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 C BARRATIER

C BARRATIER

Je travaille depuis l’âge de 18 ans auprès des enfants, successivement instituteur, professeur, permanent des Centres d’Entrainement aux Méthodes d’Education Active (CEMEA), principal de collège, proviseur de lycée, mais aussi responsable de rencontres internationales de jeunes en Avignon et dans des chantiers bénévoles, conseiller municipal avec un suivi de crèches municipales, d’un Conseil municipal des Enfants, de chantiers internationaux dans ma commune. Je suis aussi Délégué Départemental de l’Education nationale appelé à suivre régulièrement le fonctionnement d’écoles publiques ou privées.

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  • Premier article le 28/03/2009
  • Modérateur depuis le 15/02/2010
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Derniers commentaires



  •  C BARRATIER C BARRATIER 30 décembre 2010 18:21

    Je parlerai plutôt de malades ou bien de révoltés.

    Dans le mot anarchie je perçois un pointage de gens qui refusent d’obéir. Qui combattent les dirigeants autoritaires. Et qui vont jusqu’à refuser l’obéissance civile à des élus de la démocratie, ce qui peux paraître très critiquable.

    Sauf que nos élus nous trahissent la plupart du temps. On l’a vu avec le référendum européen : nous avions dit non, nos élus ont ratifié le même traité sans référendum, les uns en votant pour, les autres traitres mais en plus lâches, en s’abstenant.

    Notre société se délite, il faudrait tout refonder avec participation citoyenne, et ne plus permettre aux élus d’avoir deux mandats successifs : obligés de faire ce qu’ils promettaient au lieu de passer leur temps et notre argent pour leur réélection.

    Je désapprouve les attentats aveugles, je ne vois pas des anarchistes les commettre, ils ont d’abord soif de justice.

    Il faut voir qui les accuse sans preuve pour comprendre une partie de ce qui se passe. Les sbires de BERLUSCONNI ne seraient ils pas capables de faire diversion dans le sang pour reprendre un pouvoir sur l’opinion ? On connaît la musique en FRANCE.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 30 décembre 2010 18:07

    On est à côté du problème, en servant la tarte à la crème de la violence des banlieues. La violence est partout dans le monde, et avec nos autoroutes de l’information chacun en est informé.
    La première violence qui désespère, qui bloque l’éducation, qui tue, est celle des délocalisateurs qui détruisent notre économie. La violence de ceux qui ont détruit l’accès facile aux soins que nous avions hier pour remplacer les services publics de santé et qui a comme conséquence un accueil difficile aux urgences. La violence des fabricants, vendeurs, politiques qui ont permis les ravages de l’amiante ou du Médiator. La violence de ceux qui ont déclenché une guerre en IRAK, mais avant eux nous avions eu la violence d’autres guerres (y compris nos conquêtes coloniales ou l’inquisition). Les millions de torturés, d’affamés, d’assassinés sont là.
    La banlieue c’est du pipeau, on n’y torture pas, on n’y tue pas en masse, et on n’y est pas décoré pour l’avoir fait.
    Tant qu’existera la violence des prédateurs financiers, des violeurs et pédophiles sacerdotaux ou autres, des affameurs, des pillards d’argent public qui manque pour le « social », il restera sain que la violence se développe partout y compris en banlieue.
    Les discours ne changeront rien, il faudra des actes.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 29 décembre 2010 19:12

    D’accord avec EDDY.
    Les syndicats de personnels du privé et aussi les évêques sont montés au créneau en disant clairement qu’ils exigeaient le maintien de leurs petits effectifs. Et les citoyens de ce pays laissent faire...ou même encouragent alors que l’école communale est le premier rempart de la République.

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=123

    Dans mon département, par exemple à BRIGNAIS, on fait payer depuis septembre un coût des études aux parents de l’école publique pour pouvoir continuer à financer les classes maternelles catholiques alors que ce financement est facultatif. Dans ma propre commune à CHESSY les MINES le conseil municipal a voté une augmentation du prix du repas de la cantine pour les enfants de l’école publique pour payer un personnel de service supplémentaire devenu nécessaire pour accueuillir 70 enfants de l’école catholique qui mangeaient auparavant ailleurs, la plupart venant d’autres communes.

    Le cahier numéro 13 du centre de développement de l’OCDE explique comment il faut détruire les services publics : ne pas toucher à la quantité (de classes, de places) mais rogner sur la qualité (moindre qualification ou formation des maîtres, surcharges de classes. L’école catholique sait cela et peut mettre en avant la qualité chez elle aux frais des contribuables majoritairement usagers de l’école publique.

    Les citoyens choisissent leurs gouvernants à tous les niveaux dans le silence total sur ce sujet de liquidation de l’école publique.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 29 décembre 2010 18:40

    Bon article pour moi. Les musulmans ont par leur volonté de s’imposer ostendiblement, par leur silence lorsque leurs islamistes disaient que la loi de leur dieu passait avant la loi républicaine, créé les conditions de leur éviction de la société laïque, pour le plus grand bonheur de ceux pour qui ils ont « roulé », les intégristes catholiques qui font maintenant leur surenchère, les intégristes juifs qui pourront plus facilement coloniser la Palestine.
    Tout cela menace la République :

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=123

    Dans une République laïque qui ne peut vivre que si elle est sociale, nous avons de nouveau à entrer en Résistance comme en 1940, sans oublier que les forces apparentées au Front national faisaient partie de la croisade anti républicaine. Ce n’est pas de Marine LE PEN et de ses imitateurs sarkoziens que viendra la réistance pour la liberté de pensée et la laïcité.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 29 décembre 2010 18:26

    Matthieu LEPINE, je partage, hélas. Le problème est la « baisse » du bénévolat chez les républicains laïques, leur laxisme, cependant que les autres s’activent, se font élire à tous les niveaux et détricotent notre République française. Que leur famille de pensée n’avait jamais acceptée.
    J’ai donné une conférence à BOURG en BRESSE destinée aux élus locaux sur le thème de la commune et de son école, qui furent le premier rempart de la République. Bonne participation, débats riches, mais constat accablant bien que pas sans espoir ; les maires ruraux se réveillent :

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=123

    Avons nous la même inspiration, j’ai la même image de la liberté de DELACROIX en fond de site que j’ai nommé
    Retraités dans la République
    Tout un programme qu’il faut assumer

    Je pense que MELENCHON va dans le bon sens, son livre Qu’ils s’en aillent tous est une bonne base de départ.
    Il me plait qu’il ait compris que le premier et peut être le seul enjeu des prochaines présidentielles soit la République laïque issue de 1789. Il y a aussi fort à faire au nioveau municipal, et régional...et bien sûr au niveau européen nous avons un solide cheval de TROIE étatsunien à bouter hors de chez nous.

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