frédéric lyon
Je suis seulement intéressé par ce qui se passe et j’ai horreur des idées toutes faites.Tableau de bord
- Premier article le 01/04/2008
| Rédaction | Depuis | Articles publiés | Commentaires postés | Commentaires reçus |
|---|---|---|---|---|
| L'inscription | 1 | 4662 | 201 | |
| 1 mois | 0 | 0 | 0 | |
| 5 jours | 0 | 0 | 0 |
Ses articles classés par : ordre chronologique
Et si l’Iran n’avait pas la bombe atomique : le Grand Jeu (version 2.0)
16517 visites 1er avr. 2008 | 201 réactions |
Derniers commentaires
-
Dans le fond, Joly et Fillon ont posé ensemble un des principaux thèmes de la future campagne électorale :
La question du droit de vote accordé à ceux qui ont une double nationalité, c’est à dire qui votent déjà dans un pays étranger.Et la question du droit de vote à ceux qui n’ont pas encore eu le temps d’acquérir la nationalité française, en plus de celle qu’ils ont déjà ! -
Il y a aura apparemment beaucoup de gens surpris en mai 2012, et beaucoup de gens déçus !!
Ici on vend la peau de l’ours à tous les coins de rue. -
Au delà de la question de la double nationalité, qui est aussi un double droit de vote, encore faut-il le souligner, se pose également le problème du droit de vote des étrangers extra-européens.
Le problème n’est guère qu’un vulgaire problème électoral qui pèse lourdement sur la gauche, qui a perdu le vote populaire et qui se cherche fébrilement de nouveaux électeurs.Le « Think Tank » socialiste Terra Nova a eu le mérite de parler ouvertement de ce problème, car comment faire pour parvenir au pouvoir lorsque la gauche ne rassemble que 40 % des voix ?Faut-il s’allier avec le centre, ou une partie du centre, en balançant l’union de la gauche par la fenêtre, ou faut-il se fabriquer de nouveaux électeurs en recrutant les doubles nationaux et en y ajoutant, pour faire bonne mesure, tous les étrangers résidents en France, sans même attendre qu’ils aient acquis la nationalité française en sus de celle qu’ils ont déjà ?Nous entrons en campagne électorale présidentielle, c’est le moment du débat et chacun pourra apporter ses arguments. -
Il y a une autre considération qui laisse présager une victoire de la droite.
Seuls une moitié des sondés expriment une intention de vote aujourd’hui, ce sont les électeurs les plus « conscientisés », dont beaucoup sont des perroquets de gauche, les « sympatisants », les « convaincus », les militants et les colleurs d’affiche aux ordres du comité central.Ce qui tendrait à signifier que les électeurs de gauche (et du Front National peut-être) sont aujourd’hui les plus mobilisés, contrairement aux électeurs de la droite classsique, et a fortiori du centre, qui constituent le « marai ».Or, malgré une mobilisation supérieure à ce stade, les intentions de vote pour les candidats de gauche et d’extrême-gauche ne rassemblent qu’un peu plus de 40 % des votes, ce qui est très loin de la majorité.Lorsque les indécis se détermineront, dans les derniers jours de la campagne, ils emporteront la décision, comme d’habitude, et Sarkozy a toutes ses chances, quoi qu’on en dise, quoi qu’on en pense.Dans ce contexte, le slogan « Sarko dégage ! » me parait bien mal venu et contre-productif, les indécis n’aiment pas trop les injonctions qui ne peuvent convaincre que ceux qui sont déjà convaincus et par trop exaltés et qui font fuir les autres ! -
Les sondages d’opinion sont fiables, dans une fourchette d’incertitude qui ne dépasse pas 3% pour les sondages les plus courants, ceux qui ne coûtent pas trop cher à ceux qui les commandent tous les mois, c’est à dire la Presse, quoi qu’on en dise.
Ces sondages à bon marché analyse des échantillons assez petits, de 1000 personnes environ qui sont bien représentatifs de l’ensemble de la population française, avec la marge d’erreur de 3 %.L’administration et les principaux partis politiques disposent par ailleurs de sondages d’opinion plus précis, avec des marges d’erreur inférieures à 1 %, qui sont réalisés par les mêmes instituts de sondage sur des échantillons plus grand, 5 ou 10000 personnes voire plus et qui coûtent plus cher à leurs commanditaires.Ces sondages ne sont pas publiés.La Presse, mûnie de ses sondages au rabais, s’empressent de manipuler l’opinon publique, mais sans truquer les résultats donnés par ces sondages au rabais, elles se bornent à manipuler la présentation qu’elle en fait au public.Pour ce qui concernent les sondages réalisés sur le premier tour de la présidentielle, la principale conclusion à laquelle on parvient, si on veut être un peu sérieux, est que les jeux sont loin d’être fait :La moitié des personnes sondées déclarent qu’elles n’ont pas encore pris de décision de vote, et les pourcentage obtenus par chaque candidat ne s’appliquent que sur les sondés qui ont exprimés une intention de vote, c’est à dire la moitié !Celà étant dit, il ne serait pas étonnant que la suite soit favorable à Nicolas Sarkozy !!On ne peut que constater à ce stade que la gauche peine à rassembler 40 % des intentions de vote du premier tour, ce qui laisse présager une victoire de la droite au second tour, ou une victoire de la gauche au finish, assortie d’une majorité parlementaire de droite et du centre, c’est à dire une nouvelle période de « cohabitation ».
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération