qu’il s’agisse du journaliste, comme du comité éditorial. Bravo
La télé ne me manquera pas. Et comme le dit l’auteur de l’article, le citoyen quand il est sur le net, il n’est pas devant ce qui devait être culturel et qui est devenu une manipulatrice de cerveaux.
Ce qui est quand même un comble, c’est que l’internaute qui jette sa télé sera taxé deux fois :
Primo, il devra quand même payer une redevance parce qu’il a le net, et qu’il a donc de quoi recevoir la télé
Secundo, parce qu’il utilise internet.
Alors, , même taxé, je continuerai à faire comprendre sur le net que je ne respecte pas toute cette équipe de ringards (mais je respecte la charte m’interdisant tout terme qui pourrait paraitre injurieux mais qui serait pourtant à propos), en attendant que nous soyons assez nombreux dans la rue pour faire valoir ce que vaut une voix de citoyen en colère.
Je rassure par contre l’auteur de l’article. L’esprit fantassin existe encore, car il ne faut pas seulement juger de ce qui se passe dans les état-majors.
J’apprécie la modestie de l’auteur qui cite ses sources et se fait l’écho d’une vérité qui dérange. Les industriels bénéficieront mieux du budget de la défense tandis que les soldats seront paupérisés et risqueront leur vie pour une poignée de cacahuètes supplémentaires. Aujourd’hui, 50000 d’entre eux vont perdre, non un simple emploi, mais ce qui est pour eux une raison de vivre.
La gauche, puis la droite, n’ont de cesse de détruire cette armée française qui fait tache par rapport à l’armée américaine, obtenant des résultats sur le terrain même quand les moyens manquent. Le choix de citer le Général Thomann est excellent, car cet homme d’action a toujours eu le respect de ses hommes et continue encore aujourd’hui à penser à eux.
Néanmoins, l’esprit d’abnégation persistera au delà de l’existence d’une telle gouvernance irresponsable. Et il est maladroit pour le gouvernement de faire partir 50 000 militaires qui savent tenir leur langue, mais aussi s’en servir au bon moment dans le milieu civil. Car ces 50 000 citoyens auront le temps d’être actifs et sauront ouvrir les yeux de leur entourage sur la triste réalité de l’état corrompu. J.D Merchet, par la qualité de ses articles doit avoir le "réseau" qui convient pour que plus rien de ce qui peut être interprété parfois comme de la traitrise n’échappe aujourd’hui à la population.
Pardon de me répéter encore une fois.
La musique est devenu un produit d’appel. Ce soir, j’ai vu une carte de crédit permettre le téléchargement illimitéede titres peut-être obsolètes... Mais comment les majors, elles, comptent rémunérer leurs artistes ? Vont-elles d’ailleur les rémunérer, en particulier ceux pour lesquels internet n’existait pas à l’époque de leurs contrats ? Cela ne les empechera pas d’encaisser...
On sait que les artistes touchent vraiment une petite portion du prix final proposé au consommateur. Alors, faire pleurer sur les droits d’auteurs, c’est vraiment hypocrite.
Le secteur de la musique est en crise. Normal. Trop chère pour des français dont le pouvoir d’achat dégringole de plus en plus vite. Comme les bénéfices ne se font aujourd’hui que sur des "gros tirages", les petits tirages n’existent plus, d’où la disparition de la diversité.
Le système est sclérosé. Il faut l’achever. Le boycott du secteur traditionnel est une bonne solution. Et le téléchargement d’oeuvres en licence libre (pas toujours gratuit) permet de récréer la diversité. Surtout, ne pas pirater. C’est encore répandre la musique du système "industriel" qui étouffe dix, cent artistes pour qu’un puisse faire rêver en pétant dans la soie et en faisant des procés aux sites qui "les dérangent" et abiment une image batie avec de l’argent et de la propagande dans des "magazines people" pour ne pas dire "poubelle".
Boycott de l’industrie. Pas de piratage. Vive le libre
(Quelques remarques : pourquoi une vedette devrait gagner des millions ? Est-ce l’état qui doit les entretenir ? A t’on besoin de millions pour créer ? )
Marie aude (l’auteure) préconise pour les petits sites (et c’est ce que je fais) des photos persos (merci le numérique).
Néanmoins, il faut reconnaitre aux photographes professionnels qu’il y a des photos que jamais un amateur ne réussira autrement que par hasard.
Pour illustrer un site littéraire, , j’avais besoin d’un stylo. Et je me suis posé la question. Si je photographie le stylo que j’ai acheté, le dépositaire de la marque ne peut il pas me reprocher d’avoir mis une photo de SON stylo, donc d’avoir voulu utiliser SON image ? Avec ces histoires de droits sur tout, on finit par marcher sur la tête.
Article bien vu, même si on peut dénoncer le côté "simpliste".
En effet, le but est bel et bien de précariser tout le monde au moment où, malheur, nous allons manquer de bras, car nos chers séniors aspirent à leur retraite.
Trop bien payé, le français pourrait être concurrencé par les autres européens qui viendraient sur son sol lui retirer le pain de la bouche (le plombier polonais).
Pour protéger l’emploi des français, il faut donc le dévaloriser : grand principe du "moins disant" pour une "saines (?)" concurrence.
Fini donc le monde occidental riche sur le dos des pays pauvres qui en plus voudrait déverser leur trop plein de population dans nos verts paturages ? Le commerce équitable aura lieu, avec une paupérisation générale, sauf pour une élite bien sûr ? (Enfin, ce ne sera pas spécialement équitable, on aura juste réussi la "division du travail" au niveau mondial.).
Et bien non ! La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Il s’agit juste d’inverser le mouvement du balancier, d’organiser le chaos et de profiter du mouvement brownien pour se remplir les poches, un coup au nord, un coup au sud, un coup à l’ouest , ...
Et les populations ? pfff
Entièrement d’accord avec Forrest Ent, sinon qu’aujourd’hui encore plus qu’hier, on a besoin de solidarité.
Ce n’est même plus une raison d’argent, c’est une nécessité sociale. Par manque d’argent, à tirer à hue et a dia, on execerbe les tensions, on précarise les plus faibles, on renforce les égoïsmes et finalement on laisse faire les saboteurs en pinaillant sur les miettes d’infos qu’ils nous jettent.
Il serait temps de constater que ce gouvernement ne réforme que pour défaire ce qui était un pays où le capitalisme était contrebalancé par des lois sociales favorables à la majorité de la population.
La politique familiale est une chose, l’assistance aux plus pauvres en est une autre, soit. Mais aujourd’hui, pour les plus pauvres, comme pour les moyens, ce qui compte, c’est d’être équilibré à la fin du mois. car, à la différence des politiciens qui vident les caisses de l’état, pour les particuliers dans le besoin, il n’y a pas de recours possible au crédit aprés le premier million de dette.
Cet article est malheureusement écrit par quelqu’un de trop partisan, ce qui prive l’auteur du soutien des "pauvres" qui croient encore au gouvernement actuel. Rappelons que CSG et CRDS ont été mis en place par la gauche (et augmentés par la droite). Leur assiette tient compte de toutes les rentrées d’argent afin justement de taxer les revenus de la Bourse (et malheureusement aussi l’épargne des plus modestes et ... les AF.)
Rappelons aussi que le PS n’est qu’une entreprise politique comme une autre et que la plupart de ses "figures" n’ont rien à voir avec le peuple. Bref, il fait partie du cirque politique et fait la même chose que l’UMP en ce qui concerne le sabotage des institutions.
Un article sur Agoravox traitait d’ailleurs de ces modifications de constitution sans référendum, une majorité des 3/5 des élus étant suffisante.
Ce "bipartisme" partisan est coupé du peuple qui gronde, et qui ne fréquente pas agoravox. Aujourd’hui, il fait "le gros dos" et les banlieues ne sont que des "zones de non-droit" infestées de "racaille" pour certains. Demain, il sera impossible de faire face à la vague de colère, qui peut surgir de n’importe où, à la faveur d’un accident de la circulation avec des képis, ou d’une grève qui dégénère.
Les AF font partie du petit porte-monnaie. Y toucher, c’est risqué, de plus en plus risqué. Ce n’est pas pour rien que le prix du gaz ne va finalement pas augmenter au premier juillet pour le motif invoqué. Cette augmentation sera prise en compte quand le baril sera à 140 dollars... en aout, qu’on donnera encore les primes de rentrée scolaire.( Mais pour combien de temps ?).
Ce n’est pas pour rien qu’on va équiper la police de tazer (au fait, avec quoi va t-on les payer ceux-là ? Mais pour eux, il y a de l’argent)
Autant vos rappels juridiques sont intéressants, autant je les trouve inquiétants, ainsi que votre conclusion qui se veut ouverte et qui est très fataliste.
Vous êtes vous posé la question que si mettre une photo "illustrative" en ligne coûte aussi cher, les particuliers passionnés du net devront trouver des fonds pour maintenir en ligne leur site-passion. Ces fonds, c’est de la vente proposée à l’internaute, ou de la pub.
La pub, finalement, c’est le consommateur qui la paie aussi par sa consommation. Et voilà le beau web 2.0 partageur qui devient une vitrine ou seuls peuvent figurer ceux qui ont de l’argent, et qui ne cherche qu’à "vendre" à l’internaute.
Ce "net" n’est pas celui que je souhaite. La fondation "Agoravox" met parfois des publicités qui "bloquent" l’internaute si il ne clique pas là ou la pub l’exige. Le prix à payer pour vos bons articles ? Vous décrouvrirez bientôt qu’aprés avoir gouté au fric de la pub, vous en serez dépendant. Ensuite, on peut ne plus passer par vous, et vous coulerez ou vous céderez au chantage du "monde marchand". Les articles deviendront alors moins dangereux pour les "grands de ce monde", par l’intermédiaire du "comité de rédaction".
Ces lois qui imposent des fonds importants pour exister sur le web sont donc honteusement élitistes et à terme impose aussi des censures (fuzz a disparu, ce n’était pourtant qu’un "amplificateur et relai sd’information"). Drole d’adaptation que tolérer ce scandale. La liberté d’opinion et d’information est menacée par des lobby qui pèsent sur les politiques pour compliquer les lois et ainsi éliminer la concurrence des petits.
Bon, en tout cas, je jette la pierre "trés mollement" sur agoravox qui me permet encore mon commentaire.
C’est rare que je ne dise pas de bien d’un article publié sur Agoravox. En effet, je me contente habituellement de passer mon chemin. On peut être "maladroit" et cependant, cet article correspond à du travail personnel etc etc qui mérite le respect.
Mais là, c’est évident. Mettre le téléchargement illégal sur le net au même niveau que gagner de l’argent par la revente de produits contrefaits, c’est un amalgame inique. Le cinéma n’est pas reproductible à la maison. Ceux qui n’ont pas les moyens d’y aller aujourd’hui n’ont pas de "rupture sociale" si ils peuvent avoir un accés à la culture, même galvaudé . (Le film est découvert dans une trés mauvaise qualité visuelle, la joie de la sortie est absente).
Rajouter en plus qu’on pourrait battre Titanic sans le piratage...c’est minable. Surtout que des "pirates" ont pu dire que le film valait la peine et inciter des gens qui n’ont pas internet (50% des ménages encore et surtout des vieux) à aller voir le film.
C’est la crise depuis longtemps. Cela crée des tensions qui dans un premier temps ont profité aux "fournisseurs de loisirs". Mais aujourd’hui, il faut choisir entre la daube dans l’assiette ou celle dans le lecteur de DVD ou sur grand écran. C’est aussi simple que ça, et les majors de la musqiues et du cinéma devraient faire preuve de plus de décence dans leur lutte contre la copie privée et l’échange entre copains. Par exemple, en créant des mediathèques avec autre chose que des vieux films, ou des sites de streaming gratuit pour des films "amortis" au lieu de tenter de les integrer dans leur "longue traine commerciale" et de faire de la censure par de la "non distribution".
Une seule solution. Boycotter cette industrie en se tournant vers la lecture, le jardinage (et le potager) , les jeux de société, les amis... Les amis, peut-être est-ce cela que les gens ont désiré voir en allant voir "Bienvenue chez les ch’tis", pas du tout adeptes du "travailler plus pour enrichir les distributeurs" qui indispensables, ne vendent plus selon le prix de revient et un honnete bénéfice, mais selon le prix que le consommateur est prêt à mettre pour manger, se chauffer ou se changer les idées en se faisant un maximum de bénéfices.
L’innocence compromise du Dalai Lama doit-elle cautionner le gouvernement chinois ?
La question est surtout de savoir pourquoi les membres du CIO ont donné l’organisation des jeux à ce gouvernement ?
A mon avis, ce n’est pas dans le sport qu’il faut trouver la réponse. De toute façon, la compétition de haut niveau ne sert que de cirque publicitaire aux grosses marques... avec notre argent, car c’est nous qui ensuite payons en passant à la caisse du supermarché.
Alors, oui, le boycott est tentant. Que chacun se détermine. Enfin, la "crise alimentaire" va permettre de vendre moins et plus cher à des gens affamés qui seront ravis de pouvoir acheter un peu et se sentiront plus à l’aise dans moins de graisse.
La liberté ? Nous sommes aujourd’hui trop dépendants de rouages que nous ne maitrisons plus. Mais au moins, soyons rétifs, critiques et prêts...
Le fort a toujours raison, même si sa raison n’est pas toujours la meilleure.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération