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Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 31 mars 2012 19:02

    @Georges Yang
    C’est toujours un peu frustrant de ne pas trouver dans un article quelque chose à partir de quoi on pourrait développer une petite critique, mais là, vraiment, je ne trouve aucune prise. Tout est dit, lumineusement - et tant pis pour la frustration. Bravo !



  • Christian Labrune Christian Labrune 31 mars 2012 12:33

    @simir
    "Affirmations sur Mélanchon au ministère de l’enseignement totalement fausse. J’ai même vu dans une émission tv Luc Ferry qui n’est pourtant pas un affreux gauchiste reconnaitre que mélanchon avait beaucoup fait pour l’éducation professionnelle"


    Etiez-vous dans l’éducation nationale à l’époque où Mélenchon s’occupait, comme ses prédécesseurs, à la démolir ? Quelle expérience avez-vous de la chose ? Vous vous retranchez derrière un vague avis d’un autre ministre, plutôt à droite, mais lui aussi a joui du portefeuille de l’Education nationale et il ne s’est distingué lui non plus par aucune résistance particulière au processus de démolition qui avait été initié par les socialistes. La droite rêvait de détruire le système d’instruction publique, qui est comme un état dans l’état. Elle ne pouvait pas le faire : le corps enseignant, comme un seul homme, serait descendu dans la rue. C’est la gauche qui s’est chargée de la démolition, en utilisant au mieux les anesthésiants idéologiques habituels. Les enseignants chez qui l’intelligence devrait être en principe une obligation professionnelle se sont laissé rouler dans la farine comme des crétins à partir du moment où c’était la gauche qui amputait. Arrêtez donc de glorifier un Mélenchon : c’est le pire des charlatans.


  • Christian Labrune Christian Labrune 30 mars 2012 21:13

    @aliciabx
    je n’ai pas encore eu le temps de m’informer à propos des 19 islamistes et je ne peux pas en parler. Tous ceux, ici, qui râlent parce qu’on a trucidé le bourreau de Toulouse, ont protesté parce qu’on n’avait pas pris à temps les mesures qui s’imposaient. Il reste que si en janvier on s’était mis à arrêter des islamistes en grande quantité, les mêmes auraient hurlé : la France est devenue un état policier, on arrête préventivement des gens qui n’ont rien fait, c’est le fascisme, etc. 
    Maintenant, il va bien falloir démanteler les réseaux, et le nouveau président qui sortira des urnes sera nécessairement confronté à une entreprise délicate : comment, dans une démocratie, faire face à une pareille menace sans attenter aux libertés.
    Je suis tout à fait d’accord avec vous lorsque vous posez que les musulmans eux-mêmes devraient faire un peu le ménage. Malheureusement, c’est plutôt le contraire qui s’observe : aucune déclaration fracassante de ce côté-là. On continue comme si de rien, en espérant qu’il n’y aura pas d’autres horreurs, et on n’envisage aucune révision de la doxa coranique. C’est pourtant cela qui serait urgent, indispensable. Pire : on continue à trouver sinon des excuses, du moins des explications au geste du tueur : c’est la misère des banlieues, c’est l’éternelle humiliation dont sont victimes les Arabes, etc.. Discours pathologiques, sinon délirants, qu’analyse très bien et très finement un Jacques Tarnero dans son dernier bouquin : « Le nom de trop - Israël illégitime » dont je lisais tout à l’heure la dernière page.



  • Christian Labrune Christian Labrune 30 mars 2012 20:52

    @commando pernod
    Où voyez-vous que je prenne la défense de Sarkozy ? Je trouve détestable sa politique intérieure et exécrable sa politique extérieure, particulièrement après l’aventure Libyenne. Le problème est qu’on a affaire à des politiciens assez lamentables, et l’idée ne me viendrait certainement par de déshabiller un Sarkozy pour rhabiller un Hollande ou un Mélanchon. Voyez plus haut ce que je pense de ces deux-là.
    Ce qu’a produit Sarkozy en cinq ans était tout à fait prévisible, c’est ce qui fait que je n’avais pas voté : avec sa concurrente de 2007, on en serait arrivé au même point par des chemins différents. A voir aujourd’hui les deux autres pieds nickelés étiquetés à gauche, il y a lieu aussi de craindre le pire. Etant de sensiblité libertaire, bien que je déteste quand même la naïveté incurable des anarchistes, je suis assez proche de la tradition anarcho-syndicaliste. Je pense qu’il faut, à la base, résister au pouvoir, et ne jamais se faire trop d’illusion sur les étiquettes du personnel politique dans un système représentatif : quand on arrive au pouvoir, c’est d’abord pour en jouir entre copains, et l’intérêt général passe très vite au second plan. Les années Mitterrand, on les appelle maintenant - et pour longtemps ! - les « années fric ». Ca ne vous paraît sans doute pas injustifié, mais avouez que c’est quand même un peu bizarre !



  • Christian Labrune Christian Labrune 30 mars 2012 20:32

    @Le Manu
    Quand vous aurez remplacé Sarkozy par un Hollande qui ne trouve rien de mieux à faire que des numéros d’imitation d’un ancien résistant décoré de la francisque, copain de René Bousquet, clown des jardins de l’Observatoire , guillotineur de jeunes Algériens en 56 et introducteur du libéralisme mondialisé après le gouvernement Maurois, vous serez bien avancé. A moins que vous ne préfériez le populiste Mélanchon qui veut « qu’ils partent tous », qu’ils « dégagent », comme on disait ailleurs au printemps, et qui devrait bien, dès lors, être parmi les premiers à partir, étant lui-même un membre très anciennement installé du triste sérail. Il a été en effet le plus insignifiant des ministres de l’Education nationale, se contentant d’expédier les affaires courantes et de contribuer à la démolition du système. Je ne vous ferai quand même pas l’injure d’envisager l’hypothèse que vous puissiez voter pour l’autre Front du Janus populiste.
    Croire qu’on puisse changer la réalité en votant pour l’un ou pour l’autre, c’est vraiment croire encore au Père Noël. En vérité, quand on ne peut pas voter, on ne vote pas. Si on vous donne le choix entre la peste et le choléra, croyez-moi, il n’y a pas lieu de s’exalter comme vous paraissez le faire.

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