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59 ans
Eurasien
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Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Derniers commentaires



  • easy easy 18 janvier 2013 11:51

    Salut Robert,

    Merci à vous

    Je découvre incidemment que vous êtes physicien et regrette de ne pas vous voir plus souvent sur les sujets de physique où votre apport serait pourtant bien utile




  • easy easy 18 janvier 2013 11:40


    **** L’homme de tout temps a toujours aimé se faire peur, et lorsqu’il n’avait pas assez d’ennemis naturels, il prenait un malin plaisir à en créer .*****

    Vous abordez l’énorme sujet de la fabrication du monstre et ne le traitez que très superficiellement. 
    Il est impossible de mieux le traiter sur ce site


    Par intelligence en « vivons ensemble » nous devrions admettre que s’il est possible qu’il y ait des monstres de naissance, nous devrions avoir pour règle sanitaire première de ne jamais rien fonder sur cette possibilité et tout fonder au contraire sur la probabilité infiniment plus grande que les monstres soient fabriqués
    Fabriqués par qui, c’est atrocement difficile à déterminer mais ils sont bel et bien fabriqués et aussi bien volontairement qu’involontairement 


    Cette question d’ontologie du monstre est un peu traitable depuis des cas individuels : Comment Landru a-t-il été fabriqué ? Mais elle vire facilement au château de cartes spéculatives quand on ne dispose pas d’une totale vision de son contexte proche.

    Bien plus facile serait l’étude de notre propre cas.
    Nous avons tous connu le devenir monstre et nous connaissons tous notre contexte proche. C’est de notre propre vie privée que nous pouvons tirer la connaissance de la fabrication du monstre (en tous genres, procédant tant de câlins que de couteaux) 


    Cette question d’ontologie ou de fabrication est impossible à traiter depuis des cas collectifs : Comment les Nazis ont été fabriqués ? Car ce sera si complexe à étudier qu’on ne procèdera que d’emplilements de poncifs pour rester lisible et devenir crédible

    Une seule chose est vraiment plus facile à considérer, c’est ce qui se produit lorsque par exemple deux conjoints se disputent.
    Nous avons tous assisté à des surgissements de monstres lors de disputes privées. C’est ce surgissement du monstre privé que nous connaissons (sans jamais bien le comprendre)

    Puisque chacun de nous sait ce surgissement dans les espaces privés, puisque chacun s’est vu devenir monstre, puisque chacun a vu comment il poussait son conjoint à devenir monstre, on est de mauvaise foi lorsqu’on prétend que les monstres le sont par nature. 


    Heureusement que sur le coup des nazis, il a été tôt admis que la dette imposée aux Allemands en 1918 leur était insoutenable et que ceux qui l’avaient conçue étaient des fabricants de Monstre
    Mais ce genre de reconnaissance ontologique du monstre avec responsabilité partagée (qui permet alors une véritable réconciliation après le drame) est rare.

    La plupart du temps, quand on est face à un monstre, on feint ignorer les effets de mise en résonnance ou Larsen, les effets de coagulation, les effets d’hystérie collective, les effets de l’arrogance, les effets de la jalousie et on va droit à dire que le monstre l’est par nature (on est alors innocent de sa monstration).
    Et si l’on dit éventuellement qu’il l’est devenu par influence, ce sera par influence d’autres monstres encore mais jamais de soi
    « Il a eu de mauvaises fréquentations »



    Il est impossible de dire en moins de 100 000 pages comment le monstre colonial français s’était formé 
    Il est impossible de dire en moins de douze volumes comment le monstre Khmer Rouge s’était formé

    Mais au moins pourrions-nous dire comment un conjoint ou un enfant devient monstrueux sous l’effet de mises en résonnance et ajouter à la suite que ce qui est vrai pour les espaces privés l’est aussi mais de manière plus complexe encore pour les espaces publics

    Sans jamais pouvoir l’expliquer, nous pourrions au moins aller à dire systématiquement de tout monstre que nous l’avons fabriqué. C’est le seul biais offrant l’apaisement et le dégonflement des hystéries. 

    Une très grande partie des gens sont disposés à prétendre que Dieu existe. A partir de quoi ils voient du monstre par nature 
    Il est bien dommage qu’il n’y ait pas autant de gens à prétendre, sans attendre de pouvoir le prouver, que tout monstre est fabriqué.

    Nous croyons que le Monstre surgit ex nihilo afin de ne pas croire qu’il surgit de nous.

    C’est de notre préférence en la première croyance que vient le réflexe consistant à ne traiter les Monstres qu’en les brûlant isolément.

    Si en une journée, au lieu de focaliser sur le cas d’un monstre et de lui concocter alors quelque bûcher, nous avions à considérer la réalité entière de l’Hexagone, nous aurions à examiner 60 millions de monstres et là seulement nous conviendrions qu’ils ne surgissent pas d’eux-mêmes mais de mises en résonnances mutuelles.

     



  • easy easy 17 janvier 2013 22:47


    Le nombre de personnes espérant un enfant est probablement stable depuis 100 ans. Mettons qu’à cette heure-ci, ceux qui espèrent un enfant représentent 20% des Français. 

    Le nombre de personnes qui font de l’enfance leur métier est clairement en forte augmentation depuis un siècle :
    Médocs, couches, soins, vêtements, psys, alimentation, pédiatres, poussettes, école, cantine, avocat, juges, édiles, crèches, musique, sports, télécoms, drogue, papetterie, jouets, produits culturels, monospace, ameublement, immobilier, banque, assurance,...

    Par ailleurs, il y a également le secteur du cul qui attire de plus en plus de professionnels.

    Ca fait qu’entre le stade de l’éjaculation et celui du doctorant de 30 ans qu’un spermatovule peut devenir, il y a probablement la moitié de notre population qui vit de cette chose cul-doctorat.

    Restent 30% des Français qui n’espèrent pas d’enfant et qui ne font pas la moindre affaire avec l’enfance.




    L’image de chacun, laborieuse a construire, s’est faite par augmentations singulières autour de cristaux fondamentraux indiscutables donc sûrs du genre Je suis fils d’un père et d’une mère, comme tout le monde, qui se sont aimés comme tous les parents. J’ai été vacciné comme tous les enfants. J’ai vu la mer comme tous les enfants, je sais ompter comme tous les enfants... 

    Tout nouveau paradigme social susceptible de brouiller ces cristaux, de les rendre plus aléatoires ou discutables, invalide les images déjà construites autour




    100% des Français sont concernés par la problématique de leur image.

    Mais les 20% qui espèrent un enfant ne la possèdent pas encore, ils comptent précisément sur l’enfant futur pour l’établir et ils sont prêt à tout. Ce groupe des futurs parents peut se diviser en deux lots : Un premier qui pense y parvenir selon les voies classiques sans en être certain et un autre qui, après avoir déjà largement échoué de manière classique, ne jure plus que par de nouveaux biais.

    Les 50% qui vivent du cul-doctorat sont chagrinés si leur image doit souffrir d’un changement de paradigme mais comme elle est également fondée sur la réussite de leur business avec ce secteur, ils sont conciliants.

    Quant aux 30% qui ont leur image parentale déjà construite et qui ne font pas de business avec le cul-doctorat, ils sont les seuls à n’avoir aucun intérêt à un changement de paradigme.


    En vertu de quoi le paradigme conduisant du sexage au docteur va forcément muter.



  • easy easy 17 janvier 2013 17:00

    Il règne dans ce secteur du Monde une vieille idée selon laquelle il existe une créature ne souffrant de rien : le diable 

    Ici, il est donc intéressant de diaboliser quelqu’un car s’il ne souffre de rien, il va de soi qu’il fait constamment souffrir autrui
    C’est à peine s’il souffre quand on le brûle
    Ou dit autrement, il ne devient enfin souffrant qu’en brûlant dans les flammes purificatrices


    Tant que ce principe est promu par les uns ou les autres, nous restons en ligne avec la Saint Barthélemy ou quelque nuit de cristal ; nous restons à attendre un signal pour nous lancer à l’attaque en meute sur quelque diable



    Le héros, en Asie n’est pas un type qui résiste aux balles. C’est un type très artiste ou très courageux de son corps mais qui mange, qui saigne, qui souffre autant que tout le monde. En Asie tout le monde souffre, méchants compris.

    Ici, avant 1789, seule l’Eglise répandait le concept du diable qui ne souffre pas.
    Aucune femme du XVIIIème ne tenant les clefs d’une Eglise, (à part d’exceptionnelles papesses), aucune ne se lançait dans un discours dénonçant le machisme des hommes selon une version les diabolisant. 
    Ils étaient pourtant violents et toujours plus violents que les femmes en moyenne des cas.

    Gilles de Rais avait même réussi à faire admettre la sincérité de son repentir et il s’était lancé dans cette entreprise de componction parce qu’il savait le contexte disposé à l’accepter comme sincère. On en était donc à convenir qu’un type ppouvait abuser par hybris de pouvoir mais que bloqué en son entreprise folle, il pouvait revenir à la raison. (Même principe en Asie)

    Sade n’a ainsi jamais fait l’objet de diabolisation de la part des femmes alors qu’il racontait tout




    Mais à partir du XIXème siècle que chaque Français s’est progressivement senti totipotent, potentiellement dieu à la place de dieu, chacun a trouvé naturel de désigner sur une base d’allure scientifique, thésarde, qui était ange, qui était diable (C’est à partir de là que les parents ont dit « Mon ange » à leur enfant)

    Depuis, a surgi le concept selon lequel il existe des êtres humains sans coeur qu’on appelle les pervers narcissiques manipulateurs 

    « En avez-vous déjà examiné de ces PNM docteur afin de vérifer qu’ils n’ont pas de coeur ainsi que vous le prétendez ? »
    « Bin non pluisqu’ils ne consultent jamais » 
    ’Mais alors, vous n’en êtes expert qu’au travers des récits de vos patients-victimes c’est ça ?« 
     »Bin oui mais croyez-moi, ça me fait une belle expérience tout de même et je peux en déduire que c’est vrai qu’ils ne savent pas aimer«  

    Théorie qui s’autovérifie par procuration
    On a connu plus scientifique 
     


    Ainsi les PNM n’existent que par ceux qui les accusent en faisant référence à des thèses selon lesquels ils existent. Et il y a une grille de contrôle pour les repérer ces nouveaux diables ; peu importe que quiconque examiné à travers cette grille sera vu PNM d’autant que quiconque sera accusé d’y correspondre deviendra plus agressif encore. 
     

    Les sorcières non plus n’étaient pas connues de près puisqu’elles n’entraient jamais dans une église n’est-ce pas


    Puisque de façon courante, ce sont les hommes qui gouvernent les entreprises prométhéennes de notre civilisation, puisque leurs employées femmes sont automatiquement infériorisées, lorsqu’elles se plaignent de la pression de leur patron, elles se saisissent de la perche de ce PNM qui grouille partout mais que personne n’a examiné directement et concoctent un menu dans lequel leur méchant patron ressort sans coeur, sans la moindre empathie, sans la moindre souffrance.

    Dans un premier temps, les époux de ces femmes harcelées par les patrons PNM applaudissent à l’accusation, trop contents de pouvoir accuser un autre homme qu’ils jalousent. 

    Mais ce jeu s’amplifie et lorsque des tensions surgissent dans le foyer, le mari est à son tour accusé d’être un PNM 
    Pour résister à l’attaque, il s’organise, il s’associe avec d’autres divorcés diabolisés et accuse à son tour son ex d’être une PNM

    Au bilan 60 millions de Français accusent 60 millions de Français d’être des PNM (toujours au sens de sans coeur ni souffrance) et les avocats se régalent de toutes ces diabolisations croisées qui rendent tout le monde hystérique 

    Votre thèse est parfaitement à la pointe de cette tendance 



    Comme entre les hommes et les femmes, il n’existe aucun arbitre absolu ou neutre, la diabolisation totale et mutuelle que nous entreprenons ne pourra pas être modérée et nous allons finir par nous foutre dessus pour de bon.
    Mais comme il y a antinomie entre une guerre des sexes et son support en termes de combattants, nous n’allons pas aller à une Saint Barthélemy explicite, elle sera seulement implicite et va durer très longtemps en nous rendant la vie infernale (Cf Le chat avec Gabin).

    Nous sommes déjà dans cette Saint Barthélemy sourde car personne ne baisse le ton, chacun ne fait que surenchérir d’accusations de »Sans coeur« 

    Vu le caractère sourd, lent et durable de cette guerre, nous allons forcément nous homosexualiser au fil des générations 


    Une fois la proportion d’homos devenue significative, on verra ces couples homos se faire des procès et là, il faudra bien qu’ils renoncent à la diabolisation par le sexe. 
    C’est donc par la montée de l’homosexualité que la diabolisation inter sexes va diminuer.
    Paradoxalement, il nous faut atteindre peut-être 30% d’homos pour mettre fin à notre guerre des sexes. 

    A moins qu’une vraie guerre armée ne survienne, rendant la violence des hommes à nouveau indispensable et bénéfique 


    Dans cette paix recouvrée par l’homosexualisation, chacun conviendra qu’en effet les hommes sont plus violents, que c’est du reste pour ça qu’ils ont toujours été envoyés à se faire étriper sur les champs de bataille, que les femmes sont moins violentes, que les hystéries rendent hommes et femmes violents aux maximum de leurs possibilites et que personne n’est sans coeur, sans souffrance, en dehors de ses moments d’hystérisations (qui ont leur forme éclatante très reconnaissable mais aussi leur forme sourde telle celle que nous sommes en train de vivre de manière collective et privative) 

    Face à quelqu’un qui semble hystérique, il faut que le collectif l’entoure de calme et de mesure non d’hystérie.

    Une devise nationale devrait être vivante, adaptée au contexte.
    De nos jours, la nôtre devrait comporter le mot  »Pondération"



  • easy easy 17 janvier 2013 14:40

    Avec Homère, il y avait des héros très dépendants des caprices des dieux. Les héros ne jugeaient pas, seuls les dieux jugeaient mais jamais de manière absolue puisqu’ils n’étaient jamais d’accord entre eux. Aucun idéal sinon celui d’assumer les flots de l’existence sans faiblir de courage

    Avec Satyricon, l’influence des dieux s’estompe, il n’y a plus aucun héros et chacun devient soucieux de son érection 

    Avec Cervantès, il n’y a plus de dieu mais apparaît alors le cas d’un individu essayant une forme d’héroïsme tout en étant ridicule car orienté par ses seuls vents intérieurs

    A partir de Defoe arrive le héros alfa qui s’oriente par rapport à la réalité de la vie avec l’autre, aucun délire. C’est probablement le meilleur héros. Il se pose des questions sur lui-même, sur son éthique. Il nous invite à nous interroger sur nous-mêmes. Il ne nous offre pas de croire en quelque chose et de foncer alors.

    A partir de Poe et Doyle arrive le héros ayant un nouveau dieu, la science. Son dada c’est de faire triompher la science. Il fonce. 
    Mais Hugo et Zola veillent et appellent à s’intéresser à la justice sociale

    On se retrouve donc, après 1900, avec des héros favorables au progrès, Rahan compris, et à la justice. 
    Comme il s’agit de héros ils sont caricatures et caricaturent 
    Tout est considéré de manière la plus manichéenne qui soit 

    Tous ces héros étant destinés à servir de sujet à achat de livre, ils sont tous sociaux.
    Il n’existe aucun héros cénobite.
    Il n’y a jamais d’invitation à méditer sur autre chose que la relation sociale
    Même quand un héros vole dans les nuages, il n’en jouit pas. 
    La plupart des héros évitent même de jouir avec un partenaire.
    Il jouit de son pouvoir social, rarement de baise, jamais de lui-même.
    Même un cow boy réputé lonesome n’est héros qu’en société.

    Gauche ou droite peu importe mais jamais solitaire car il tire son essence héroïque de son jeu dans la masse.


    En Asie, de manière traditionnelle, le héros ressemble souvent à Ulysse (Ramayana & Mahabhabarataj), il combat souvent en Ivanhoe, mais il va parfois à affronter carrément des dieux (qui n’ont rien de sage), il vieillit, il a faim, il aime, il déprime, il meurt.
    Ce qui empêche le manichéisme et l’émergence du jugement absolu. Il n’en ressort de sagesse que l’acceptation de l’ineffable bazar qui résulte de la nécessaire combattivité de chacun
     
    Par ici, il est fait très peu de cas de ceux qui ont pourtant été considérés comme héros historiques (Jeanne d’Arc, Du Guesclin...). Ici les héros sont très inventés

    En Asie, on part très souvent de cas réels qu’on augmente 
    Les plus grands héros d’Asie sont fondés sur ces cas réels (dont celui des 47 ronins) 
    C’est d’ailleurs en Chine qu’il y a régulièrement, encore de nos jours, des gens du peuple érigés en héros au sens de Bruce Lee (et on est très loin du principe de notre Légion d’Honneur)

    La Chine où règne un gouvernement très policier invite toujours et paradoxalement à des comportement héroïques à partir desquels existe une résistance, une audace à la désobéissance.
    L’homme aux chars surgit de ce contexte, Tian’anmen aussi, Falun Gong aussi.
    On peut y voir par exemple un Ravaillac érigé en héros par une masse populaire (parce qu’on aura compris qu’il avait eu à subir un paquet d’injustices policières) 
    Et il va de soi que les avocats qui défendent des accusés politiques et qui deviennent à leur tour proscrits voire incarcérés, sont vus comme des héros par le peuple.

    Ici on est dans l’héroïsme fantasmatique, très théâtralisé et très normé (d’où l’éminence de nos Depardieu et notre colère puérile de spectateurs de salle quand ils font pschiiiit )

    En Asie, on trouve stupide notre conception du héros
    Au mieux, on admet le héros de guerre, le grand artiste et l’homme qui se sacrifie. Pas celui qui est invulnérable aux balles.

    L’héroïsme asiatique est concret, surgit d’individus d’allure banale sans panoplie ni pouvoirs et surprend toujours :
    Tel le cas de ce Chinois qui avait refusé l’expropriation de sa maison placée sur une trajectoire d’autoroute et qui a longtemps résisté obligeant alors les bâtisseurs à le contourner.
    Tel le cas des volontaires de Fukushima Daichi (Je parle des ingénieurs compétents, pas des balayeurs recrutés dans des parcs). 
    Tel le cas de cette gamine indienne qui s’était suicidée pour que son père et son frère puissent profiter de ses organes (mais elle fut incinérée avant qu’on ait découvert sa lettre expliquant son objectif) 
    Du coup il n’exclut pas du tout de son panthéon des étrangers ayant eu des comportements héroïques (Bethune, Aylward, Yersin, Rabe...)

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