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Vera Mikhaïlichenko

Vera Mikhaïlichenko

Marmelade et Résistance.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/12/2015
  • Modérateur depuis le 09/12/2015
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Derniers commentaires



  • Vera Mikhaïlichenko Vera Mikhaïlichenko 24 avril 2020 14:00

    @troletbuse
    On ne peut pas parler sérieusement de diversion, de tentative de détourner les regards de l’épidémie de Covid-19, quand seule une petite poignée de médias se sont emparés de cette affaire. Le Monde est le seul média de grande audience (et encore... le très grand public ne lit pas la presse écrite) qui ait relayé l’affaire. ASI reste assez confidentiel. France Inter, c’est à peine quelques secondes lors d’une émission... ça n’a pas fait la « une » des journaux. Quant à So Foot, ce n’est pas le média le plus consulté du monde, ça n’a pas l’audience de L’Équipe. Bref, pour le moment, les grands médias restent très frileux avec cette affaire Bourgoin, sans doute parce qu’ils sont très nombreux à s’être compromis avec lui, en le présentant, sans recul, et depuis 20 ou 30 ans, comme « LE spécialiste mondial des tueurs en série ». 



  • Vera Mikhaïlichenko Vera Mikhaïlichenko 8 décembre 2018 20:44

    Encore du Michel Onfray, plus « populiste » et révolutionnaire que jamais, publié il y a moins d’une heure : GRANDEUR DU PETIT PEUPLE

    J’ai dit quels moyens le pouvoir utilisait pour salir et discréditer le mouvement des gilets-jaunes -mépris, mensonge, criminalisation, diabolisation, attaque ad hominem, essentialisation, déconsidération, dramatisation. On peut en ajouter un autre : le procès en immaturité politique -la dévalorisation. Ces gens-là sont trop bêtes, trop provinciaux, trop incultes, trop illettrés, trop débiles, trop « beaufs », fut-il dit un peu partout, ils sont trop sous-diplômés. (...)

       Depuis Maastricht (1992), ce sont les mêmes éléments de langage avariés qui sont servis par les dominants afin de discréditer quiconque ne souscrit pas à l’Europe libérale, non pas parce qu’elle est « Europe », ce que personne ne refuse plus, mais parce qu’elle est « libérale », ce que beaucoup repoussent. Ce sont les mêmes insultes qui ont été sorties pour les partisans du Brexit (...).

      Le système maastrichtien a son clergé. Il est formé à l’École nationale d’administration, à Sciences-Po, dans les écoles de journalisme, à Polytechnique, à l’École normale supérieure. Pendant leurs années d’études, on gave les impétrants d’une idéologie qu’ils rabâchent, répètent, réitèrent, reproduisent, ressassent ensuite dans tous les endroits où ils sont embauchés : grands corps d’État, haute administration, université, journalisme, édition, direction des médias, conseil d’État, sans oublier la politique politicienne qui est le prolétariat de ces gens-là. 

      Tout ce petit monde a la tête extrêmement bien pleine, mais très mal faite. Cette engeance est formée comme des commandos de rhéteurs et de sophistes, de beaux-parleurs et d’enfumeurs, de dialecticiens et de casuistes, d’orateurs et d’ergoteurs. Elle produit son meilleur effet dans un conseil d’administration, dans un comité de rédaction ou de lecture, dans un amphithéâtre, dans les colonnes d’un éditorial ou dans les réunions des patrons de médias, à l’Assemblée nationale ou au Sénat, dans un conseil des ministres ou dans les palais de la République, sur un plateau de télévision ou comme « consultants » ou « experts » sur les chaînes d’information continue -ou dans « Le Siècle », un club très fermé où l’on mange du gilet-jaune à tous les repas... (...)

      Bien sûr, ces gens-là estiment que les gilets-jaunes ne sont pas habilités à faire de la politique sous prétexte qu’il faut laisser ces choses-là, trop sérieuses pour le peuple, aux experts que sont les instances dirigeantes des syndicats et des partis (...), et aux élus de tous les échelons de la politique politicienne. La démocratie doit être représentative, disent-ils, et non pas directe. Nous, oui ; eux, non.

      Or, chacun a pu voir comment le référendum sur le Traité européen qui était l’expression de la démocratie directe, bien que largement gagné, a été jugé comme nul et non avenu par les députés et les sénateurs qui étaient l’expression de la démocratie indirecte. (...) Ce coup d’État fut une leçon que le peuple a mis dans un coin de sa tête (...).

      Les gilets-jaunes sont dans la rue parce qu’ils savent que l’Assemblée nationale et le Sénat sont leurs ennemis puisqu’ils ne les représentent pas sociologiquement ni politiquement. Le système représentatif, tant qu’il ne sera pas intégralement proportionnel, générera une oligarchie, une aristocratie, une caste, une tribu qui disposera de tous les pouvoirs : ce ne sera jamais une démocratie. (...)

      Avec les gilets-jaunes dans la rue, toute cette aristocratie maastrichtienne se trouve mise à mal, critiquée, menacée. (...) elle voit d’un très mauvais œil ce surgissement de velléités de démocratie directe.

       « Ça n’a jamais marché », pérore Christophe Barbier sur BFM le samedi 8 décembre : ça marche pourtant en Suisse... La notice Wikipédia de ce normalien pas agrégé ayant fait une école de journalisme nous apprend ceci : En 2017, il déclare notamment au Journal du dimanche : "Se confronter au terrain pollue l’esprit de l’éditorialiste. Son rôle est de donner son opinion, d’affirmer ses certitudes, par essence improuvables. Afficher avec force ses convictions permet aux lecteurs de s’y frotter pour former les leurs.«  Et plus loin : »L’éditorialiste est comme un tuteur sur lequel le peuple, comme du lierre rampant, peut s’élever." On comprend qu’il n’ait pas besoin de se confronter au terrain des gilets-jaunes, ce « lierre rampant », afin d’éviter de se polluer l’esprit et de pouvoir affirmer et toute objectivité ses certitudes improuvables ! En passant, on apprend également qu’il a composé un rap en l’honneur d’Emmanuel Macron... Christophe Barbier est l’un des personnages emblématiques de cette aristocratie qui enjambe le peuple.

      Or, quand on va sur le terrain (...), on se l’éclaire et l’on peut obtenir un certain nombre de certitudes susceptibles d’être prouvées. J’en veux pour preuve ce tract ramassé dans une rue de Paris et envoyé par un ami. Il dit ceci :

    Titre : Nos 8 doléances

    "Nous rentrerons chez nous quand ces mesures seront appliquées

    1. Nous voulons de la démocratie directe à tous les niveaux. Nous voulons un gouvernement d’union nationale avec une régence d’exception pour éviter que les partis politiques, qui sont disqualifiés, n’instrumentalisent notre détresse et notre colère.

    2. Nous voulons une baisse de 20% de toutes les taxes et les charges touchant la classe moyenne, les travailleurs pauvres et les entrepreneurs. Baisser ces taxes, c’est monter nos salaires. Nous voulons une action immédiate pour taxer ce qui vaut la peine d’être taxé : les GAFA et les transactions financières.

    3. Nous voulons que la France arrête de vivre au-dessus de ses moyens et arrête d’accueillir la misère du monde parce qu’elle et déjà dans la misère avec ses millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté. Nous voulons une immigration choisie, qui ne nous détruise pas culturellement. Nous demandons ainsi un retrait du pacte de l’immigration de l’ONU.

    4. Nous voulons une relocalisation de toutes les décisions dans les régions, les villes et les communes. L’Etat et ses fonctionnaires à Paris ne sont pas qualifiés pour décider de l’avenir de nos communes.

    5. Nous voulons une sortie de la PAC qui corrompt nos agriculteurs en n’allouant ses aides qu’aux productivistes et aux empoisonneurs répandant le cancer en France. Nos impôts ne doivent en aucun cas servir à financer Bayer-Monsanto.

    6. Nous voulons la création de barrières commerciales pour empêcher l’Allemagne de nous vendre des produits fabriqués en Roumanie, sous le label « Deutsche Qualität » et d’ainsi détruire nos emplois.

    7. Nous voulons le retrait de toutes les aides à la presse pour une vraie séparation des pouvoirs médiatiques et politiques.

    8. Nous voulons une action immédiate pour arrêter l’intégration dans l’Europe car elle ne se construit que sur la ruine des petites gens.

       Qui dira qu’il n’y a pas là d’intelligence pratique ? C’est un véritable programme politique. Il est anonyme, aucune signature, aucune de ces propositions ne ressemblent à quoi que ce soit de connu chez les jacobins. Il est débarrassé du verbiage technocratique ou qui relèverait de la politique politicienne.

      C’est simple, clair, net, direct et programmatique : la démocratie directe ; un gouvernement d’union nationale constitué en dehors des partis politiques parce qu’ils sont discrédités et qu’ils guettent la récupération ; une baisse des taxes et des charges pour la population la plus éprouvée ; une augmentation des salaires ; une taxation des GAFA et de ceux qui font de l’argent avec l’argent ; une politique migratoire rationnelle qui ne soit ni celle de la passoire ni celle du mur ; un communalisme et un régionalisme effectifs ; une autre politique agricole que celle du productivisme qui fait le jeu des multinationales, détruit la planète et intoxique les consommateurs ; l’instauration de barrières commerciales qui empêcheraient la concurrence entre les États de droit et les États voyous en matière de protection sociale ; le retrait des aides à la presse, subventionnée par le contribuable afin de l’endoctriner et de le mépriser quand il refuse l’endoctrinement ; une séparation des pouvoirs médiatiques et politiques ; l’arrêt de l’intégration dans l’État maastrichtien...

      J’aurais pu écrire ce tract auquel je ne retranche rien ! Il est la feuille de route de la démocratie directe. C’est sur ce projet positif, concret, dynamique, qu’il faut désormais travailler. (...)

    Michel Onfray



  • Vera Mikhaïlichenko Vera Mikhaïlichenko 8 décembre 2018 19:01

    Michel Onfray est décidément très productif. Son texte de ce samedi 8 décembre : LE POUVOIR AUX ABOIS. Extraits :

    Le pouvoir a usé et abusé de plusieurs stratégies pour disqualifier le mouvement des gilets-jaunes. Il y a d’abord eu le traitement par le mépris : "Ca leur passera, c’est un genre d’éruption cutanée, ils finiront par rejoindre le rang ! Il suffit de laisser pourrir, d’attendre, de tabler sur la fatigue." (...)

      Il y a eu ensuite le traitement par le mensonge. Le ministre de l’Intérieur, ancien joueur de poker naguère très au fait des habitudes du milieu marseillais, y est allé fort : il a livré à la presse, qui s’est empressée de les reprendre et de les diffuser largement, des chiffres fantaisistes concernant les participations aux manifestations à la décimale près en expliquant que ce n’était rien, peu de chose, pas grand-chose. Les images avaient beau montrer le contraire à jet continu, rien n’y faisait : le pouvoir disait que c’était quantité négligeable -donc gens négligeables.

     Dans la foulée, il y a eu le traitement par la criminalisation. On a ainsi vu ce fameux Castaner posant dans un PC sécurité, avec des fonctionnaires aux ordres, en leur demandant devant les caméras de confirmer qu’il y avait bien eu un mort. La conversation ressemblait à ça : "Un mort, oui, c’est ça, j’ai bien entendu, il y a eu un mort, vous pouvez me confirmer qu’il y a donc bien eu un mort à cause des gilets-jaunes ? C’est bien ça ?" Or, s’il y a bien eu des morts, ils ne l’ont pas été du fait des gilets-jaunes, mais du fait de ceux qui, comme Castaner, refusaient les gilets-jaunes, et fonçaient dans le tas...

      Puis il y a eu le traitement par la diabolisation : on a parlé de fascisme, de vichysme, de poujadisme, de lepenisme, de populisme, de peste brune, d’antisémitisme, d’homophobie, de racisme. Libération et Le Monde, France-Inter et le service public audiovisuel dans sa totalité, ainsi que les journaux subventionnés par l’argent du contribuable, y sont allés comme un seul BHL ! Mais cette technique qui a fait mouche pendant quelques années ne marche plus. Le peuple a compris les ficelles. (...)

     Ajoutons aux forfaits déjà listés le traitement par l’attaque ad hominem : les journaux du système sont allés chercher des poux dans la tête de tel ou tel dont on cherchait le spécimen le plus à même de servir de repoussoir. Il y eut cette femme qui avait fait un tabac avec sa vidéo, tout au départ du mouvement, et dont on a vidé les poubelles afin de savoir s’il n’y avait pas chez elle quelque chose qui réjouirait la basse police intellectuelle. On a trouvé de l’hypnose (comme chez Freud...), de la croyance à des propos assez peu scientifiques (comme chez Freud...), du complotisme (comme chez Freud...), mais comme elle ne se réclamait pas du docteur viennois, les journalistes parisiens qui habituellement souscrivent aux fictions de la psychanalyse trouvaient que, chez elle qui vivait en province et n’était pas diplômée en pensée magique freudienne, il n’y avait aucun crédit et que, de ce fait, c’est tout le mouvement qui cessait d’être crédible (...).

       Il fallut également compter avec le traitement par l’essentialisation. De sorte qu’un propos raciste tenu ici par un gilet-jaune qui bloque une voiture conduite par un non-blanc (on ne sait plus comment dire sans risquer la prison...) bien décidé à forcer le barrage, et voilà que c’est tout le mouvement qui est raciste ! Et l’on fait de même avec un gilet-jaune qui a tenu un propos homophobe après avoir estimé que le conducteur énervé d’un autre véhicule ne lui semblait pas hétérosexuel (toujours la crainte de la prison...), et voilà que tout le mouvement devient homophobe ! (...)

     Pour suivre, il y a eu aussi le traitement par la déconsidération : il fallait absolument assimiler le mouvement aux casseurs. Consignes furent donc données aux forces de l’ordre de laisser casser : sinon, pourquoi aurai-je vu pendant si longtemps sur BFM des manifestants desceller des pavés de l’avenue des Champs-Élysées ? Ce que les journalistes pouvaient filmer sans problème, en prenant leur temps, ce que les téléspectateurs pouvaient voir, bien assis dans leur fauteuil, les services de police pouvaient eux-aussi le voir, ils pouvaient donc agir, donner des ordres et empêcher que les pavés soient descellés. Auquel cas, sans pavés descellés, il n’y aurait pas eu de forces de police attaquées, pas de vitrines de magasins défoncées, et rien de ce qui a permis aux journalistes de s’apitoyer longuement sur le spectacle déplorable, sur la violence des gilets-jaunes, sur leur vandalisme, sur leur sauvagerie... Qui était sauvage. Qui était vandale ? Le président de la République, le Premier ministre, le ministre de l’Intérieur qui avaient les moyens d’empêcher la violence et qui s’y sont refusés afin de pouvoir ensuite l’instrumentaliser à des fins de déconsidération.

      De même a-t-on eu droit à un traitement par la dramatisation. Avec l’un d’entre les gilets-jaunes qui disait qu’il fallait marcher sur l’Élysée afin de pouvoir y être reçu pour présenter ses doléances, on fit une scène médiatique formidable : les gilets-jaunes voulaient faire un « putsch » fut-il dit. Un « coup d’État » ont ajouté d’autres ! Il a suffi qu’on sorte le propos d’un autre qui voulait qu’on confie Matignon au général de Villiers pour que la presse effectue une nouvelle variation sur le thème du fascisme des gilest-jaunes. Il n’est pas venu à l’esprit de ces journalistes qu’un réel putsch a vraiment eu lieu en France il y a quelques années : c’était le 29 mai 2005 et on le devait aux libéraux maastrichtiens, de droite et de gauche, quand ils ont jeté aux ordures le référendum par lequel 54,68 % des Français ont fait savoir qu’ils ne voulaient plus de cette Europe maastrichtienne libérale, qui a créé la paupérisation générant ce mouvement des gilets-jaunes. 

      Mépris, mensonge, criminalisation, diabolisation, attaque ad hominem, essentialisation, déconsidération, dramatisation : Emmanuel Macron ne recule devant rien quand il s’agit d’attaquer le peuple afin de défendre l’Europe maastrichtienne.

       L’image des blindés de la gendarmerie stationné en haut des Champs-Élysées renseigne bien sur ce qu’il en est désormais du pouvoir personnel d’Emmanuel Macron... Mais ce ne sont pas des véhicules militaires, a dit une crétine de BFM le samedi matin parce qu’ils n’étaient pas équipés de mitraillettes -des « sulfateuses » a même surenchéri un consultant expert de la chaîne ! Il y avait presque un regret chez ces gens-là qu’on ne sulfate pas le peuple qui se contente de demander du pain.

    Michel Onfray



  • Vera Mikhaïlichenko Vera Mikhaïlichenko 21 octobre 2018 15:13
    Ce 21 octobre, à 14h, on apprend que la loi sur la glottophobie était une blague des députés LREM...

    « On a rédigé le texte en moins d’une heure, en prenant pour références les deux premiers articles qui apparaissent sur Google. » La députée LREM Laetitia Avia avait annoncé, jeudi 18 octobre, qu’elle allait déposer une proposition de loi contre la « glottophobie », autrement dit contre les discriminations envers les gens qui ont un accent. Et bien c’était une blague.

    La même élue explique, ce dimanche 21 octobre qu’il s’agissait simplement "d’envoyer une ’pique’ humoristique au leader de La France insoumise", lui qui s’était moqué de l’accent d’une journaliste lorsqu’elle l’interrogeait, Salle des Quatre colonnes, sur les perquisitions menées à son domicile et au siège de la France insoumise.

    Un « trait d’humour » qui a été pris au sérieux, d’autant que, rien, dans le premier message indigné de la députée ne laissait penser à une blague ou a un quelconque second degré.

    Huffington Post



  • Vera Mikhaïlichenko Vera Mikhaïlichenko 27 avril 2017 15:48

    @Taverne
    Je n’ai pas accrédité une fake news (à savoir que Macron aurait dit qu’après avoir serré des mains d’ouvriers, il se sentait sale). Fake news dénoncée par l’article du Monde que vous citez, et qui a été publié aujourd’hui à 13h58, soit à peu près au moment où mon article a été publié. Je n’ai donc pas pu en prendre connaissance pour cet article. Mais, de toute façon, j’ai seulement dit que des ouvriers avaient été ironiques avec Macron, qui rechignerait, selon eux, à leur serrer la main. Ce que Le Monde confirme bien. La fake news est en amont et a conditionné (on le sait depuis moins de deux heures, depuis la publication du Monde) les propos des ouvriers.

    Ensuite, ce n’est pas moi qui met en parallèle le mot d’Attali et celui de J.-M. Le Pen, mais Jacques Sapir. Je dis d’ailleurs que le rapprochement est « un peu osé ». C’est seulement à titre d’information que je donne l’avis de Sapir.

    Enfin, je ne sais pas où vous avez vu que cet article était pro-FN. Il est très critique sur Macron, c’est tout. Et, même si nous sommes dans un duel présidentiel, critiquer un candidat ne signifie pas que l’on adoube l’autre. Sauf pour les esprits très partisans.

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