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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 mai 2019 10:08

    L’exemple de l’Egypte devrait faire réfléchir les Algériens. L’oligarchie militaire s’y était effondrée sous la pression de la rue. Quelques intellectuels comme al-Aswany répétaient bien : « la solution, c’est la démocratie », répondant au mot d’ordre des Frères musulmans : « L’islam est la solution », mais ce qui aura succédé au grand printemps de la place Tahrir, ce n’est pas la démocratie, c’est le totalitarisme islamique de Morsi et de ses Frères, dont l’aventure s’est fort heureusement, malgré le soutien du crétin de la Maison Blanche, assez rapidement terminée.

    Retour à la case départ : l’armée, et une dictature assez comparable à celle des années Moubarak : c’est ça ou les Frères, disent ceux qui soutiennent al-Sissi. C’est triste à dire, mais ils n’ont pas tort. al-Sissi, du reste, avait prévenu : il n’y aurait pas de démocratie possible avant une vingtaine d’années. Propos qui me semble encore relativement optimiste !

    Qu’en est-il, en Algérie, de la volonté des jeunes actuellement en révolte contre l’oligarchie militaire, de ratatiner l’idéologie des Frères musulmans qui attendent leur tour ? J’ai posé plusieurs fois la question, ces derniers temps, à des Algériens qui avaient publié ici des articles. Pas de réponse, comme si le problème n’existait pas. Pourtant, il est central : les masses algériennes sont aussi crétinisées que les musulmans français soumis à la dictature idéologique de l’UOIF dont les maîtres à penser sont les terroristes les plus infects que le monde ait connus, au premier rang desquels, pire encore que Hassan al-Banna, un Sayied Qutb inspirateur des entreprises du Califat de Raqqa.

    Il serait peut-être temps, en Algérie comme partout ailleurs, d’essayer d’avoir les yeux en face des trous.



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 mai 2019 21:34

    @Eschyle 49

    Elle est extrêmement choquante, votre histoire. A lire cet article et beaucoup de commentaires, il apparaît clairement qu’un bombardement du type Guernica à la puissance 10 s’imposerait sur toute la province de Teruel pour être au moins certain d’aider ce pauvre malheureux à en finir avec ses souffrance, et exterminer en même temps, ce qui sera vraiment une bonne chose, tous les parfaits salauds qui auront eu la cruauté de le laisser vivre.
    Viva la muerte !



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 mai 2019 16:16

    Si un chien blessé à mort souffre, le laisseriez-vous souffrir sur le bord du chemin à la seule justification qu’il est en vie ou l’abatteriez-vous ?

    ====================================
    @samuel

    Quand les pompiers interviennent après un accident, ils sont témoins de situations de détresse physique ou psychologique souvent horribles, mais il ne tiennent pas compte de la souffrance du blessé contre laquelle, immédiatement, ils ne peuvent pas grand chose. Ils se contentent, ces salauds, de transporter à toute vitesse la victime aux urgences de l’hôpital le plus proche dont il n’est pas du tout sûr qu’elle pourra sortir sans de graves séquelles dont elle souffrira peut-être jusqu’à la fin de ses jours.

    Il serait évidemment tout à fait préférable que les pompiers soient munis d’un gros calibre du genre .357 Magnum pour achever sur place ceux qui souffrent trop et dont les gémissements offrent un spectacle qui, sur le plan de la dignité, laisse trop souvent à désirer.

    Patience ! Ca viendra probablement : en matière de dignité, on n’arrête pas le progrès.



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 mai 2019 10:19

    Cela est et reste une question d’éthique et de société qu’un simple contrat ne peut pas régler.

    =============================================
    @samuel

    Je crains que vous n’ayez pas bien compris la remarque de Spartacus. Ce qu’il incrimine, précisément, dans les contrats dont il parle, c’est qu’ils ne tiennent pas compte de l’éthique et qu’en matière d’assurances on n’ait pas encore compris que la vie n’était pas une possession du même type que les objets qui relèvent de la propriété privée.
    La plupart de ceux qui interviennent ici sur la question de la fin de vie ne l’ont pas compris non plus. Un grand vieillard dont la conscience est un peu altérée ou un grabataire comme Vincent Lambert, pour eux, sont des OBJETS, et non pas des personnes.
    C’est d’autant plus lamentable que nous n’en sommes plus, comme les cartésiens du XVIIIe siècle, à considérer que les animaux seraient de simples objets. Certes, ils ne disposent pas du langage articulé et nous n’avons donc pas accès au contenu de leur conscience, mais ils ont bien, comme nous, leur vision du monde, et pour les plus évolués, une conscience réflexive. Quand on a partagé sa vie avec des animaux, il finit par devenir tout à fait naturel de les considérer non pas comme des objets utiles ou devenus inutiles, mais comme des personnes à part entière.
    Pour les esprits étroits, Vincent Lambert, qui n’aboie même pas, est évidemment moins qu’un chien, et il n’y a donc aucun inconvénient à l’envoyer à la boucherie.



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 mai 2019 10:02

    C’est le cas de la mienne et probablement de la vôtre.

    =================================
    ADDENDUM
    J’ajouterai que nous nous trouvons dans une République dont le Président considère que beaucoup de citoyens qu’on voit circuler dans les lieux publics « ne sont rien ».
    Vincent Lambert n’est peut-être plus grand chose, mais si quelques millions de Français « ne sont rien », je comprends mieux que ceux-là, pour maintenir le peu de « dignité » qu’ils peuvent espérer sauver dans une société qui les méprise ouvertement, soient tentés de considérer que Vincent Lambert est « moins que rien », qu’on peut sans difficulté l’éliminer et que, Dieu merci, eux n’en sont pas encore là.
    Il reste que lorsqu’on aura éliminé tous les « moins que rien » au bas de la hiérarchie des citoyens, c’est ceux qui « ne sont rien » qui ne tarderont pas à être dans le collimateur, s’il n’y sont déjà, sans même s’en être encore rendu compte.

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