Christian Labrune

La France macroneuse est entièrement complice d’un régime islamo-nazi qu’elle soutient contre vents et marées. Elle aide à maintenir un peuple de plus de 80 millions d’hommes et de femmes sous la botte d’un régime abominable. Sans elle et quelques états européens ouvertement collaborationnistes, les sanctions américaines auraient déjà eu un résultat plus tangible.Si le régime ne tombe pas à cause des sanctions, il faudra nécessairement, étant donné la gravité de la menace, recourir à des actes de guerre, et ce sera pire. Telle est la conséquence ordinaire du « pacifisme » des lâches.

Les Français décérébrés par le même système médiatique qui fut responsable de l’élection d’un Macron paraissent ne pas s’être encore rendu compte de la gravité de la situation. Beaucoup de discours qu’on peut lire ici et là, et même sur cette page qui décrit sans fard la réalité iranienne, paraissent relever du gâtisme. A ce niveau, la connerie devient carrément criminelle.

L’idéologie des mollahs iraniens ne diffère pas grandement de celle des nazis dont elle est le dernier avatar. La politique de Macron et celle de deux ou trois états perdus, à l’Ouest de l’Europe, est une politique collaborationniste immonde que l’Histoire jugera.

Que sur un site de langue française il puisse encore se trouver une majorité de débiles mentaux disposés à applaudir la propagande du Hezbollah et les entreprises terroristes d’autres milices du même tonneau à la solde des ayatollahs de Téhéran en dit long sur la décomposition intellectuelle d’un pays qui est en train de couler à pic, comme dans les années 40.

@Spartacus

 La mort étant la fin de la vie (et de fait, un mort, deux ou trois mois après l’instant fatal, ne ressemble plus guère à ce qu’il était de son vivant et y ressemblera de moins en moins par la suite), il est totalement absurde de se demander s’il y a une vie APRES la mort. Quand la cigarette est fumée jusqu’au bout-filtre, il n’y aurait que le pensionnaire d’un hôpital psychiatrique pour essayer, dans son délire, de la rallumer pour la re-fumer : la flèche du temps est irréversible !

Après la vie restent les atomes, qui pourront toujours servir à un arbre nécrophage, sur la tombe d’un quelconque M. Dupont, à s’élever vers le ciel, mais cet arbre-là ne ressemblera pas plus à M. Dupont à l’époque où il contait fleurette à Mme Dupont que son squelette en train de moisir à six pieds sous terre. 72 vierges — et même plus - venant s’asseoir à poil sur sa tombe, ça ne ferait même pas bouger le moindre de ses atomes !

La première est de gagner du temps et de donner aux mollahs la corde avec laquelle ils peuvent se pendre.

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Excellente formule ! On se demande bien en effet quelle sorte de contrat les Iraniens pourraient en ce moment négocier avec les Américains ! Ce serait ce qui s’appelle un « contrat léonin », et rien d’autre qu’une reddition sans conditions. S’ils veulent éviter de perdre la face par une capitulation en rase campagne, ils n’ont plus qu’à laisser se développer voire favoriser les mouvements populaires qui les obligeront, comme autrefois le shah, à quitter le pays, en espérant pouvoir jouir quelque part de leurs avoirs depuis longtemps convertis en dollars dans les banques occidentales.

Avec un état qui menace explicitement et froidement d’en détruire un autre comme le fait l’Iran depuis des années, ce qui est très loin de la politique de dissuasion admise depuis la dernière guerre (si on nous attaque, mais seulement dans ce cas, ça fera très mal) il n’est absolument pas décent de négocier comme l’avaient fait les Européens et l’administration Obama, lesquels admettaient ipso facto la possibilité de vivre indéfiniment sous une pareille menace et même, comme le font encore les Européens, celle de continuer à engraisser économiquement un régime néo-nazi ennemi de toute la planète. En pareil cas, on tire dans le tas, et sans sommation, comme il est désormais admis de le faire face à des groupes terroristes. 

Désormais complètement affaibli par les sanctions, le régime des mollahs est à l’agonie. Il n’a plus du tout les moyens de ses ambitions génocidaires. Il est comme un gros poisson que le pécheur épuise au bout de sa ligne, qui se débat encore un peu, mais finira tôt ou tard au fond de l’épuisette.

Ca m’étonnerait beaucoup qu’il ne faille pas, en réponse à quelques derniers soubresauts de la bête, quelques missiles bien envoyés sur quelques sites nucléaires judicieusement choisis, mais de toute façon, pour l’ayatollarchie, c’est la fin des haricots.

Le monde change très lentement, mais il change, et les orientations politiques actuelles des états de la péninsules arabiques vont dans le bon sens. Il y aura bien des tensions et des difficultés à prévoir à cause des ambitions hégémoniques de la Chine en matière d’économie, mais tout cela ne devrait rien avoir de vraiment insurmontable.

Le plus grand danger actuel est du côté des états qui ne sont pas capables de faire face aux transformations du monde moderne et de s’y adapter avec intelligence et pragmatisme. Ils espèrent, comme l’Iran et beaucoup de pays du Maghreb, trouver leur salut dans la violence des pires obscurantismes. Ceux-là risquent fort de connaître à peu près le même destin que les dinosaures du crétacé.