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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2019 09:56

    si François Gervais publie ses doutes dans un revue avec comité de lecture, son étude sera prise en compte.

    ..................................................................
    @Garibaldi2
    à la Page 230 de son étude, Gervais laisse la parole à Serge Galam, directeur de Recherche au CNRS et physicien à l’Ecole Polytechnique, dans son livre Les scientifiques ont perdu le nord, lequel pose que mettre en avant un consensus est un aveu d’absence de preuve. Citation de Galam :
    « En tant que mathématiciens, nous avons toute légitimité pour répondre à la question suivante : si les travaux du GIEC étaient soumis pour publication à une revue scientifique honnête, seraient-ils acceptés ? La réponses est particulièrement simple : aucune revue de bon sens, de bon niveau, ne publierait de tels travaux. Les conclusions du GIEC sont en contradiction avec les observations ; les données utilisées sont délibérément choisies pour étayer les conclusions (au mépris de l’honnêteté scientifique la plus élémentaire), la variabilité naturelle des phénomènes est passée sous silence. Le rapport du GIEC n’obéit pas aux règles fondamentales de la recherche scientifique et ne pourrait être publié dans aucune revue avec comité de lecture ».
    Gervais ajoute : « Si une discipline scientifique n’a pas de théorie validée par l’expérience, elle doit s’interdire d’annoncer qu’elle est capable de faire des prévisions ».

    Fin des citations.
    Tout ça rappelle fâcheusement, dans les années 80, les théories d’un certain Benveniste sur la « mémoire de l’eau » dont les expériences, pour lui très concluantes, n’avaient jamais pu être reproduites, et dans aucun laboratoire.
    Par ailleurs, la situation actuelle est très éclairante : la semaine passée, on annoncait -réchauffement climatique oblige ! qu’on aurait à partir de lundi une canicule terrible et mortelle. Hier, je n’ai même pas fait tourner le ventilateur. Pas plus ce matin, et la nuit à Paris aura été plutôt fraîche. Gros mensonge dans tous les media : c’est particulièrement grave, dit-on, parce qu’on n’est qu’en juin. Or, les vagues de chaleur, les années précédentes, ont toutes coïncidé avec la fin du printemps et les premiers jours de l’été. Je me souviens très bien que dans les premières années du siècle, je ne partais jamais pour interroger les candidats à l’oral du bac sans emporter un énorme ventilateur parce que les salles d’examen étaient de véritables fournaises. Depuis, les été sont de moins en moins chauds. Quand la température extérieure atteint 35°, certes, il fait chaud, mais dans les années 50, c’était déjà assez constant pendant une ou deux semaines en juillet-août, mais il y a bien dix ans que la température, dans mon appartement, n’a jamais atteint 30°. En 2030, elle avait dépassé 38° !



  • Christian Labrune Christian Labrune 24 juin 2019 13:12

    C’est bien vous qui l’avez qualifié de climatologue, non ?

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    @Garibaldi2

    François Gervais, qui est un spécialiste dans des domaines très pointus et qui s’est penché sur la question du climat, vient de publier un bouquin extrêmement éclairant, relevant toutes les erreurs scientifiques de ceux qui n’ont pas ses compétences. Il fait même oeuvre de sociologue lorsqu’il examine les mécanismes de fabrication de la croyance, et il mérite donc plus qu’aucun autre le titre de « climatologue » puisque la plupart de ses confrères sont des climatologues auto-proclamés sans réelle formation, un peu comme les imams qui prêchent dans nos banlieues.
    Il fait observer par exemple que la posture première de tout scientifique, c’est le scepticisme, même vis-à-vis de ses propres hypothèses. Par un curieux renversement, le climato-scepticisme est devenu un crime. Il fait observer que l’antonyme de climato-sceptique, c’est climato-crédule !
    Il fait aussi remarquer que la climato-crédulité est une aubaine pour un certain nombre d’acteurs économiques et même de chercheurs fort peu pointilleux sur l’éthique de la recherche. Page 189 :
    « Rassurons-nous, les sciences du climat restaient jusqu’à présent très bien dotées car le financement de la recherche opère de plus en plus par appels d’offres fléchées au détriment d’un »financement durable« . S’agenouiller, prosterné devant l’ostensoir du »réchauffement« , devenu »changement« puis »dérèglement« climatique [*] reste la mention obligée de nombre de demandes de financement ; Rajouter une petite phrase pour évoquer la lutte contre le changement climatique peut contribuer au succès du projet, même s’il n’a rien à voir avec le CO2 et encore moins avec le climat ».
    [*] Gervais fait ici allusion à l’embarras actuel des « réchauffistes » confrontés au fait que depuis plus de dix ans, il n’est plus possible d’observer le moindre réchauffement significatif.



  • Christian Labrune Christian Labrune 24 juin 2019 12:35

    https://energieetenvironnement.com/2018/04/10/legypte-ancienne-a-reagi-aux-changements-climatiques/

    @Eric F
    A cette page, quelques aperçus très sommaires sur l’évolution du climat dans l’Egypte antique. On explique maintenant l’effondrement politique et économique du pays durant la période intermédiaire (2200-2060) qui succède, après le règne de Pépi II, à l’Ancien Empire, par une augmentation de la sécheresse dans toute l’Afrique du Nord. Le Sahara, qui était une steppe, devient un désert. Plus tard, à la fin du Nouvel Empire le même phénomène se reproduira sur près de cent ans, entraînant à peu près les mêmes conséquences. Mais entre la première période intermédiaire et celle des derniers Ramsès, le Nil avait recommencé à inonder les plaines, le pays avait retrouvé sa richesse et son opulence. Ce fut l’apogée de cette grande civilisation.
    Je suppose que les écologistes au Moyen empire, ont dû interdire l’exploitation du pétrole, celle du charbon dans les centrales électriques, et même détruire les haut-fourneaux des aciéries, de manière à limiter efficacement la production de CO2 !!!
    Aujourd’hui à Paris, c’est une terrible canicule. On ne parlait de rien d’autre ces derniers jours dans les media. J’ai bien un ventilateur à portée de main, mais je n’ai même pas encore songé à le faire tourner !



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 juin 2019 10:18

    ce qui ne fait pas de lui un climatologue.

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    @Garibaldi2

    Un « climatologue », ça n’existe pas. On appelle « climatologues » des gens dont l’expertise s’applique seulement à un domaine qui peut être utile à l’étude des variations climatiques. Un « spécialiste du climat », qui ne serait pas à la pointe dans un domaine très précis des sciences, qui s’amuserait simplement à confronter des courbes statistiques auxquelles il ne comprendrait pas grand chose, ça ne serait pas un climatologue, ce serait un journaliste. Le journalisme et la rigueur scientifique, ça ne fait pas toujours bon ménage. On en est là aujourd’hui, et c’est une calamité.

    Un extrait de l’article « climatologie » de Wikipedia :

    "La climatologie est constituée d’une multitude de disciplines scientifiques. On y retrouve entre autres les astrophysiciens qui s’intéressent à la quantité d’énergie solaire reçue par la terre, les dynamiciens de l’atmosphère qui s’intéressent aux échanges d’énergie entre les différentes couches de l’atmosphère, les chimistes de l’atmosphère qui étudie la composition de l’air, d’océanographes, de glaciologues, de volcanologues, des géophysiciens, des biochimistes, de biologistes, etc. C’est l’addition du savoir de chacune de ces disciplines qui permet d’obtenir une compréhension globale de l’histoire de notre climat, ainsi que de permettre de faire des projections pour prédire statistiquement son évolution".



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 juin 2019 22:59

    Un point fait l’unanimité, c’est que la pollution de manière générale est néfaste

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    @Eric F
    Des villes comme Paris ou Londres étaient infiniment plus polluées vers 1830, à cause de la révolution industrielle, qu’elles ne le sont aujourd’hui. A cette époque-là, avant la création du réseau d’égouts par Belgrand sous le seconde empire, on crevait aisément du choléra, les riches comme les pauvres. Casimir Périer en est mort lors de l’épidémie de 1832. Et l’espérance de vie, à cette époque, est encore plus proche de quarante que de cinquante ans.
    On n’a pas attendu les écologistes pour créer des égouts, des stations d’épuration, et pour assainir les processus industriels !

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