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 C BARRATIER

C BARRATIER

Je travaille depuis l’âge de 18 ans auprès des enfants, successivement instituteur, professeur, permanent des Centres d’Entrainement aux Méthodes d’Education Active (CEMEA), principal de collège, proviseur de lycée, mais aussi responsable de rencontres internationales de jeunes en Avignon et dans des chantiers bénévoles, conseiller municipal avec un suivi de crèches municipales, d’un Conseil municipal des Enfants, de chantiers internationaux dans ma commune. Je suis aussi Délégué Départemental de l’Education nationale appelé à suivre régulièrement le fonctionnement d’écoles publiques ou privées.

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  • Premier article le 28/03/2009
  • Modérateur depuis le 15/02/2010
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Derniers commentaires



  •  C BARRATIER C BARRATIER 23 août 2011 14:06

    Sparte, la question de l’école confessionnelle et de la République est limpide : De par la loi ces écoles confessionnelles ont les mêmes droits.
    J’ajoute qu’elles ont les mêmes buts qui ne sont pas l’égalité des hommes et des femmes et, pour celles ci la liberté de disposer de leur corps de manière identique à cette liberté pour les hommes, qui ne sont pas le respect absolu des programmes officiels de l’Etat dans le domaine de la biologie et de l’évolution des espèces, dans le respect des programmes de géologie sur l’histoire de la terre, qui, pour la République a plus de 10 000 ans !
    Ces buts propres qui font qu’elles disent être des écoles libres (par rapport à la République et ses lois), ne sont pas républicains.

    Dans les débats Agoravox, très souvent les défenseurs de l’école catholique m’ont dit qu’effectivement ils n’étaient pas républicains, qu’ils étaient même contre la République. Mon site « Retraités dans la République » me vaut bien des courriers, la plupart du temps pour solliciter un accompagnement pour remettre une commune dans la légalité, lorsqu’elle dilapide des fonds publics au delà de ce qui est dû à l’école privée sous contrat, mais parfois aussi pour m’insulter : ça s’arrête à l’insulte car ils sont à court d’arguments. Personne n’a pu pointer sur mon site la moindre faute par rapport à l’explication de la loi républicaine, je cite les textes et les faits ! Alors, à court d’arguments, on insulte. J’ai la chance d’être totalement zen devant l’insulte. Je ne crains personne, et je n’ai aucune haine, ce qui est très reposant. Mais les haineux un peu bêtas ne manquent pas !

    Retour au sujet, les écoles sous contrat d’association prennent des engagements...mais l’Inspection de l’Education nationale ne contrôle pratiquement rien.
    Les parents des enfants ne sont pas tous contre la République. Il y a un plaisir qu’on comprend de rester dans sa communauté, les britanniques ont tout fait pour favoriser ce type de comportement qui correspond à une vraie demande. Mais les écoles confessionnelles dépendant des directeurs de la confession. Je ne me reconnais pas le droit de dire qu’une confession monothéiste serait meilleure ou plus mauvaise qu’une autre.

    De nombreux catholiques accusent les directions islamistes de vouloir casser la République. Mais ils sont suspects de non neutralité, car les confessions concurrentes se détestent. J’observe que la République est inséparable de ses services publics, et que ses opposants (à la République) essaient de casser les services publics. Hôpital, Poste et autres ervices de proximité, école....Nous avons eu un Ministre de l’Education nationale membre de l’Opus Déi, Xavier DARCOS, qui a tout fait pour casser l’Ecole publique, les parents de l’école publique, largement majoritaire dans notre pays, s’en plaignent, toutes fédérations de parents comprises. Vous avez pu voir sur mon site tous les documents concernant des circulaires illégales (et cassées, disparues) qu’il avait pondues pour favoriser les écoles confessionnelles. Un mot sur ce qu’est l’Opus Dei qui a comme ennemi numéro 1 notre siècle des Lumières et notre Révolution de 1789.

    Dans une lettre aux membres de l’Opus Déi intitulée Dei Amore, Escriva de Balaguer a clairement exposé une impressionnante théorie des «  trois taches » qui salissent selon lui le monde. La première est le matérialisme et l’athéisme marxistes, « tache rouge qui se répand à grande vitesse sur la terre, qui démolit tout, qui cherche à détruire jusqu’au plus petit mouvement surnaturel ». La seconde réside dans les premiers pas de la libération des femmes, « grande vague de sensualité débridée qui amène les hommes à se conduire comme des animaux ». La troisième est la plus dangereuse car c’est elle qui s’insinue le plus sournoisement dans les sociétés sans montrer sa couleur. Il s’agit de la laïcité  : «  tache d’une autre couleur, dans les tendances sans cesse croissantes à dénier leur place à Dieu et à l’Eglise, à dire leur réalité et leur signification objectives, pour les reléguer dans un coin de la vie privée, sous la tutelle d’une conscience subjectiviste, autrement dit l’expulsion hors de la vie publique de la foi et de ses manifestations ». C’est dans ce refus obstiné de la sécularisation de la société et de la laïcisation de ses institutions que se fonde l’engagement philosophique et politique des membres de l’Opus Dei, dans la lignée de la pensée de Pie X. Selon Escriva de Balaguer, la liberté de conscience doit ainsi être niée comme « une erreur de l’époque ».
     
    C’est pour accomplir cette tâche que l’Opus Déi a été conçue dès le départ comme une organisation devant, selon de Balaguer, intégrer des « citoyens qui vivent au milieu du monde », pour repousser à tous les niveaux les avancées de la laïcité. 
     
    A partir de telles bases idéologiques, se déroule toute une pensée opussienne qui mêle néolibéralisme anti-marxiste et fondamentalisme religieux

    Voilà pour la parenthèse Opus Déi

    Clairement, l’islamisme est à combattre, mais actuellement il n’est pas dans le combat de pointe contre la laïcité de la République, deux mots complètement liés, il n’est pas dans la déferlante du libéralisme qui vient de dévaster le monde. Les révolutionnaires aujourd’hui sont du côté de l’Islam : Tunisie, Egypte, Lybie, Syrie....Le principal contre révolutiponnaire ets un petit état : le Vatican et son Opus Déi.

    Clairement donc aussi, nous devons nous méfier de la volonté du VATICAN de s’imiscer dans le fonctionnement de l’Etat. Il y a eu la volonté de dire que l’école privée avait une mission de service public, ce que j’entends répéter de partout par les OGEC. Voici la peuve du contraire :

    Service public impossible à l’école confessionnelle

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=142

     DARCOS ne fut pas le seul à violer la loi républicaine pour rapporter toujours plus d’argent à l’école privée...quittes à être condamnés. Voir

    Ecole privée : toujours plus …

     

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=182

     



  •  C BARRATIER C BARRATIER 22 août 2011 19:54

    Les britanniques récoltent ce qu’ils ont semé ; le communautarisme par lequel les membres d’une communauté peuvent avoir le droit d’appliquer leur loi interne en dehors des lois de l’Etat. C’est ainsi que la loi islamique intervient dans les affaires où la femme tente de se libérer.

    En France, nous avons eu le même phénomène, avec les lois de financement de l’école religieuse, dite « libre » par rapport aux règles de l’Etat. Il s’agit de fabriquer des réfractaires à la République et à son unité.
    Notre constitution laïque nous évite les errements du Royaune Uni et une libanisation de la France. Il faut y revenir pour protéger l’avenir.
    Voir Laïcité de notre République ici

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=196



  •  C BARRATIER C BARRATIER 22 août 2011 19:38

    La France a su faire, comme d’autres pays.
    Il faut oser dire qu’il faut plus d’Etat et non pas moins. Ceux qui demandent moins d’état sont ceux qu’il assiste sans cesse, entreprises du cac 40, entreprises agricoles, sous forme de prêts bonifiés, de subventions, d’exonérations de cotisations.

    Nos entreprises nationales ont créé la première entreprise au monde, devenue France Télécom qui, privatisée, a failli sombrer en achetant au dessus de sa valeur l’anglais Orange. L’aéro spaciale a créé le meilleur lanceur du monde, Ariane, cependant que la SNCF et Alstom créaient lemeilleur train du monde, le TGV. Ces entreprises nationales étaient financées par nos banques nationales. Depuis qu’elles sont privatisées, elles coûtent à tous avec l’argent qu’il faut leur donner pour les renflouer après leurs jeux idiots sur les subprimes. Et elles cassent notre économie.

    Bref, là où l’état a fait la preuve de créations d’emplois, les entreprises privatisées filent à l’étranger (voir notre fleuron sidérurgique privatisé, bradé, disparu)

    Nous avons épousé une religion stupide de la liberté des marchés, une religion stupide de foi en des gourous PDG pompeurs de fric, foi envers des actionnaires spéculateurs, foi en de pseudo économistes qui ne savent même pas le B/A BA du sujet, à savoir que l’économie est d’abord politique.
    voir Libéralisme, bonjour les dégats cici
    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=99



  •  C BARRATIER C BARRATIER 22 août 2011 18:56

    Ce n’est pas un forum de réflexion, mais d’injures partisanes. L’auteure manque de l’élémentaire respect humain, et son « moi » insatisfait et superficiel revient toutes les 3 réactions. « Moi je » c’est SARKO... mais pas que lui !

    Dans la citation de WALS que je lis dans l’article je ne lis pas qu’il permettra à cette règle d’or de passer à Versailles mais le contraire. Donc j’attends de voir, mon pronostic est que les socialistes diront non cette fois car de la part de SARKO c’est super grossier. Je pense qu’il propose cela avec une peur bleue (sic) de voir notre pays qu’il a trahi perdre son AAA par sa faute, car avec ce qu’il a gaspillé, on explique qu’il ait multiplié la dette par deux.

    Ceci dit, je ne suis pas spécialement socialiste mais si ses membres et ses électeurs le veulent tel qu’il est, c’est très bien. Ce n’est pas aux « non membres d’une association » de lui dicter sa ligne de conduite...

    Quant aux appétits personnels des membres d’un parti, où que ce soit, ces appétits sont divers ! L’ambition, le pouvoir ; le fric font partie de la « règle d’or »(même si ce n’est pas de l’or qu’ils ramassent). La règle d’or est une règle de fric, de bling bling...depuis toujours et partout.
    A quand la règle de pierre, ou de nature, ou d’espace ? Même l’argent ne conviendrait pas : on reste dans le fric et le « marchand ».



  •  C BARRATIER C BARRATIER 21 août 2011 12:18

    Nous avons en France d’autres points communs avec l’Allemagne, un système de protection sociale qui date pour nous de 1945, mais que nos voisins avaient découvert avec BISMARCK.

    C’est grâce à notre système de protection sociale que nous avons un si bon taux de fécondité, c’est grâce à lui que notre économie tournait bien sans gaspiller.

    Notre gouvernement champion des déficits au point de compromettre gravement la crédibilité de la France a porté des coups bas à ces systèmes, jusqu’à enrayer la machine française.
    Ce n’est qu’en renouant avec l’élan de 1945, en utilisant les moyens qui ont fait leurs preuves, que nous nous en sortirons. Le libéralisme sauvage auquel beaucoup ont cru a démontré son échec au plan mondial.

    Voir Résistance : « Notre civilisation solidaire en héritage »

    http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=91

    Quant à ne pas payer nos dettes au moment où notre président emprunte chaque jour, c’est une idée tout à fait farfelue !

    Il ne faut pas que mme MERCKEL qui a bien géré son pays pendant que notre gaspilleur dilapidait tout et compromettait notre avenir, il ne faut pas qu’elle aide la France. Notre pays doit payer la note d’avoir mis un nul au pouvoir, comme l’Italie, et comme la Grèce la paie déjà. Sans la France coulée, l’Europe sous moteur allemand ira très bien et s’entendra très bvien avec l’usine mondiale qui est la Chine...qui sait tout faire.

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