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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 février 2019 14:40

    ERRATUM

    « L’auteur ne le dit pas, mais c’est probablement son dernier article sur Wikipedia ».

    Lapsus ! Je voulais dire : AgoraVox.

    (sur Wikipedia, on est quand même en général, fort heureusement, plus objectif : on ne peut pas se permettre de raconter n’importe quoi.)



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 février 2019 14:36

    L’armée, jusqu’à ces derniers temps, bien mieux nourrie que le reste de la population qu’elle avait à réprimer, comme dans toute démocratie qui se respecte, soutenait le régime. Un peu comme la corde soutient le pendu.

    Depuis quelques jours, les désertions se multiplient, et des soldats écoeurés par ce qu’il ont été obligés de faire rejoignent les centaines de milliers de Vénézuéliens qui ont déjà fui leur paradis socialiste.

    Il reste fort heureusement des soutiens lointains au dictateur, particulièrement en Europe ou au Canada. On aura bientôt du mal à savoir la vérité sur ce qui se passe là-vas parce qu’ils ne vont pas tarder à prendre l’avion pour se porter enfin sur place au secours de ce pauvre bienfaiteur du peuple vénézuélien. L’auteur ne le dit pas, mais c’est probablement son dernier article sur Wikipedia. Quand il sera occupé à faire le coup de feu dans les rues de Caracas pour exterminer les crapules réactionnaires à la solde des Etats-Unis, il n’aura probablement plus le temps de nous informer.



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 février 2019 10:26

    Il est indiqué sur les graphiques de la Note 19 que les chiffres ont été produits par l’ONG israélienne B’Tselem.

    ===================================

    à l’auteur,

    On s’en fout de vos précisions. L’antisémitisme à jet continu sur AgoraVox, ça commence à bien faire, et je ne lirai même pas votre « article ».

    Soyons clair : commenter la sorte de prose dont vous vous êtes fait ici le spécialiste, cela revient à considérer que l’antisémitisme serait une « opinion » comme une autre. J’ai fait trop souvent cette connerie, et j’y ai perdu trop de temps.

    Laissons les antisémites se congratuler tout seuls dans l’exaltation de leur misérable passion triste. Ca n’en sera que plus éclairant.



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 février 2019 10:12

    ERRATUM
    ". Ca fera un chrétien de plus, certes, et c’est très bien, mais ce serait mieux aussi, probablement, si on sait lire, qu’il y en eût moins en France."

    J’aurais dû écrire : « qu’il y eût moins de Juifs » en France. On voudra bien excuser quelques fautes de frappe moins calamiteuses que je ne signale pas.



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 février 2019 09:59

    @Octave Lebel

    Le document que vous proposez est particulièrement intéressant, mais je connais par coeur cet argumentaire qui a été souvent développé, et il m’a longtemps rassuré sur un De Gaulle que j’admirais et que je ne voulais pas croire antisémite. Comme je l’écrivais plus haut : je n’avais pas encore vingt ans en 67 ; j’avais entendu le discours, et je n’avais retenu que l’éloge appuyé, peut-être même un peu trop, du « peuple juif ». Dans la bouche d’un De Gaulle, un « peuple sûr de lui et dominateur », mais dominateur avec les valeurs de la Torah, ça exprimait plutôt une admiration, et ça pouvait évidemment être mis en balance avec l’espèce de mépris que lui inspirait une France toujours tentée par le défaitisme, d’où sa formule célèbre : « Les Français sont des veaux ».
    Je me suis dit longtemps que Raymond Aron, dont j’avais aussi oublié l’article, devait être dans la même erreur calamiteuse qu’un autre Juif, lui aussi résistant de la première heure, Mendès-France, qui avait néanmoins poussé jusqu’au ridicule et à l’odieux son animosité contre le « pouvoir personnel » du Général, jusqu’à se mettre, dans son discours au stade Charlety, à la botte d’un ancien maréchaliste encore ami du chef de la police de Vichy.
    Beaucoup d’arguments sont idiots dans cet argumentaire. Il manque l’opération de la prostate. Là encore, De Gaulle confie en tout confiance son anatomie à un chirurgien juif réputé, le professeur Aboulker. Et alors ? Je suis soigné pour des problèmes oculaires depuis des années à la fondation Rothschild et j’y ai passé des dizaines d’heures dans les salles d’attente, lesquelles sont remplies à plus du quart de musulmans et de musulmanes empaquetées dans leurs traditionnels sacs à patates qui, sorti(e)s de là, ne doivent pas manquer de redevenir antisémites. Abou Mazen et sa femme se font soigner en Israël, et Haniyeh, l’abominable crapule du Hamas, qui ne manque jamais de féliciter les tueurs de femmes et d’enfants juifs, a envoyé aussi dans les hôpitaux israéliens des membres de sa famille.
    Il y a dans ce document quelque chose qui révèle la mauvaise foi complètement tordue de son auteur : la phrase à propos de Maurice Schumann converti au christianisme : « ça fera un chrétien de plus mais pas un juif de moins ». Comme si c’était un argument que le lecteur inattentif pût retenir en faveur de la thèse soutenue, alors qu’ils serait plutôt accablant. Ca fera un chrétien de plus, certes, et c’est très bien, mais ce serait mieux aussi, probablement, si on sait lire, qu’il y en eût moins en France.
    Il n’y a évidemment rien de commun entre la posture de De Gaulle concernant les Juifs et ce que nous font lire les salopards antisémites qui prolifèrent sur AgoraVox comme la vérole sur le bas-clergé breton. IDe Gaulle admirait les Juifs, cela ne fait aucun doute, mais dans son discours, qu’il suffit de réentendre, il regarde objectivement Israël comme une puissance ennemie. C’est une erreur politique majeure dont nous continuons à payer les conséquences. Il n’a alors rien compris, comme le fait remarquer Raymond Aron, aux exigences existentielles de l’état juif pour lequel le blocus du détroit de Tiran longtemps avant le décollage de l’aviation israélienne, avait été considéré, à juste titre, comme un casus belli.

    De Gaulle vieillissant, en 67, commence à être un peu dépassé par les événements. Il le sera tout à fait un an plus tard, quittant Paris le 29 mais 68 pour aller s’en remettre aux avis de Massu à Baden-Baden. C’est assez triste, mais il reste avant cela des années d’une action au service de son pays qui sont particulièrement courageuses et exemplaires. C’est ce qu’on ne pourra jamais oublier, mais il importe aussi de ne pas négliger les errements de la fin, parce qu’ils auront été lourds de conséquences dans la politique imbécile, depuis, du Quai d’Orsay.

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