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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 février 2019 11:18

    @Julien S

    Vous auriez parlé du « gros bon sens de Christian Labrune », ça n’aurait pas été bien flatteur, mais au demeurant plus juste. Il n’y a pas la moindre « subtilité » dans ce que j’écris, j’essaie de m’en tenir le plus possible à la réalité des faits.



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 février 2019 11:10

    Le combat idéologique doit être mené à la source.

    =================================
    @Jonas
    Je suis bien d’accord, et je ne disais pas autre chose lorsque je préconisais que tout organe de diffusion soit directement responsable de ce qu’il publie. On n’imagine pas le rédacteur en chef d’un journal classique à qui on reprocherait la publication d’un article crapuleux dire comme Valls à l’Assemblée : je n’étais pas du tout au courant. Le même principe doit s’appliquer à l’Internet.
    Dans l’hypothèse où l’état ferait le boulot qu’il a depuis longtemps cessé de faire en France, c’est le directeur de publication qui serait incriminé, et plus sévèrement même que l’auteur d’un article infâme, 

    L’article que nous commentons dit à peu près (je n’ai pas le titre sous les yeux) que la lutte contre l’antisémitisme doit être « l’affaire de tous ». Sur AgoraVox, elle devrait être l’affaire des rédacteurs qui ont accès à la liste de modération. Sauf que la plupart sont complices et que ce site commence à ressembler à celui de Soral. J’y ai vu des « articles » qui étaient de simples traductions à visée propagandiste, et sans le moindre commentaire, de discours de Nasrallah, le chef de la plus criminelle des mafias terroristes sévissant actuellement sur la planète. Ils étaient plébiscités par ceux qui avaient voté, et il aura fallu que j’écrive à la Rédaction d’AgoraVox pour qu’ils disparaissent de la liste. Je ne pense pas qu’on soit très nombreux à veiller à ces sortes de choses : la plupart des rédacteurs, sur ce site, désirent être publiés, et se soucient du reste comme de l’an quarante.
    La pseudo-démocratie du « journalisme citoyen » travaille ici contre nos principes. C’est ce fonctionnement pervers que décrit très bien Marcel Gauchet dans La démocratie contre elle-même. Les modes de fonctionnement plus efficaces que vous donnez en exemple concernent des états qui sont ce qu’on appelle désormais des démocratures délibérément liberticides, et cela me paraît un peu contradictoire avec votre exigence libertaire d’une totale liberté d’expression.
    J’ai toujours été hostile, avec beaucoup d’historiens, à la loi Gayssot qui prétend donner aux magistrats, en matière d’histoire, une compétence qu’ils n’ont évidemment pas. Ce dispositif juridique aura eu d’énormes effets pervers dont nous sommes aujourd’hui les témoins puisque de toute façon, elle a toujours été bafouée, assurant surtout la publicité des thèses les plus crapuleuses au lieu de les laisser tomber dans les poubelles de l’indifférence et de l’oubli.
    Le problème n’est pas du tout simple !



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 février 2019 09:17

    Mais la personne qui tient un propos raciste, antisémite, pornographique ou haineux doit être jugée devant un tribunal, et non par une institution gouvernementale, qui n’a pas les compétences juridiques requises, et surtout qui interdit à l’accusé de se défendre, en supprimant son propos par un simple clic de souris !

    ===================================
    @Jonas
    Soyons réaliste : regardez seulement les articles publiés sur AgoraVox depuis une semaine sur la question de l’antisionisme. Vous trouverez, outre des articles crapuleux, des centaines de messages provenant d’une trentaine d’intervenants, qui justifieraient des poursuites immédiates devant les tribunaux. Or, la justice n’a pas de moyens, elle est débordée. Supprimer ces conneries haineuses à la source, ce serait obliger leurs auteurs, sans les sanctionner immédiatement, à réfléchir un peu. Quelques suppressions pourraient bien être arbitraires, certes, mais ces sortes de dysfonctionnements, étant donné la masse de ce qui se publie, resteraient négligeables.
    Les réseaux sociaux, actuellement pratiquent une censure imbécile sans que beaucoup s’en émeuvent. Vous avez dû entendre parler comme moi de gens censurés ou éjectés de Facebook parce qu’ils avaient renvoyé à telle oeuvre d’art qui montrait des nudités. C’est de l’imbécillité pure. La publicité hitlérienne d’un Soral, en revanche, qui prend très bien sur les imbéciles, c’est d’une tout autre conséquence.. 

    J’ajouterai pour résumer que la politique carrément anti-israélienne du gouvernement, que j’évoquais plus haut, le laisser-dire qui est la règle sur l’Internet en matière d’antismétisme, s’ajoutant à l’anonymat, tout cela, pour l’imbécile ordinaire, a valeur d’encouragement. 



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 février 2019 23:42

    @Jonas

    A bien des égards, nous avons écrit à peu près en même temps la même chose.
    Je ne suis cependant pas d’accord avec votre propos concenrant une entreprise « liberticide » de contrôle des media.

    Lisez la charte d’AgoraVox :
    "Les commentaires racistes, antisémites, pornographiques, négationnistes, sexistes ou en général contraires à la loi ne sont pas acceptés

    « 

    Ca me paraît bien normal, non ? Et que dans une République, on n’autorise pas la publication de textes rédigés par des pousse-au-crime ou des imbéciles. Dans n’importe quelle maison d’édition, il y a un comité de lecture. SI vous envoyez un roman chez Gallimard et qu’il est simplement nul sur le plan littéraire, vous ne serez pas édité. Est-ce une censure, et appellerez-vous ça une mesure »liberticide«  ?

    J’évoquais la charte d’AgoraVox. Rien à redire sur le principe. Sauf que des articles pourris (j’ai tout un dossier où je les classe) il s’en publie constamment parce qu’ils ont été plébiscités, au niveau de la liste de modération, par d’autres abrutis rongés par les mêmes passions tristes. Il va de soi qu’ils n’auraient jamais dû figurer dans la liste de modération, et être filtrés en amont. L’antisémitisme, par exemple, on l’a assez dit, n’est pas une »opinion", c’est un appel au meurtre. Dans un journal, il y a un comité de rédaction. Le connard incompétent ou qui s’efforce de faire passer des propositions criminelle, on ne le publie pas. Mieux : on le vire.



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 février 2019 23:23

    @Sylvain Rakotoarison.

    Il n’y a pas un seul principe rappelé dans votre article auquel un honnête homme et un homme de bonne volonté ne doive souscrire.

    Cela dit, quand vous faites semblant de ne pas voir la duplicité de ceux qui gouvernent la France depuis pas mal d’années, vous ôtez toute pertinence à votre déconstruction de l’antisémitisme actuel en France.

    La politique du Quai d’Orsay est une politique délibérément antisémite. Les diplomates de ce sinistre ministère où trouvèrent refuge après la Libération beaucoup de vichyssois échappés à l’épuration ; ont repris du poil de la bête après le discours très emberlificoté de De Gaulle sur le peuple « sûr de lui et dominateur ». Cet antisémitisme, depuis quelques années, n’aura cessé de s’aggraver.

    Qui ne se souvient de Manuel Valls obligé de manger son chapeau devant la représentation nationale après une question du député Meyer Habib relative à une résolution négationniste de l’UNESCO signée par le quai d’Orsay. Le pauvre ! Il ne savait pas ! Le premier ministre de la France ne savait pas ce qui pouvait se décider au quai d’Orsay ! Au chef du gouvernement, probablement, on ne demandait jamais son avis ! Qui l’eût pu croire ?. Bref, on nous aura pris cette fois-là, qui n’était pas la première, pour des cons.

    S’il fallait que j’évoque toutes les forfaitures de cette sorte qui me viennent immédiatement à l’esprit, mon intervention ferait plus de dix pages.

    Mais vous montrez j’espère que c’est innocemment !- une photo atroce qui me rappelle telle phrase de Chateaubriand voyant apparaître « le vice appuyé sur le bras du crime ». Je veux parler de Macron au Mémorial de la shoah encadré par le vétérinaire du Sénat le pauvre homme ! - et son ami Ferrand.

    Le même Ferrand que j’avais vu quelques heures plus tôt à l’Assemblée, en regardant la Chaîne Parlementaire, distribuer les temps de parole à des députés horrifiés par ce qui venait de se passer. Mais quand ils s’adressaient au Président de l’Assemblée, ils ne pouvaient pas ignorer que c’est l’antisionisme même qu’ils avaient devant eux, présidant à la tribune. Aucun député sinon Meyer Habib, insulté comme d’habitude par l’extrême gauche et qui le fit à mots couverts, n’eut assez de courage pour lui rappeler qu’avant d’être promu au perchoir grâce à son ami Macron, et avant les présidentielles, il avait multiplié les pressions à l’Assemblée pour qu’on autorisât les manifestations du BDS en France. Certains articles rapportent même qu’il aurait utilisé sa réserve parlementaire pour financer des associations proches elles aussi du terrorisme palestinien le plus meurtrier.

    Corbyn en Angleterre, Ferrand en France, c’est à peu près kif-kif.Etre l’ami d’un pareil personnage, ça discrédite radicalement Macron, ça en fait le plus abominable des Tartufe.

    Et je n’ai pas parlé des déclarations infectes de Macron après le transfert de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem qu’il n’aura même pas eu le courage minimal d’approuver.

    Je n’ai pas évoque non plus la remise d’un prix, il y a quelques semaines, au Ministère de la Justice, à des associations palestiniennes noyautées par d’anciens terroristes palestiniens. Courageusement, la Garde des Sceaux, ce jour-là, trouva préférable de se faire remplacer.

    Vous noterez que Kalifat dans son discours au CRIF a fait le procès de l’entreprise extrêmement dangereuse du régime iranien. Réponse de Macron ? Pas de réponse. Un commentateur, le journaliste Christian Mallard a fait observer que le discours de Kalifat sur l’Iran, c’est celui qu’on eût attendu d’un Président de la République française. Mais je suppose que Pétain interrogé à la fin de juillet 40 sur un danger qui n’était plus à prouver, de l’Allemagne nazie, se fût pareillement dispensé de répondre.

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