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  • Premier article le 26/07/2006
  • Modérateur depuis le 16/08/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • La Taverne des Poètes 26 août 2006 12:14

    Cet article se veut une parabole montrant combien dans notre pays qui se dit à l’heure du village global, le vilage gaulois est encore bien ancré dans les habitudes. Au passage il témoigne de la richesse et de la pertinence des archétypes imaginés par Uderzo auxquels politologues et sociologues devraient s’intéreser de plus près.

    Enfin il enveloppe dans un seul paquet un certain nombre d’observations que les Français se font et qu’ils rêvaient d’exprimer. Cela est fait. Alors quand, en plus, on a une bonne occasion d’en rire, ne nous privons pas ! smiley



  • La Taverne des Poètes 26 août 2006 12:04

    à Demian West : c’est bien ainsi que je le revendique... bien loin, il est vrai, des mystères de l’West".

    à chacun son style non ? Moi, c’est direct. smiley



  • La Taverne des Poètes 26 août 2006 11:39

    à « candidat2007 » : tout aussi digne que votre réaction d’humeur. Remarquez-bien qu’entre humeur et humour seule une lettre varie mais que pour faire varier votre humeur en humour il y aurait bien du travail !



  • La Taverne des Poètes 26 août 2006 10:52

    Je ne disais pas cela de votre article...

    Sur la toile, il y a le contenu, la référence de ce contenu, et enfin sa visibilité.

    - Pour le contenu, on se rend compte que les gens ont un besoin de s’exprimer bien plus fort qu’un besoin d’écrire (style souvent bâclé, fautes nombreuses) ou d’informer (peu importe si « je » reproduis pour la dix-millième fois des données sur Harry Potter, c’est moi qui m’exprime...).

    - Pour la référence du contenu, on se doute bien, sans même lire des articles d’experts tout en anglais et riches en technicité, que les choix qui ont présidé à la définition des critères de pertinence, la forme de la présentation des données, les sommes d’argent versées par les publicitaires et les manoeuvres des petits malins, influent sur le résultat des googolisation. (On dite « googliser » à présent !)

    Enfin ce que vous dite des articles vaut ausi pour la poésie. Cette forme d’écriture a envahi la toile. Etonnamment ? Pas tant que cela si l’on admet que le besoin d’expression est fort comme je le disais. En ce domaine, on trouve des similitudes avec la prose : qualité médiocre, copiés-collés, manque d’originalité. Le désir d’expression s’amplifie de l’émotion, des sentiments, de l’esthétisme. D’où le succès des sites à prétention poétique (voir dans les annuaires, la place importante occupée dans la catégorie littérature)

    La pertinence et l’impact en matière de production intime est encore bien plus ardue à définir que pour le reste. Qui peut dire l’impact d’un poème, la pertinence du style, la manière dont il sera ressenti ?

    Le plus surprenant est que si la moins-value qui nous saute aux yeux est manifeste et très répandue, la plus value de toutes ces charges d’humanité au sein de ce bouillonnement de ce village global -plus value plus délicate à appréhender que dans les disciplines techniques- est bien présente aussi en dépit des nombreux défauts constatés.



  • La Taverne des Poètes 26 août 2006 01:30

    Chacun peut s’improviser journaliste et référencer son blog sur lequel traînent des « articles peu crédibles, sans pertinence, ni impact, parfois hostiles et la plupart du temps sur des sujets déjà épuisés par ailleurs. »

    - Peu crédibles, je l’ai constaté aussi souvent quand la mention des sources fait défaut et que les commentaires ne sont pas dissociés des faits ou que ceux-ci sont présentés de façon partielle.

    - « Sans pertinence » : là nous tombons dans votre subjectivité. Google a une autre approche de la pertinence : il la personnalise en fonction des mots-clés tapés par l’utilisateur, de la fréquence et de la place des mots recherchés dans les pages web référencées.

    - « Ni impact » : le blog se perd dans l’espace infini de la toile. Pour se faire connaître, le référencement ne suffit pas, il faut intervenir sur des forums, échanger des liens, reproduire ses articles sur des sites à l’impact plus fort (ex :AgoraVox), etc. L’impact est au bout du compte plus satisfaisant que si l’on gardait l’article dans son tiroir ou si en limitait la lecture à quelques proches.

    Outre ces questions de contenu se pose la question que vous soulevez des réseaux et vous y répondez :« seule une appropriation du réseau par la participation active permet de connaître ces lieux » (de débat et de réelle pertinence)« sous peine de subir le risque d’obsolescence. Et c’est alors la »cybercrise". Un défi actuel pour les organisations que vous étudiez.

    Lorsque la lumière d’une étoile qui brûle dans l’espace internet parvient au regard de l’organisation, l’étoile est peut-être déjà éteinte...

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