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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 18 mai 2019 17:50

    Excellent article d’information, très bien construit, mais que j’ai survolé un peu vite : le sujet, vraiment sordide, ne me passionne pas.

    De toute façon, ce Ramadan étant musulman, il est l’avenir d’une France déjà très islamisée, et on lui accordera forcément un certain nombre de privilèges qu’on ne consentirait pas, par exemple, à un curé libertin et libidineux : on ne va quand même pas tomber dans l’islamophobie !

    Un certain nombre d’assassins qui ont massacré leurs victimes en criant « Allah akbar ! », de la même façon, risquent d’échapper aux Assises. C’est qu’il faut être fou à lier pour se comporter ainsi ! Dans quelques années, quand ils iront mieux, les pauvres, on les autorisera donc, de temps en temps, à sortir de l’hôpital psychiatrique.

    Et puis, on a tort de reprocher à ce Tarik Ramadan de mentir : sa religion le lui permet dès lors que la réputation de l’islam et de son Dieu sont en jeu. On appelle ça la « takiya ». Or, en la circonstance, si ce que ces femmes disent est vrai, ça ne peut pas être vraiment à la gloire de la religion d’amour et de paix.

    L’honnêteté intellectuelle m’oblige quand même à préciser que cela n’est choquant que pour quelqu’un qui, comme moi, n’est pas musulman. Je rappellerai que battre les femmes insoumises, c’est prévu et même recommandé par le Coran (IV,38), tout comme de massacrer son prochain s’il est un mécréant (IX,5).

    Bref, notre justice française se rendra compte assez vite que tout cela était probablement un malentendu et qu’il n’y a pas vraiment de quoi fouetter une épouse.



  • Christian Labrune Christian Labrune 18 mai 2019 15:16

    Il est question, tout au long de cette page d’Internet, de la compassion, de la manière de mourir « dans la dignité », de la souffrance, etc.

    Avant de » mourir dans la dignité », peut-être faudrait-il être capable, déjà, de VIVRE DANS LA DIGNITE, et de ne pas nous offrir le spectacles répugnant de la faiblesse et de la trouille des dégonflés face à l’inévitable.

    Je recopie ci-dessous, en soulignant plusieurs phrases, un extrait d’une très belle page de Servitude et grandeur militaires d’Alfred de Vigny. Le 17 août 1819, la poudrière de Vincennes explose accidentellement. Plusieurs soldats sont déchiquetés. N’importe qui, parmi ceux qui étaient là, aurait pu être victime de l’explosion. Pourtant, rien qui ressemble dans les réactions des survivants aux niaiserais qu’on peut lire ici à propos de la souffrance et de la pitié. Cette page donne une excellente idée de ce que peut être une vie digne dans un monde où la souffrance et la mort sont le sort commun.

    On trouvera le chapitre entier à cette page :

    https://fr.wikisource.org/wiki/Servitude_et_grandeur_militaires/II/13

    Comme la pierre d’une fronde, sa tête avait été lancée avec sa poitrine sur le mur de l’église, à soixante pieds d’élévation, et la poudre dont ce buste effroyable était imprégné avait gravé sa forme en traits durables sur la muraille au pied de laquelle il retomba. Nous le contemplâmes longtemps, et personne ne dit un mot de commisération. Peut-être parce que le plaindre eût été se prendre soi-même en pitié pour avoir couru le même danger. Le chirurgien-major, seulement, dit : « Il n’a pas souffert. »

    Pour moi, il me semble qu’il souffrait encore ; mais, malgré cela, moitié par une curiosité invincible, moitié par bravade d’officier, je le dessinai.

    Les choses se passent ainsi dans une société d’où la sensibilité est retranchée. C’est un des côtés mauvais du métier des armes que cet excès de force où l’on prétend toujours guinder son caractère. On s’exerce à durcir son cœur, on se cache de la pitié, de peur qu’elle ne ressemble à la faiblesse  ; on se fait effort pour dissimuler le sentiment divin de la compassion, sans songer qu’à force d’enfermer un bon sentiment on étouffe le prisonnier.

    Je me sentis en ce moment très haïssable. Mon jeune cœur était gonflé du chagrin de cette mort, et je continuai pourtant avec une tranquillité obstinée le dessin que j’ai conservé, et qui tantôt m’a donné des remords de l’avoir fait, tantôt m’a rappelé le récit que je viens d’écrire et la vie modeste de ce brave soldat.

    Cette noble tête n’était plus qu’un objet d’horreur, une sorte de tête de Méduse ; sa couleur était celle du marbre noir ; les cheveux hérissés, les sourcils relevés vers le haut du front, les yeux fermés, la bouche béante comme jetant un cri. On voyait, sculptée sur ce buste noir, l’épouvante des flammes subitement sorties de terre. On sentait qu’il avait eu le temps de cet effroi aussi rapide que la poudre, et peut-être le temps d’une incalculable souffrance.



  • Christian Labrune Christian Labrune 18 mai 2019 14:16

    J’ose espérer que ce pauvre Vincent est déjà « mort », et qu’il n’a aucun moment de lucidité.

    ====================================
    @Markus

    Après avoir lu votre propos, je me dis que vous n’êtes guère mieux loti que le malheureux Vincent, et je ne peux donc que vous souhaiter la même chose.
    Pour ce qui concerne « la »lucidité", vous repasserez !



  • Christian Labrune Christian Labrune 18 mai 2019 13:57

    Et si Vincent souffrait le martyr sans pouvoir le montrer ?

    =====================================
    @Waspasien

    C’est très bien, ce souci de ce que les autres peuvent ressentir, encore que la plupart des moralistes qui se sont penchés sur la question de la compassion (je pense à La Rochefoucauld ou Alfred de Vigny) aient très bien fait apparaître que la pitié qu’on éprouve pour autrui n’est le plus souvent qu’un misérable attendrissement sur soi-même.

    Il reste que ceux qui ont un minimum de culture philosophique « souffrent le martyr » à lire tant d’inepties sur cette page. J’en suis là, et apparemment, je ne suis pas le seul. Dieu merci, je peux encore « le montrer », et c’est ce que je fais.

    N’y aurait-il pas un moyen d’éviter d’infliger à autrui une pareille souffrance ? Vous allez me dire qu’on pourrait nous euthanasier, mais je n’y tiens pas du tout. Puisque beaucoup sont partisans de cette solution radicale, ne pourraient-ils pas s’organiser en association et se trucider entre eux, pour leur plus grand et définitif bonheur... et le nôtre ?

    Cela nous épargnerait le spectacle répugnant qui nous est offert ici. Quand les intestins se relâchent dans le plumard d’un grabataire, c’est horrible et puant, mais quand c’est le cerveau, sur AgoraVox, ce qui en sort est bien pire. Vous n’auriez donc aucune pudeur ?



  • Christian Labrune Christian Labrune 18 mai 2019 13:25

    Les décisions d’euthanasier les mauvais élèves auraient été prises par le conseil de classe ?

    =============================
    @Michel DROUET

    Il faudrait légiférer à l’Assemblée et définir une procédure faisant intervenir, sur proposition du conseil de classe, le médecin scolaire, les associations de parents d’élèves et enfin le Recteur d’Académie puis le Garde des Sots (sic.).
    De toute façon, dans une France de plus en plus maréchaliste et alliée indéfectible de l’islamo-nazisme iranien, il ne faudra pas longtemps avant qu’on en arrive là. On y est presque.

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