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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • easy easy 29 juillet 2009 13:14

    A Aziz,
    Qu’est-ce que j’en sais ?
    Rien Aziz
    Je ne sais pas du tout si oui ou non, vous avez porté le cartable de cet unijambiste, je ne sais pas du tout si oui ou non vous avez donné vos plaquettes, votre moelle osseuse.
    C’est bien pour cela que je pose la question. Car c’est bien une questions que je pose n’est-ce pas ? Alors pourquoi essayez-vous de faire croire que c’est une affirmation ? Paranoïa victimiste ?

    Par contre, ce que je sais d’expérience, c’est qu’il y a 200 fois plus de donneurs de leçons que de donneurs de moelle osseuse



  • easy easy 29 juillet 2009 13:00

    Moi je trouve très logique le principe des taxes à la consommation (taxer un obèse ou primer un obèse qui fait un régime revient au même)

    Ce que j’aurais préféré c’est que ces diverses taxes à la consommation, (TVA incluse) soient graduées (dans certains cas c’est facile à mettre en place, dans d’autres c’est acrobatique)
    J’aurais bien vu que les trois premiers litres d’essence ou les trois premiers kilowatt ou les 3 premiers mètres cubes d’eau (par période donnée) ne soient pas taxés, que les 5 unités suivantes soient taxées à 10%, que les unités suivantes soient taxées à 20% etc.
    Ainsi, la personne qui consommera à minima ne subira aucune taxe pendant que ceux qui ont des piscines chauffées paieront un max



  • easy easy 29 juillet 2009 11:23

    Merci pour ce rappel et ses infos,

    Dans cette affaire, les responsables ont donc été dédouanés.

    Imaginons que Badinter n’ait pas joué de pression, imaginons que le procès se soit tenu en toute équité.

    Et bien si à l’époque, l’entreprise n’était pas soumise à plus de contrôles que ça, je ne vois pas bien comment elle aurait pu être condamnée fortement. Elle aurait respecté la règlementation et ses connaissances des risques jusqu’au jour où patatras, un accident de manipulation a créé l’invisible danger.

    Un minimum de bon sens aurait indiqué aux opérateurs de l’usine que ce produit étant toxique, il convient soit d’augmener les procédures de son utilisation soit de le marquer par une colorisation aposématique (Dans le dentifrice Signal, il était bien coloré en rouge)
    Mais au bon sens, nul n’est renu n’est-ce pas maître ?
    Dans le « meilleur » des cas, l’entreprise n’aurait pas été lourdement condamnée car il n’y avait là aucune malice de la part de personne et ça aurait pu être comparé au fait que pendant longtemps, des fabricants de voiture les ont vendues sans ceinture ; que les fabricants d’eau de Javel ou de mort aux rats livraient leurs produitsdans des emballages faciles à ouvrir, etc.

    Bien qu’il y ait eu mort d’anges, on est tout de même aux antipodes du cas de ces fabricants de lait en poudre qui l’ont chargé en mélamine pour gagner plus de pognon.


    Ce que je veux dire, c’est que nous devons tous sortir de notre déni massif. Nous ne cessons de nous vouloir innocents ou victimes (ce qui est quasiment synonyme n’est-ce pas maître) alors que nous grenouillons à la Table de Jeu, alors que nous maraudons au casino de la vie industrielle.
    Un coup trop contents de pouvoir acheter une montre bourrée de technologie pour seulement 10€, un coup victimes d’un accident industriel ?
    Un coup trop contents d’encaisser des dividendes d’actions, un coup victmes d’un Perrier frelaté ?
    Un coup trop contents de faire Paris Athènes pour seulement 100 balles, un coup victimes d’un crash ?

    Tout est à risque tendu, tout est limite, aussi bien quand on croise une autre voiture sur une nationale en pleine nuit sous la pluie, que quand on s’injecte un vaccin bourré d’oxyde d’aluminium. 

    Ne vous en déplaise, mères et pères de ces beaux enfants, vous ne les couvrez pas et de très loin. Vous leur faites courir des risques importants. Tout ce que vous ramenez dans vos paniers si cher payés mais encore pas assez cher pour dépasser le niveau Limite, leur fait courir des risques.
    Nous jouons avec les limites mais nous affichons « Ne t’inquiète pas chérie, papa est là » parce que nous sommes responsables, de nos amis, de nos parents, de nos conjoints, de nos enfants surtout (Et ils sont tellement prompts à nous traîner en Justice qu’on ne s’en méfie jamais assez) Nous dénions jouer avec les limites parce que nous risquon d’être accusés de légèreté. Nous sommes de mauvaise foi


    Nous apparaissons schizophrènes, surtout si l’on choisit malicieusement de confronter des cas extrêmes
    Ainsi, face à ce cas Morhange où des parents râlent contre le manque de prudence de l’usine, j’ai envie de poser le cas de cette mère journaliste qui râle parce que sa fille ayant été touchée par le virus pendant son séjour à Pékin, a été confinée 8 jours en hôpital. (Cf plat du jour de Bernrad Dugué sur Agora Vox)



  • easy easy 29 juillet 2009 00:20

    A Cyrcé
    Et bien soit, posons cette hypothèse que ces employés ignoraient qui étaient ou ce que faisaient vraiment leurs maîtres.
    Nous vivons une époque où la science est sur le grill, où les entreprise chimiques sont à la question et voilà que 100% des salariés d’une entreprise de chimie s’est contentée de ne considérer que ce qui sort de leur petite casserole, sans jamais enquêter sur ce qui se passe au niveau supérieur. Bin, je ne leur tire pas mon chapeau.



    Il est temps qu’ils sachent.
    Il est bon qu’ils l’apprenent enfin qu’ils ont vendu leur âme au diable en jouant les autruches (De même que les gens floués par Maddof ont bien joué les autruches et sont mal placés pour appeler à la compassion)
    Ahhh que c’est bon de se faire passer pour une victime alors qu’on a participé à une saloperie !

    Tu te rends compte qu’il y a des gens externes à ces entreprises qui parviennent à savoir alors que 100% des personnels d’une usine ignore ! Fait l’autruche oui !

    Car enfin, il est clair que tous les salariés des entreprises critiquables ont accès aux mêmes documents que tout le monde. Ils savent que leur entreprise pue le soufre mais ...ils préfèrent ignorer afin de pouvoir dire, le cas échéant « Ouinnn, je ne savais pas ! »

    Comment j’ai envie de leur botter le cul à ces faux-culs.

    De toutes manières nous sommes de plus en plus acculés à la schizophrénie (Je parle ici de la schizophrénie au sens vulgaire pas de la vraie maladie)
    Les actifs, les chercheurs d’emploi sont partagés entre leur besoin d’argent donc de job (quasiment à tout prix) et ce qu’ils savent des problèmes écologiques qui voudraient qu’ils restent au lit, voire qu’ils n’existent pas ou plus 

    Lequel d’entre nous a le sentiment que la Planète a envie ou besoin de lui ?
    Cette question a quelque chose de fou car elle pose pour acquis que la Planète nous voit et pense mais ça y est, ce concept d’une planète pensante et souffrante est passé et adopté par beaucoup d’entre nous.
    Alors, qui se sent aimé par la Terre (ou par extension, par les Autres) ?



  • easy easy 28 juillet 2009 22:41


    On a beau savoir le principe de la prestidigitation du marketing d’image, on est sur le cul devant une telle mascarade. Je parle de cette vidéo au long de laquelle on ne voit rien de ce que fout cette entreprise mais où l’on est abreuvé d’images rassurantes sur des tas de choses qui n’ont aucun rapport avec cette entreprise sinon négatifs.
    Les rizières ont été filmés en Chine semble-t-il ; Mais à peu de chose près, elles auraient pu être tournées au Vietnam où sévit l’agent orange produit par Dow et Monsanto
    Et la musique ! Whaiiiiii, c’est de la musique de babas cools à la Easy rider qui ont choisi de tourner le dos à la productivité.
    Ils récupèrent absolument tout ce qu’il y a de sain et qu’ils zennkulent en toute conscience.

    OK donc avec l’auteur pour l’introduction

    Mais je décroche quand il en vient aux histoires de licenciements.

    J’ai créé ma propre petite entreprise de mobilier et il m’est arrivé de vendre à des salauds (J’ai par exemple installé des paillasses dans les salles de vivisection d’Aventis à Ivry sur Seine et là j’ai cessé, c’en était trop)
    Mais il ne me serait jamais venu à lidée d’en appeler à la compassion si un de ces salauds m’avait planté (Ca s’est produit et je me suis assis sur l’ardoise. Bien fait pour moi)

    Comment peut-on bosser pendant des années pour des fabricants de mines, pour des fabricants de produits polluants, pour des dictateurs et appeler à la compassion quand on en est licencié ?


    Aucune de ces entreprises salopes ne pourrait fonctionner sans employés ni fournisseurs. Tous complices donc.
    Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes

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