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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Derniers commentaires



  • easy easy 29 juin 2009 12:25

    Désolé !
    Mon post a bogué. Je cherchais à dire qu’il ne fallait pas utiliser le terme spéculer pour un oui ou pour un non. Parler de spéculation au sujet de placements en livret A ou de souscription à un emprunt où tout est écrit d’avance, fait perdre son sens fort à ce mot.



  • easy easy 29 juin 2009 12:19

    Enfin, les souscripteurs étant avant tout spéculateurs, la question du lien avec les émetteurs d’emprunts reste à prouver. Il s’agit avant tout d’effet d’aubaine.

    Beaucoup de nos actions relèvent de spéculation mais si l’on veut laisser à ce mot un sens fort, il vaut mieux le réserver pour qualifier l’acte consistant à acheter 200 places de concert de Johnny Hallyday ou 200 actions Eurotunnel
    Souscrire un emprunt ou placer son argent sur un livret A c’est une action sans plus ou moins value, où tout est prévu d’avance. C’est à peu près ce qu’on peut faire de moins spéculatif avec ses économies.



  • easy easy 9 avril 2009 01:36

    Ouille !
    Ce n’est pas la première fois que je constate cela sur Agora Vox : un auteur confond les billions US (qui ne sont que des milliards de chez nous) et les billions de chez nous (qui sont des millions de millions)

    « Afin d’en souligner l’ampleur, notons qu’un billion s’écrit 1 000 000 000 000 » nous dit R.L.
    Ca c’est vrai quand le billion est « né » ou « calculé » ou « édité » en France
    Mais c’est mille fois faux lorsque le billion est « né » ou calculé« ou »édité« aux USA comme c’est très probablement le cas ici.

    Heureusement qu’ici nous ne construisons pas des avions, des navires ou des ordinateurs !
    Heureusement qu’ici nous ne faisons que parler !
    Heureusement qu’il n’y a que les Agoranautes pour prendre ce qui se dit ici au sérieux !

    Se lancer dans un article d’économie mondiale, argumenter de chiffres et se planter d’un facteur 1000 sans que personne ne s’en rende compte, prouve que nous racontons n’importe quoi, que nous nous astiquons la casserole qui nous sert de cervelle avec n’importe quelle image, pourvu qu’elle soit impressionante ou que nous ne sommes qu’une bande d’ivrognes se donnant du  »cher docteurentout« 



    Cela avoué, cette crise de plus, aura permis de révéler ce bug dormant de plus (en tous cas aux yeux de quelques uns) 
    Comment se fait-il que nous ne nous soyons pas encore mis d’accord de chaque côté de l’Atlantique pour régler nos vocabulaires afin d’éviter cette erreur aussi énorme qu’inévitable que j’aurais vue au moins 8 fois dans toutes sortes de magazines depuis LA crise ?

    Comment se fait-il que les véritables savants qui connaissent bien ce »faux-ami" et en évitent tous les jours le danger dans leurs applications, n’aient pas encore pensé à sensibiliser les Maîtres du Monde pour qu’ils décident autour d’un verre d’une normalisation de ce putain de billion, véritable piège à touristes ?






  • easy easy 24 mars 2009 21:40

    "En mourant, on ne se libère pas ; la liberté, le repos, sont des concepts pour l’esprit et la chair, pas pour la chose que l’on devient"


    Ne commettons pas l’erreur qui consiste à confondre la pensée, le raisonnement des survivants avec celle du suicidé, du mort.
    C’est en tant que personne encore vivante, à une seconde d’appuyer sur la détente, que différents concepts dont ceux de la Liberté ou du Repos, ont un sens. Passée cette ultime seconde, rien, il n’y a plus rien, plus de pensée, plus de raisonnement, plus de sens pour le suicidé.

    Alors les survivants, s’ils veulent tenter d’imaginer la pensée du suicidée, doivent s’en tenir à ses dernières secondes de vie et ne jamais aller au-delà. 

    Evidemment que pendant leurs dernières secondes, certains suicidés voyaient quelque chose de l’ordre de la Liberté ou du Repos. Mais c’est la liberté d’aller vers le néant (ou le ciel pour certains) de passer de vie tourmentée à trépas où plus rien ne se passe qui les intéresse. 
    Evidemment qu’il n’y a pas de liberté ou de repos pour le suicidé mais il y a bien Liberté et Repos pour le suicidaire.

    La rhétorique du vivant s’arrête au seuil de la mort. C’est si vrai qu’aucune prose ne peut retenir un suicidaire décidé (Alors qu’un geste minime venant de La Bonne Personne peut tout inverser)

    Tout le bla-bla qui est fait autour d’un suicide ne vaut que pour les survivants (qui n’ont pas encore pris la décision fatale et qui cherchent encore à consolider leur libido vitalis ou conatus)



    Cela dit, pour essayer de trouver La Formule, je dirais qu’on se suicide toujours par destruction du Moi.
    Destruction et Construction ou Consolidation du Moi dépendant toujours de ce qui se passe entre soi et des Autres.

    La chose la plus mal comprises par les survivants c’est que beaucoup d’entre eux ont l’impression d’avoir participé positivement à la consolidation du Moi du suicidé et leurs impressions sont justes. Or, pour le suicidaire, c’est très souvent de la part d’une certaine Personne qu’il espère le geste positif, le geste consolateur et consolidateur. 
    Mille personnes entourent plutôt positivement un suicidaire mais il va tout de même finir par se tuer parce qu’il manque La Bonne Personne à l’appel.

    Faut-il déplorer ce problème de focalisation à la "Un seul être vous manque et tout est dépeuplé" ?
    Le déplorer reviendrait à prôner l’interchangeabilité. 
    Exit l’Amour en ce cas.

    Et là, malgré les apparences, je ne suis pas en train de ne parler que des dépits amoureux. Toutes les formes de souffrances, hormis celles liées uniquement à la maladie, peuvent être consolées par La Bonne Personne (Cas de ruine, de faillite, de déshonneur, de torture, d’emprisonnement compris).


     
     



  • easy easy 17 mars 2009 12:53

    Quoi ?
    Tu es en train de nous affirmer que "quelqu’un" a modifié ton texte original en déplaçant une de ses phrases ?

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