Taverne

« Au nom du principe de précaution, instaurons une dictature  ! »

Pour résumer la pensée de Véran et de tous les autres fous en blouse blanche qui dictent leur pensée au Pouvoir : « Par précaution, il vaut mieux instaurer une dictature sanitaire ».

Empêcher les non vaccinés de se rendre au travail s’ils ne peuvent pas payer les tests obligatoires et révéler à tout le monde leur statut vaccinal (secret médical violé), c’est de la dictature !

Vacciner tous les enfants : seulement avec l’accord des parents « pour le moment », a ajouté Macron sur RTL. Ce « pour le moment »est révélateur… La vaccination des enfants pourrait être obligatoire dès que le gouvernement aura obtenu une majorité suffisante de parents et d’enseignants pour faire pression sur les autres parents. Bousillage de leur défenses immunitaires par un vaccin de mauvaise qualité.

Vacciner en masse pour une troisième des jeunes (des millions d’entre eux contre leur gré) qui n’en ont pas besoin sachant que les vaccinés continuent de contaminer : encire de la dictature !

Stigmatiser les non vaccinés, les insulter, souffler sur les braises d’une guerre entre les gens selon leurs statuts vaccinaux, c’est un moyen de dictature !

Le passeport vaccinal pour les lieux de loisir, à la limite, est supportable si cela est voté mais, malheureusement, on sait que ce dispositif ne sera pas limité et proportionné. Il durera et s’étendra même quand le danger sera minime. Tout comme le passe sanitaire s’est inscrit dans le long terme.

Personnellement, je ne prendra jamais ce vaccin tout pourri, pardon je veux dit « vaccin ARN ». Soit je prendrai le Novavax (plus efficace et sans ARN) soit je choperai tout bonnement le variant Omicron s’il n’est pas dangereux (affaire à suivre sur ce point).

Pas besoin de murs quand la plus grande des barrières est l’indifférence.

A défaut d’être un humaniste, on peut a minima être humain. Pour cela il faut distinguer nettement l’humain du migrant. Le migrant n’est pas une espèce différente de l’être humain. Etre migrant n’est que l’état provisoire d’un être humain et cet état ne le résume pas. Vous ou moi, nous pourrions un jour être migrant et nous n’accepterions pas que notre humanité soit occultée de la conscience de ceux qui nous regardent.

Je suis un humaniste de type patriote humaniste. A savoir que je suis pour la régulation sérieuse de nos flux d’immigrants en partant, le plus possible, des besoins de notre pays, pour définir le nombre et la qualité des migrants. Je suis pour une lutte sans merci contre tous ceux qui font commerce ou exploite de quelque façon (politique…) à leur profit les flux de migrants.

Mais je suis aussi pour que notre pays et l’Europe aident les pays pauvres à se développer. Ce qui suppose d’accepter des étudiants (surtout en médecine et autres spécialités indispensables au développement des pays défavorisés) pour qu’ils retournent aider leurs pays une fois formés (on en garde certains selon nos besoins). Et surtout des étudiantes, parce que l’éducation des filles permet de favoriser l’autonomie de la femme dans les pays où elle est asservie. Cela permet aussi la réduction de la natalité : les femmes éduquées prennent conscience qu’elles ne sont pas que des « ventres ».

Distinguer le migrant de l’être humain, c’est soigner les personnes en danger avant de les renvoyer chez elles. C’est permettre un véritable droit d’asile, c’est-à-dire un droit d’asile non dévoyé comme c’est le cas aujourd’hui.

Zemmour a dit des choses très justes à propos des dernières mesures dictatoriales décidées par Macron tout seul en son conseil de défense secret qui nous cache la réalité. 

Véran a fait de moi un antivaccin.

Qu’est-ce qui ne va pas chez ces gens-là ? Qu’est-ce qu’ils haïssent le plus dans la formule « liberté de conscience » ? La liberté ? la conscience ? les deux peut-être ?

Qui sont ces petits ministres qui s’attaquent aux grandes libertés et qui me traitent d’irresponsable et d’assassin ? Sont-ils responsables, eux, qui répandaient le virus partout cet été en embrassant des gens ? Suis-je irresponsable, moi, qui ne fréquente aucun lieu public (pas de faux pass) et qui respecte scrupuleusement les gestes barrières ?

Je « refuse » de me vacciner dit Castex. Non ! je ne refuse pas : la vaccination n’est pas obligatoire. Le jour où elle le sera je refuserai, oui, je refuserai ! Voicii mon point de vue désormais après avoir entendu toutes ces menaces et ces injures contre ma personne. 

Je refuse ! Je refuse qu’on tienne pour responsable de tous les manquements et les négligences de ce pouvoir !

Je refuse d’être traité comme un assassin en puissance !

Désormais, je suis un antivax.

Je refuse ! Je refuse ! Je refuse !

Entre ici, Joséphine, devant ta tribu arc-en-ciel, sous le regard de tes enfants !
 Ils sont tous là ; ils font un chœur pour chanter l’hymne à leur maman : la grande Joséphine Baker !
 Leur chant s’unit à notre chœur pour monter droit au coeur de Joséphine Baker.

Entre ici, Joséphine et bats, coeur ! Bats, cœur éternel de Joséphine Baker !
 Bats encore cette nuit sous les muses électriques de ton pays : Paris !
 Entre ici, coeur à jamais sincère et jamais déguisé !
 Ton coeur est trop vivant pour être panthéonisé.

C’est un manteau d’étoiles qui pour de vrai t’accueille.
 C’est le Ciel qui t’honore et c’est Lui qui te cueille,
 Et pas le Panthéon. Le monument n’est rien et l’Univers est Tout.
 Le marbre reste là et ton coeur est partout.

Bergère nue, naïade des vraies courses,
 Tu bondis maintenant au sein de la Grande Ourse !
 Bergère des nues tu vas et ton âme légère
 Est encore plus légère qu’aux Folies-Bergères.

De la Terre nous t’apercevons
 Et dans le ciel nous te suivons.
 Te voilá devenue bergère et à présent,
 Tu illumines á jamais nos cœurs de grands enfants.

Perce-les de tes traits, toi déesse Artémis.
 Que tes flèches percent l’écorce des Hommes.
 Blancs, noirs ou bien gris et métis,
 Ils tournent tous sur la même Pomme.

Cette écorce est si rude, vois-tu, que toi seule en peux crever l’armure.
 Tu fais tomber tous les murs, tu rends l’humanité plus mûre.
 Entre ici, Joséphine ! Nous sommes tes enfants...

La France ne dira jamais son dernier mot

Notre pays n’est pas le Jardin d’Arcadie, il n’est pas le pays du miel.
 Il n’est pas non plus le pays qu’on dit : plein de haine et de fiel.
 C’est un pays, la France
 Qui rime avec espérance.

Jardin des Hespérides, que valent tes pommes d’or ?
 Puisqu’il existe ici des gens qui savent encore
 Enchanter les aurores !
 Le pays n’est pas mort.