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Les commentaires de Taverne



  • Taverne Taverne 25 septembre 2012 14:30

    Une chute mortelle ? Oh non, on le voit mal en champion de l’escalade. Par conséquent, il ne peut pas tomber de haut ni se faire très mal. Quant au redressement dans la bonne humeur, personne n’y a jamais cru.



  • Taverne Taverne 25 septembre 2012 10:08

    Duflot de paroles, il n’est rien sorti. Dix minutes de journal télévisé qui auraient pu être consacrées à de l’information...



  • Taverne Taverne 21 septembre 2012 14:35

    Doux leurres et sous-France

    Comme le dit cet article de façon voilée, les riches ne risquent pas grand chose. Avec leur armée d’avocats, de paradis fiscaux et d’avantages fiscaux que le gouvernement n’ose pas raboter, l’impôt sur les riches, en fin de compte, c’est encore nous qui le paierons. Nous, les petits, les sans-nom mais en grand nombre. Nous la sous-France. Les promesses du candidat Hollande n’étaient que de doux leurres attrape-gogos.



  • Taverne Taverne 21 septembre 2012 10:49

    Le Petit Manuel de l’Ordre juste

    - Ouvrez votre petit manuel à la page « appliquer l’ordre juste » ! dit le professeur. Et je pense « Ah ! C’est quand même autre chose que le bréviaire bobo laxiste du PS ». Il y est dit qu’il faut rétablir l’ordre dans les quartiers pour aider les petites gens qui y habitent. Tiens ? ça a changé ? Ce n’est plus seulement les riches qu’on cherche à protéger.

    - Au moins, celui-là, il n’est pas dépaysé, me dit mon camarade de classe en ouvrant le livre dont la couverture arbore une superbe cravate violette sur chemise en soie de couleur bleu ciel, à moins que ce ne soit l’inverse.
    - Ah...pourquoi ? demandé-je.
    - Parce que le gouvernement, c’est l’auberge espagnole.



  • Taverne Taverne 21 septembre 2012 00:33

    Dieu est mort, vive dieu !

    Vous savez bien que tout se recycle et puis : chassez le surnaturel, il revient au galop.

    Donc pourquoi une loi pour protéger le sacré ? Le sacré a encore des millénaires devant lui. De plus, le sacré est déjà protégé par le principe de laïcité et la liberté de croyance et d’opinion. La justice peut être saisie et c’est d’ailleurs le cas pour les caricatures de Mahomet.



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 17:20

    Un certain philosophe répondit, quand on lui parla de dieu et d’intelligence supérieure : « Intelligence supérieure ? Quelle intelligence supérieure ? A par moi, je n’en vois pas... »

    OK. Cet auteur n’existe pas, je l’ai inventé. Mais il est assez facile d’imaginer ces mots dans la bouche de certains fous de Raison. Car si, comme disait Francisco de Goya le peintre, « Le sommeil de la raison génère des monstres », à trop se réclamer de la Raison aussi peut faire de vous un monstre...Comme ces anticléricaux primaires incapables d’avoir une pensée autonome s’ils n’ont pas d’« infâme » à écraser sous leurs jurons.

    Mais l’auteur de cet article ne fait pas partie des ces prétentieux, des ces « sachants » qui se déclarent supérieurs aux croyants. Ni des ces intolérants. Il nous dit avec simplicité son ressenti, sans agressivité ni haine. Et moi, l’athée, je l’approuve. Les barbus nous font chier ! Voilà, c’est dit. « Les barbus, quelle barbe ! » On en a assez avec nos problèmes de fins de mois, de chômage, de destruction de la planète. On ne veut pas en plus que l’on nous impose le respect de règles qui ne concernent qu’une religion donnée.



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 16:50

    Il n’est souvent pire abruti que celui qui traite les autres d’abrutis sans les connaître. Et, ma foi, vous m’avez l’air d’un bon specimen....



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 16:17

    Mon ami moinsseur,
    Et moinsseuse ma soeur,

    Songez à la douce heure
    De toutes ces douceurs

    Répandues sur la toile
    Par d’aussi belles toiles !

    A ces beaux fonds sonores
    Dont l’oreille s’honore,

    A ces bijoux, ces arts
    Qu’a pas connus César.

    Amen.



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 14:11

    Charlie Abdos

    Si les musulmans avaient rire, ils se muscleraient les abdos. Mais ils préfèrent suivre les salafistes qui prétendent se développer plutôt les couilles que les abdos, alors que ce sont des gens lâches qui s’en prennent à des victimes vulnérables.Chez eux, un lâche assassin est appelé un héros. C’est décidément une civilisation bien différente de la nôtre.



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 14:00

    Et Clooney en a une toute petite !

    Ben quoi, ça défoule...



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 13:58

     « Breizh anatomie » !

    La Bretagne, avec l’île de Molène, au cinéma dans un film promis à un grand succès populaire apparemment

    Mais vivement la série « Breizh anatomie » ! Avec plein d’archétypes, le breton ivrogne, le barde barbu avec la pipe, le marin têtu, la bigoudène, la Bécassine (c’est ma voisine)...



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 11:24

    De plus, la position centrale de vision d’épouvante donne de l’équilibre au tableau et le centre attire immanquablement le regard du spectateur. Alors, leurre ou pas leurre, monseigneur ? Qu’en aurait-dit Paul Villach ?



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 11:20

    L e mystère de la Raie :

    Chardin introduit un peu de vie dans cette nature morte avec le chat et avec, ce chat, l’idée de désordre imminent, car l’animal s’apprête à faire tomber les huîtres...Autre procédé pour rendre plus vraie la scène, le peintre introduit des lignes obliques (le couteau dépassant de la table pour donner un peu de profondeur). Le croc auquel est suspendue la raie intrigue. En effet, il n’était pas de coutume pour les cuisinières de suspendre les raies vidées. Dans la peinture hollandaise et flamande, on peut voir des animaux percés d’un croc mais jamais suspendus, seulement posés sur un étal. Peut-être le peintre a-t-il voulu montrer les ouïes de la raie comme un leurre pour le spectateur (on dirait des yeux...)



  • Taverne Taverne 20 septembre 2012 11:10

    Le mystérieux Verrou :

    Fragonard l’exécuta pour le marquis de Véri, qui souhaitait un pendant à « L’Adoration des bergers ». Ainsi s’opposent amour profane et amour sacré. Certains détails intriguent. En effet, si l’homme verrouille la porte, pourquoi la chambre est-elle déjà dans un désordre (lit désordonné, vase renversé, laissant présager un tumulte de jeunes tourtereaux) ? Quel que soit le sens qu’on lui prête, le tableau est en rupture avec la production antérieure de Fragonard. Il le peint après 1774 et un second séjour en Italie qui revivifie son inspiration. Inhabituel chez Fragonard, le dessin n’est pas crédible, le bras de l’homme est trop long, et le cou inexistant. La lumière est posée sur le couple, comme un projecteur, alors que des tentures de baldaquin situé hors champ accentuent encore l’impression d’une scène théâtrale ; les étoffes constituent en effet plus de la moitié de la surface peinte totale.

    Le verrouillage reste un mystère. C’est comme si en fermant le verrou de la porte, le peintre fermait du même geste ce secret d’alcôve.



  • Taverne Taverne 19 septembre 2012 17:26

    Progès de l’esprit et « profitologues »

    Vouloir le progrès de l’esprit est un sentiment noble. L’ennui, c’est que, lorsqu’on le prône à grande échelle, tout un tas de charlatans, de faux prophètes et de politicards (que je regroupe sous le terme générique de « profitologues », un néologisme à moi pour désigner les doctes opportunistes) prétendent aussitôt nous aider dans cette voie...Je pense donc que le progrès de l’esprit est l’affaire de chacun. Il faut, bien entendu, que la société nous en donne le loisir et les moyens...



  • Taverne Taverne 19 septembre 2012 17:09

    Je suis pour une pensée policée (cela évite de dire des conneries) mais contre la police de la pensée.

    Je pense que la liberté d’expression est en recul, mais plus encore l’esprit de tolérance. Or, il me semble que l’un ne peut aller sans l’autre. Ces deux valeurs devraient faire l’objet d’une éducation renforcée spécialement dans les quartiers où les fondements de la république et du « vivre ensemble » sont menacés.



  • Taverne Taverne 19 septembre 2012 14:20

    Allain Jules, vous parlez d’opportunisme mais difficile de faire plus opportuniste que ces radicalistes religieux qui exploitent la haine autour d’un petit film satirique pour vendre leur soupe et embrigader des jeunes. Ce que l’on peut comprendre pour un journal satirique (qui n’est ni officiel ni un journal d’opinion tenu à l’objectivité et qui a tout-à-fait le droit de chercher à augmenter ses ventes), on ne peut l’admettre de représentants d ’un culte.



  • Taverne Taverne 17 septembre 2012 19:42

    « Goya n’a pas fait que de la peinture cauchemardesque. » En effet, d’ailleurs la première partie du clip montre ses autres oeuvres sur un duo de guitares très rythmé, qui vaut aussi le détour.



  • Taverne Taverne 16 septembre 2012 14:42

    Merci. Ce n’est pas Bach mais Corelli. Les Italiens ont tout inventé en musique et en art. L’éducation du regard et de l’oreille est , en effet, primordiale, pour apprécier les oeuvres. Aujourd’hui la télé déforme les sens avec ses sons agressifs, ses tons agressifs (abus de couleurs primaires et vives). La musique moderne, par sa simplification à outrance et sa standardisation n’arrangent rien. Bref, il faut produire un effort pour apprécier à leur pleine valeur les oeuvres passées. En particulier Rembrandt dont les tons n’attirent pas spontanément le regard du spectateur contemporain. D’où ces clips vidéos qui aident à passer le cap facilement et à se familiariser avec plaisir, du moins je l’espère.



  • Taverne Taverne 14 septembre 2012 16:05

    Harlem et le Big Bazar, cela commence mal pour la parité. Mais en chansons.

    « Attention, mesdames et messieurs, dans un instant on va rien changer ! »

    Attention, mesdames et messieurs, dans un instant on va commencer.
    Vous nous avez donné tous les fauteuils bien gentiment.
    5, 4, 3, 2, 1, 0, partez, tous les voyants rouges vont s’allumer
    Et nous allons vider vos poches en même temps.

    Attention, mesdames et messieurs, c’est important, on va rien changer.
    Il veut surtout pas créer d’histoires, le président.
    Comme il est un président normal, il ne va pas changer le décor.
    Espérons qu’vous nous laisserez peinards pendant cinq ans

    Nous les gouvernants, marchands de chansons,
    On est venus chanter des promesses dans votre maison.
    On a dit « changement », oui voilà mais bon
    Si vous le voulez, c’était pour rire, on aime trop les patrons.

    « Attention, mesdames et messieurs, dans un instant on va rien changer ! »