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Marc Dugois

Marc Dugois

Retraité d'une vie bien remplie d'HEC avocat d'entreprises en difficulté, je constate l'effondrement général d'un monde qui ne tient que par la montée vertigineuse d'emprunts non remboursables et par la croyance enfantine mais généralisée qu'il est normal et facile de laisser davantage à ses enfants que l'on a reçu de ses parents, ce qui dispense de trouver un autre sens à sa vie. Cette croyance se fonde sur une création mythique de richesses chiffrée par le PIB qui n'est que la somme de toutes nos dépenses financée par l'emprunt. On ne peut s'enrichir qu'en en appauvrissant d'autres qui, s'ils le font volontairement, justifient l'enrichissement.
Sur ce constat j'essaie de m'expliquer les racines de notre mal et de voir si, avec d'autres et en comprenant ce qui se passe, il serait encore possible d'affronter la machine suicidaire qui nous détruit et que pourtant nous alimentons.

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  • Premier article le 10/11/2018
  • Modérateur depuis le 23/11/2018
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Derniers commentaires



  • Marc Dugois Marc Dugois 8 juillet 2019 11:29

    @Christian

    Je vous remercie d’avoir pris la peine de me répondre car toute prise de conscience des méfaits du capitalisme est pour moi une bonne chose.

    Vos deux premières grèves me paraissent de bonnes idées même si la simple observation montre que vous êtes malheureusement peu suivi.

    En revanche la troisième sur la grève de la natalité va pour moi à l’encontre de vous-mêmes puisque vous partez de l’hypothèse que le capitalisme va gagner, ce qui pour moi est une erreur, et vous justifiez l’arrêt des cultures pour remplacer les êtres de différentes culture par des consommateurs électeurs producteurs non différenciés venus d’ailleurs, ce qui serait justement la victoire du capitalisme qui hait la culture comme la haïssent le fascisme et le communisme.



  • Marc Dugois Marc Dugois 8 juillet 2019 07:47

    @Christian
    Ce serait bien que vous développiez votre argumentation et que vous disiez pourquoi vous n’aimez ceux que vous appelez les « pro natalistes ».



  • Marc Dugois Marc Dugois 8 juillet 2019 05:59

    @pipiou

    Je ne crois pas oublier ce que j’écris car je l’assume.

    Il ne faut pas confondre et surtout mélanger le micro et le macro. Sur un plan général le devoir d’état d’une femme est de faire des enfants. C’est le fait même d’être une femme qui lui donne ce devoir vis-à-vis de sa collectivité. Si les femmes ne font plus d’enfants la collectivité meurt. C’est vrai dans toutes les espèces et je n’ai jamais entendu dire que l’espèce humaine y échappait.

    Sur un plan individuel chaque femme est libre de construire sa vie comme elle le souhaite et comme elle le peut. Je ne juge en aucun cas individuellement les femmes qui n’ont pas d’enfant. Par quelle autorité le ferais-je ? Mais c’est parce qu’il y a des femmes qui n’ont pas d’enfants pour de bonnes ou de mauvaises raisons, que les autres doivent en faire plus de deux pour renouveler la population.

    Parler de suicide montre une culpabilisation que je vous laisse analyser.



  • Marc Dugois Marc Dugois 4 juillet 2019 16:06

    @Fanny

    Ce qui a détérioré notre âme, c’est le matérialisme du XXe siècle qui est un siècle des ténèbres dont nous avons du mal à sortir. Le fascisme et le communisme sont morts mais le capitalisme est en soins palliatifs et on retarde son agonie par le ra-de-marée de fausse monnaie que Christine Lagarde va encore alimenter.

    Le peuples vont payer de plus en plus durement le sauvetage impossible du capitalisme.



  • Marc Dugois Marc Dugois 4 juillet 2019 11:50

    @Sparker

    J’apprécie que nous nous retrouvions dans le respect de l’autre car vous dites deux choses essentielles à mes yeux :

    Le sujet personnel collectif est très intéressant et très d’actualité.

    La « solution » est devant, pas derrière, aussi troublant et déstabilisant que cela puisse être…. Je rajouterais « ou paraître ».

    Là où j’ai plus de mal à vous suivre, comme j’ai plus de mal à suivre un de mes amis qui s’est présenté aux législatives sous l’étiquette France insoumise et un autre qui a fait la même chose se sentant bien au Rassemblement national, c’est quand on retombe dans des ping pong fachos-gauchos apparemment reposants mais terriblement stériles, la bonne foi n’étant pas l’apanage d’une seule approche. Je crois même que les approches s’appauvrissent en ne s’enrichissant pas de celle de l’autre. J’ai donc nettoyé ce que vous avez écrit de désobligeant entre les lignes pour ne retenir que les problèmes sérieux que vous soulevez :

    L’état, la famille, le devoir, les priorités ont beaucoup sacrifié au siècle passé et, comment dire, y’a comme une aversion à l’embrigadement qui a fait son chemin.

    L’individuation et l’émancipation feront, à termes, de meilleurs parents, si tant est que la parentalité bipolaire soit une forme aboutie, ce dont je doute, comme de la nation et de la famille… Cela forme un peu un tout qui ne me semble plus en adéquation avec les impératifs de l’évolution. De beaux outils de manipulation par de soi-disant « évidences naturelles »... au service de l’orgueil humain et de ses volontés de pouvoir et de puissance.

    Je crois que vous avez raison quand vous remarquez que le collectif a pris trop de place au siècle dernier par ses trois drames que sont le fascisme, le communisme et le capitalisme et que ce collectif est souvent devenu embrigadement, poussant les individus à s’en défendre dans l’hypocrisie et la dissimulation. Une émancipation est donc pour moi absolument nécessaire mais pas l’individuation qui est facilement une négation du collectif et de ses contraintes.

    Les devoirs d’état sont une nécessité absolue de survie de toute collectivité mais réduire la vie des hommes et des femmes à leurs devoirs d’état est aussi stupide que de nous réduire à consommer et à respirer comme le fait encore le capitalisme.

    Mais pour avancer il va falloir à la fois, « en même temps » dirait notre monarque du moment, constater que la vie non précédée de la survie est un rêve adolescent, et que la survie seule est une absence dramatique et insupportable du sens de la vie.

    C’est ce « en même temps » qui a plu aux électeurs tellement il est plaisant mais qu’il faut faire sortir du mensonge en le travaillant.

     

    Déjà comment peut-on expliquer ici que certains freinent des expressions ? Qu’un article ne soit pas publié s’il n’intéresse personne, c’est une évidence. Qu’un minimum de modérateurs (combien ?) trouvent un article intéressant pour qu’il soit publié, c’est le bon sens. Mais que certains soient pris au sérieux en disant que telle expression ne doit pas être connue, n’est-ce pas commencer à déraper dangereusement vers un totalitarisme et une dictature ? Est-il interdit de dire l’évidence que les ethnies humaines doivent être protégées au moins autant que les espèces animales et végétales ?

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