• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Christian Labrune

Christian Labrune

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 10 10342 470
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 681 264 417
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 7 janvier 2019 17:16

    Je ne vois pas de qui vous voulez parler ? 

    .......................................................
    @gruni

    Moi non plus, hélas, et c’est ce qui est désespérant. Les partis dits « de gouvernement » sont morts et enterrés, et on ne peut certes rien attendre des démagogues fascisants aux extrêmes, sinon le pire.
    On peut toujours espérer, et c’était le sens de mon propos. Il reste qu’on est vraiment dans la merde.



  • Christian Labrune Christian Labrune 7 janvier 2019 17:01

    Si vous vous présentez aux urgences d’un hôpital avec une fracture ouverte et une mine assez crispée, on ne vous demandera probablement pas : expliquez-nous donc un peu pourquoi vous dites que ça vous fait mal.

    Or, avec son « Grand débat démocratique », c’est ce que prétend faire l’actuel gouvernement. Il se propose probablement, après cela, de disserter doctement, comme les médecins de Molière, sur « le cas d’un malade qui mourut hier ».

    La France va très mal, de plus en plus mal. et il serait temps, pour ses tortionnaires charlatanesques, de laisser la place à des praticiens un peu plus intelligents et compétents. 



  • Christian Labrune Christian Labrune 7 janvier 2019 13:18

    @Parrhesia

    Je ne trouvais pas l’article de l’auteur fort critiquable : l’analyse me paraît tout à fait juste. Je vois cependant que, sur le fond, nous sommes à peu près d’accord.
    Le phénomène des gilets jaunes est un symptôme pathologique inquiétant et qui exigerait un traitement en urgence, quelles que soient par ailleurs les critiques qu’on peut formuler concernant des manifestations qui peuvent aboutir à des exactions lamentables. En tout cas, ce n’est pas un rhume qui guérit en une semaine avec un bon traitement et en sept jours sans traitement. Si rien n’est fait, ça ne va pas s’arranger tout seul !



  • Christian Labrune Christian Labrune 7 janvier 2019 11:17

    C’est toujours tristement amusant de voir des fascistes notoires évoquer les droits de l’homme.

    Bien entendu, si vous êtes, vous aussi, stipendié par des néonazis

    ================================
    @machin

    Si je demandais à la modération la suppression de ces insultes, elle serait immédiate, mais je préfère les laisser en place.
    Leur auteur ne comprendra certainement pas pour quelle raison je fais un tel choix, mais le lecteur qui dispose d’un cerveau en état de rendre quelques services ne manquera pas de l’approuver : tout cela est fort éclairant.



  • Christian Labrune Christian Labrune 7 janvier 2019 11:02

    @Parrhesia et Zaza

    Je trouve vos réactions à cet article bien injustes. Je ne pense pas que les solutions prônées par les gilets jaunes, pas même leur idée de référendum, soient particulièrement pertinentes, mais on ne peut quand même pas leur reprocher de n’être pas des constitutionnalistes chevronnés ou des politiciens au fait des difficultés qu’engendre nécessairement toute orientation politique.

    Ce que l’émergence de leur protestation fait apparaître, c’est un échec patent des orientations qui sont arbitrairement imposées par les décisionnaires de Bruxelles, et depuis trop longtemps. S’ils en crèvent comme ils le disent - et on a toutes les raisons de les croire-, c’est bien qu’on a radicalement fait fausse route .Le premier devoir des politiciens dans un système authentiquement démocratique, ce serait de revoir d’urgence leur copie.

    Mais ils préfèrent le déni : ça finira bien par se tasser. On pourra continuer la même politique, et si on tient jusqu’à la fin de son actuel mandat, pour eux, c’est ce qui compte !-, on pourra bien toujours se dire : après nous, le déluge !

    Mais le déluge en la circonstance, ce n’est pas, comme on essaie de le faire croire aux imbéciles, un réchauffement climatique susceptible de les faire crever, c’est un désordre social qui ne peut aller qu’en s’aggravant si l’existence des citoyens devient de plus en plus précaire. Dans les pays dits « en développement » et qui ne sont pas engagés comme au Moyen-Orient dans des guerres fratricides, le niveau de vie s’est un peu amélioré depuis un demi-siècle et on peut encore y espérer, dans l’avenir, des améliorations. En revanche,dans nos pays qui connaissaient encore il y a quarante une relative prospérité, l’avenir paraît sombre, et c’est le sous-développement qui paraît promis aux enfants de toute une large partie de la population, laquelle garde pourtant le souvenir d’un état des choses bien différent, voit très clairement qu’on travaille désormais contre elle et qu’on la trahit.

    Macron et ses godillots s’accrochent désespérément au programme qui leur est imposé. Leur manque d’intelligence et de courage les empêchera d’essayer de trouver des solutions qui imposeraient d’urgence de reconnaître que quand un état cesse d’être une nation souveraine, il est pour ainsi dire condamné à mort. Ils seront donc balayés, et on les voit actuellement en train de faire le lit des démagogues d’extrême droite-gauche qui ne tarderont pas à les remplacer pour foutre le bordel. Ah, les cons !

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv