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Cosmic Dancer

Cosmic Dancer

"Lire est considéré comme un acte d’amélioration de soi."

Tableau de bord

  • Premier article le 17/04/2007
  • Modérateur depuis le 23/07/2008
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Derniers commentaires



  • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 19 décembre 2011 09:55

    Vous devez confondre Shame avec le premier porno venu, Georges Yang. Le réalisateur ne porte aucun jugement moral sur ses personnages - éventuellement sur le boss qui, lui, est dans le cynisme et la posture moraliste relevant de l’hypocrisie sociale qu’il assume parfaitement (d’où son attitude à la fois immorale avec la soeur de Brandon - qui n’a rien d’une « casse-couille », mais tout d’une borderline suicidaire), tout en condamnant la collection porno de son employé.
    Steeve McQueen à aucun moment de « tombe dans le piège américain de la condamnation du sexe », preuve en est la scène de la blonde à l’hôtel. Clinique, mais socialisée à minima. Quant à l’orgie, ainsi que l’écrit Valérianne, elle révèle non pas une culpabilité supposée du personnage, mais sa souffrance infinie. Et si le réalisateur « condamnait », je doute qu’il filmerait d’une manière à la fois aussi crue et aussi peu sensuelle, mais si violemment génitale (dans les premiers plans sur Brandon entre la chambre et la salle de bain, c’est évident).



  • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 19 décembre 2011 09:39

    Shame est un excellent film. Le bellissime Michael Fassbender n’incarne pas, à mon sens, un pauvre hère empêtré dans une addiction narcissique mal vécue, mais un homme coupé de ses capacités émotives dont on devine, au détour d’une phrase prononcée par sa soeur, que cela relève non pas d’une perversion ou d’un choix libertin plus ou moins assumés, mais d’un traumatisme dont on ne saura rien (« Nous ne sommes pas de mauvaises personnes, le mal est d’où l’on vient » ou quelque chose d’approchant).
    Shame ne parle ni de cul ni de consommation de cul, mais d’âmes désespérées.



  • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 19 décembre 2011 09:31

    En revanche, légiférer sur la fessée...

    Pourquoi ne pas envoyer les parents frappeurs en camp de rééducation ? smiley
    Entre ceux qui produisent des petits monstres hurlants chez l’épicier, des fashionatas de 4 ans, des tyrans en culotte courte, et ceux qui élèvent des petits êtres prostrés et renfrognés, les uns comme les autres susceptibles à l’âge adulte de frapper leur descendance ou handicapés de la vie sociale voire affective, en viendra-t-on à exiger un permis de procréer ?



  • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 19 décembre 2011 09:22

    Au vu des commentaires, il semble que la traditionnelle beigne infligée sur les joues rebondies de l’enfant ait été supplantée par la conservatrice fessée et ses bénéfices supposés pour éviter que l’enfant ne devienne l’enfant-roi. Un peu court en raisonnement, et empiriquement sans fondement. Nombre de mes petits camarades ayant bénéficié de frappes et/ou « coups de pied au c.ul » n’en ont tiré aucun enseignement ; pas plus que d’autres, élevés par des idéalistes à principes progressistes et n’ayant jamais connu un cuisant affront, n’en sont devenus des consommateurs boulimiques (de quoi ? serait-il possible de connaître les études qui autorisent cet argument ?).
    A l’égard d’un enfant comme envers un adulte, la violence est le recours des faibles, la manifestation d’une incapacité, en l’occurrence celle d’exercer une autorité indispensable qui ne nécessite pas d’élever la voix, mais exige tout autant de présence, d’attention, de capacité à transmettre, que d’amour et d’empathie. Car il s’agit de faire grandir au mieux des êtres humains, en principe, non ? Et lesdits êtres humains miniature ont besoin de repères, de limites et de contraintes autant que de liberté pour donner le meilleur d’eux-mêmes. Seulement, être parent sans user de la main leste, c’est chronophage, voire crevant.
    D’où, je suppose, cette défense et retour souhaité de la torgnole dans nos sociétés où les parents flanquent leur progéniture devant la télé dès le lever, au retour de l’école et avant le coucher pour avoir le plaisir de s’affaisser devant leur propre programme de loisir.



  • Cosmic Dancer Cosmic Dancer 29 novembre 2011 01:21

    Baskette tente maladroitement de me prêter un discours que je n’ai pas. D’une part, dans le commentaire auquel il réfère, le premier paragraphe mentionne le fait des déviances (au plan légal) électoralistes, sans préjuger desquelles, donc ni en ignorer.

    D’autre part, le sujet porte sur le financement supposé public d’une mosquée (information à étayer, par ailleurs).

    Enfin, je me suis déjà et souvent érigée contre le financement public de la synagogue de Puteaux, seul exemple du genre par ailleurs.

    Et si le financement de cette crèche vous empêche de dormir, plutôt que d’envoyer un lien rageur, écrivez un papier étayé que je n’ai pas le temps d’écrire, et je viendrai commenter smiley

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