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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • easy easy 9 novembre 2008 12:15

    Quoi ????
    La généalogie comme argumentaire qualitatif ?

    Ah, C’était à prendre au 9ème degré ?
    Ouffff ! bin j’aime mieux ça !

    J’te jure, un moment j’ai eu très peur, je croyais que t’étais sérieux



  • easy easy 9 novembre 2008 02:00
     
    Bon alors puisque c’est un essai sur base participative, je participe
     
     
    Je vais essayer de te proposer des concepts moins rebattus 

    Il y a le sentiment d’exclusion (qui peut être fantasmatique et que nous avons tous connu à divers degrés, sur diverses périodes)
    Et il y a l’exclusion réelle, concrète (qui peut porter sur divers plans et que nous avons tous connue à divers degrés, sur diverses périodes)
     
    Ici, comme tu sembles parler des clodos, dont la misère la plus frappante semble être matérielle et sociale, autant préciser que très peu d’entre nous, ici, ont eu la malchance de vivre leur sort 
     
    Voilà déjà pour dire que nous savons à peu près tous ce que sont le sentiment d’exclusion et l’exclusion réelle.
     
    Or, la plupart d’entre nous ont réussi à s’extirper seuls de leurs diverses exclusions (amoureuse, amicales, scolaires, sportives, artistiques, financières, ..)
     
    Sauf donc à avoir gardé en mémoire les coups de mains qui nous ont bien aidés (être pris en stop par une nuit pluvieuse, avoir reçu un don de sang) auquel cas nous serions portés par une générosité-gratitude, nous en retirons l’idée que c’est une difficulté qu’il faut surmonter seul. Ce qui serait à l’origine de notre regard si souvent dur envers ceux qui sont tout au fond et qui nous semblent ne rien faire pour en sortir.
     
    D’autre part, on ne peut pas aborder la déchéance matérielle et sociale sans parler de la déchéance morale qui la précède très souvent pour ne pas dire toujours.
    Il y a beaucoup plus de gens pauvres que de riches. Alors on voit beaucoup plus de dépressifs pauvres (d’autant que la pauvreté est en soi un facteur déprimant dans un contexte fondamentalement compétitif) Mais si un riche a son moral brisé ou amer ou aigri, il sera exclu de bien des cercles (Exemple Papé dans Manon des sources ou tatie Danièle)
     
    Un clodo c’est essentiellement un échoué de la compétition et il le sait. Généralement il ne s’estime donc pas, en tous cas pas en tant que compétiteur et ne peut plus s’estimer qu’en tant qu’échoué (ce qui n’est pas rien) Car il y a pire, il y a ceux qui sont condamnés, par la société, par les leurs, pour avoir fauté.
    Les clodos ressentent donc divers sentiments d’échec ou d’indignité préalablement à leur arrivée sous les ponts et ils savent très bien quels sentiments nous habitent puisqu’ils les ont partagés. Ils savent très bien que nous leur donnons un bol de soupe mais certainement pas la main de notre fille. Quelques pièces mais jamais notre fortune. Ils savent ce que nous faisons ici, sur ce sujet.
     
     
    En nous sourd l’odieuse satisfaction de n’être pas parmi les plus échoués. De là à considérer que nous avons quelque part besoin de voir ces échoué pour nous rassurer, il n’y a qu’un pas et je pense qu’il faut le franchir au moins en cet essai, nonobstant le scandale que ça peut produire.
     
    Nous sommes, comme toujours, en plein paradoxe (heureusement)
    D’un côté, loi de la compétition oblige, nous nous efforçons de gagner notre place au soleil depuis nos bancs d’école et nous démontrons visiblement, en tous cas à nos plus proches, nos performances ;
    De l’autre, à cause de la peur de crever comme un chien, nous cultivons aussi un certain concept d’entraide, sait-on jamais. Au final il s’agit de jouer des coudes sans que ça se voie. Nous avons donc développé une extraordinaire intelligence en ce sens et nos politesses ne sont que des astuces pour paraître agneau alors que nous sommes loups.
     
    Nous aurions peut-être préféré être agneaux mais le système ordinaire nous oblige* à concourir et à laisser des échoués derrière nous. Du coup, le jeu consiste à éviter tant que possible de planter complètement des gens en particulier mais de planter un peu le maximum d’inconnus. En fait ça revient à écraser des gens sans se salir les souliers voire par procuration.
     
    Le sentiment de culpabilité que nous ressentons devant les clodos ne proviendrait pas du seul constat d’injustice "Il n’a rien pendant que j’ai tout," il proviendrait du fait que ce clochard fait partie de ceux que nous avons éliminés de nos coudes. Nous nous sentons responsables de sa ruine.

    Détail qui prouve notre déni de responsabilité personnelle, nous choisissons de parler de ce sujet en évitant le "Je"
    Par exemple tu as écrit :
    "C’est parce qu’on lui refuse la seule chose qu’un être humain attende vraiment de son semblable : être respecté, considéré, reconnu, désiré, aimé.
    Comme une personne normale et incluse"

    En cette phrase qui résume le plus le défaut de moralité, tu aurais pu utiliser comme ailleurs le "Nous" qui en appelle à tous, toi compris, ou le "Je" qui te mettait alors singulièrement en examen, mais tu as préféré le "On" qui te désimplique à peine moins que le "Vous" .






    Il me semble qu’il faut être allé à ces niveaux de lucidité terrifiante sur soi pour passer à l’entraide concrète avec le cœur plus léger.



    * C’est à voir, mais c’est encore un autre débat




    Je te cite

    "Le revenu minimum d’insertion et le revenu de solidarité active sont des avancées, que beaucoup de pays au monde nous envient. Mais comment ne voit-on pas l’offense qui est faite, à ceux que le sort et nos égoïsmes ont jetés sur les bas-côtés de la route, de conditionner notre aide, alors que nous la leur devons impérativement ?"

    J’approuve


     
    "Cette sollicitude administrativement organisée sous-tend une méfiance face à d’éventuels profiteurs ou paresseux. Certes, il existe des escrocs, et il faut veiller à les démasquer. Mais plutôt que d’instituer la méfiance et d’accorder l’aide à ceux qui prouvent leur bonne volonté, ne serait-il pas plus humain de faire confiance, d’aider inconditionnellement tous ceux qui en ont réel besoin et de pister ceux qui voudraient détourner le système à leur profit  ?"

    Là je ne pige pas. J’ai l’impression que tu n’as pas réussi à nous montrer deux alternatives bien distinctes



    "Sans nier la nécessaire disparité des revenus et des biens en fonction des efforts et des talents de chacun, est-il normal que certains puissent manger chaque jour comme dix mille personnes alors que d’autres, dans le même temps, doivent honteusement quémander de quoi personnellement survivre ?"

    Tu sais, si chacun voulait vraiment éviter de tels excès, ce serait très simple, on nationaliserait toute entreprise de plus de 20 employés pour retenter l’aventure soviétique. Hélas dans une entreprise nationale, personne n’est motivé pour risquer alors elle végète, elle ne tombe jamais mais ne performe jamais non plus. Mah, c’est p’tet à réétudier tout de même.


     
    "Notre devise n’est pourtant pas « Liberté, égalité, Solidarité », mais « Liberté, égalité, Fraternité ».
    Il me semble que "fraternité" a posé problème. Il suffit de ne voir en ce mot que son acception familiale pour rater complètement l’objectif qui lui était dévolu. "J’aime mon frère, ma soeur, ça suffit, les autres je men fous"
    D’autre part, la fraternité est un sentiment d’amour.

    Alors que la solidarité comporte une notion de responsabilité (nous sommes solidaires même dans l’échec, même devant le danger, même devant les accusations etc) Il y a même une dimension politique dans ce mot. Et là, il n’y a pas de restriction familiale possible 
    Solidarnosc était de la bonne veine il me semble.

    Le problème de "solidarité" c’est que son esprit se heurte au problème des condamnés par la Justice. On a toujours voulu exclure les condamnés pour les faire souffrir d’exclusion au maximum. Alors on a tout fait pour que jamais ils ne puissent bénéficier d’une quelconque solidarité. D’où la préférence pour "fraternité" qui permet à chacun de jouer de son périmètre à géométrie variable







     


  • easy easy 8 novembre 2008 21:56

    On focalise sur les traders qui représentent 1/10000 de la population mâle, au motif qu’en ce moment elle fat pas mal parler d’elle, et on en tire les conclusions générales qu’on veut.

    Sciencitude de comptoir



    "Il faut croire que les mâles humains n’ont guère progressé par rapport à leurs homologues singes"

    Et cela parce que 

     "Quand les mâles chimpanzés s’aventurent dans de nouveaux territoires dans l’espoir d’y trouver des arbres à baie en profusion, les mâles humains s’aventurent dans les produits dérivés dans l’espoir de faire fructifier leurs fonds… Quand les mâles chimpanzés testent leur adresse, leur courage en simulant des combats avec des branches, des pierres, dans l’espoir de gagner en popularité et en puissance, nos mâles humains s’affrontent sur le terrain financier : c’est à celui qui réalisera le plus gros coup."

    Soit, la similitude peut tenir concernant les traders. Et alors ? Si c’est effectivement très mâle, en quoi ce serait mal ?
    Cette attitude risquée ayant un seul objectif profond, assurer sa position dans la compétition de la vie, en quoi est-ce mal ?
    Serait-ce la première fois qu’une mâle aventure tourne mal ?
    Toute l’Histoire de l’Humanité est faite d’aventures risquées ayant connu leurs succès et leurs échecs.
    Bin oui, car sans les échecs, où serait le risque, où serait la compétition ?

    C’est cependant à une Isabelle que nous devons d’avoir, nous les mâles, mis le pied en Amérique avec nos Caravelles, bouts de noix sur un océan de dangers.
    Elle se serait contentée de couver ses gosses, elle n’aurait pas tradé long sur Colomb, elle ne l’aurait pas financé, bin, yaurait pas eu la crise actuelle.



    Je trouve dommage que ce couple supérieur que forment l’homme & la femme soit constamment le siège de dénigrements de l’un envers l’autre, dans les deux sens.
    Ca fait quoi, 7 millions d’années qu’on baise ensemble, dans tous les sens, dans toutes les conditions et on a encore l’impression de ne pas se comprendre.

    Par contre, c’est bizarre, on comprendrait absolument tout des singes.

    Bon sang, on fait quoi avec eux pour les connaître et les estimer si bien ?








  • easy easy 8 novembre 2008 17:06

    A l’auteur,

    Oui, sans les nominations de Powell et de Rice il n’y aurait pas eu Obama. On peut le dire comme ça. Mais on devrait alors dire que sans l’élection et le plébiscite mondial de Mandela, il n’y aurait pas eu Powel ni Rice. Et on pourrait remonter ainsi jusqu’à Gandhi, Feyçal, Senghor...disons jusqu’à la fin de la décolonisation officielle



    Je pense que tout ordre des choses qui déçoit est voué à être renversé, plus ou moins rapidement (ce qui fait qu’il est plus ou moins remarqué)

    L’ordre tribal avait déçu les Gaulois, alors ils ont progressivement adopté l’ordre Romain, pourtant ennemi

    L’ordre Romain avait déçu, alors un ordre féodal et chevaleresque lui a succédé

    Puis un ordre fastueux, versaillais a succédé

    Puis ce fut le tour d’un ordre démocratique et nationaliste

    Puis il y eu une préférence pour un ordre plus rouge ou rose

    Mais jusque là, nonobstant ces variations d’ordre économiques, religieuses ou politiques, régnait un fond d’ordre racial accordant aux Blancs une prévalence

    L’ordre rouge ou rose ayant lui aussi déçu, il nous aura donc semblé qu’il était temps d’accélérer le mouvement de renversement de l’ordre racial en cours depuis la décolonisation (depuis que tous les nègres du monde ont appris à lire, à déchiffrer la langue des maîtres)

    Mais il n’était pas possible de renverser l’ordre racial millénaire sans renverser toute l’échelle du règne animal. Alors le gorille aussi en a profité pour prendre de la hauteur et gagner en considération

    Il va sans dire que les femmes et les enfants et même les fleurs auront été du voyage (même si ici ou là il y a encore des retardataires)

    Chaque expérience ayant duré des dizaines d’années, gageons que l’expérience lourde que nous menons actuellement durera un bail.


    Jouons à deviner à quoi va ressembler ce nouvel ordre ou quelles seront ses contradictions, ses conflits
    Moi je sens qu’il y aura déchirement entre
    "Remettons-nous au tam-tam pour économiser le courant" (Cf la tendance Ethnic -vélo actuelle)
    et
    "Nous les nègres, nous pouvons faire plus que vous les Blancs"
    Ouille ! Si c’est pour refaire en plus-mieux-pire ce qu’ont su faire les Blancs, ça va être vite décevant.

    Car si toutes les précédentes révolutions ont fini par décevoir, c’est parce qu’une fois en place, les nouveaux ont singé leurs prédécesseurs. Napoléon, roturier, révolutionnaire ayant imité le pire de Louis XIV. Staline ayant imité le pire de de Nicolas

    Bon, en tous cas, s’ils nous déçoivent, au prochain tour, ce seront les femmes qui prendront les rênes

    D’ici là les enfants auront grandi.




     









  • easy easy 6 novembre 2008 13:28

    Posons que la crise financière soit due aux crédits pourris ; Posons que ces crédits pourris soient, pour l’essentiel, constitués de crédits ayant été accordés à des gens non solvables et/ou garantis sur des biens dont la valeur est...dégradable.
    Posons aussi qu’il y ait eu des montages tels, à partir de ces Junk bonds, des notations positives telles que le risque de base se soit retrouvé mécaniquement amplifié.

    Qui serait alors responsable de la déroute ?
    Bin, d’abord les emprunteurs, à moins de les considérer comme des décervelés ou des irresponsables tous bons à mettre sous tutelle.
    Ensuite les commerciaux des banques qui ont poussé les emprunteurs à accepter le risque d’impasse
    Ensuite, l’effet du nombre car trois impasses ça passe ; trois millions d’impasses, ça ne passe plus du tout.
    Or à l’effet brut du nombre, s’ajoute l’effet pervers de la dévalorisation de chaque bien (ou de chaque potentialité de remboursement) Plus on met de biens sur un marché, moins ils valent cher.

    Comme dans le drame de Furiani, il y a certes des responsabilités individuelles précises mais il y a également une "responsabilité" collective (Sur les tribunes en tubes de Furiani, la foule s’était mise à taper des pieds en rythme)
    Autant en profiter pour rappeler que s’il y a tant de morts évitables en France, c’est dû en partie au fait que nous ne donnons pas suffisamment nos produits sanguins. Responsabilité collective donc, dans laquelle personne ne se sent personnellement responsable. Idem au sujet de la saleté des chiottes

    Revenons à la crise financière.
    Quels étaient les premiers qui auraient dû percevoir la hauteur du risque ?
    Bin je dirais les banques, les assureurs, les agences de notation
    Mais, sauf à dénier toute présence de bon sens chez les emprunteurs, eux aussi auraient pu subbodorer le risque boule de neige.

    Ce qui nous amène à la question de l’évaluation du risque d’une part et de notre propension à l’accepter d’autre part. 

    Mettons qu’un banquier nous dise "Attention, là vous vous lancez dans une opération où le risque de plantage est de 1/1000" 
    Ou la la, ! Ca fait un peu peur comme il le dit avec ses gros yeux. Mais bof, comme le voisin a fait pareil, pourquoi ne pas en faire autant. Et on accepte ce risque comme celui de monter dans une voiture ou un avion

    Mettons que trois mois plus tard, au sujet d’un autre emprunt, le même banquier nous dise "Attention, là vous prenez un risque de 1/100"
    Ou la la ça fait peur, surtout quand c’est dit avec ces gros yeux !
    Mais bof, après tout, comme on ne parvient pas à sentir la différence entre 1/1000 et 1/100, ça ne fait pas un tremblement. Et puis de toutes manières les voisins sont eux aussi passés à des prises de risque de 1/100.

    "Qui ne risque rien n’a rien"
    C’est bien connu n’est-ce pas ?

    Alors ça peut continuer comme ça jusqu’à des hauteurs de risque énormes. Enfin énormes seulement le jour où ça pète. C’est toujours quand un avion s’écrase avec 300 personnes à bord qu’on se dit que c’est un risque fou d’entasser autant de gens dans un tube volant.aussi haut. Mais bon, le lendemain, on part quand même aux Seychelles en avion.

    Il faut quand même bien voir qu’il y a marqué "Fumer tue" sur les paquets de clope, ce qui n’empêche pas des tas de gens de fumer. 1 fumeur sur 2 mourra d’un cancer dû au tabac, tout le monde sait cela, ce qui n’empêche pas des millions de gens de fumer

    Est-il besoin de démontrer que le risque est notre aiguillon et que les catastrophes nous fascinent (Au fond, c’est la mort, le morbide qui nous fascine. Car c’est l’incarnation de nos limites)
    Ne sommes-nous pas curieux de découvrir jusqu’à quelle vitesse peut monter notre voiture ? (Ca me fait penser qu’il faudra que je vérifie ça sur mon vieil Espace) 
    Et puis tant de gens ont explosé les compteurs du possible en prenant des risques insensés, et ont réussi à échapper à la mort, au désastre ! 

    Ce qui nous amène à nous interroger sur les risques que là, en ce moment, nous sommes en train d’accepter de prendre. Bin oui, là, en ce moment, nous sommes quelques millions à avoir sur le dos des crédits, des bons, des biens...beaucoup plus sûrs

    Quoi ? 
    Plus sûrs, vraiment ?



    Alors si vous, qui avez sur le dos des crédits forcément risqués (et d’autant plus risqués que l’effet boule de neige peut se poursuivre) vous n’êtes pas un débile, si votre banquier n’était pas un salaud quand il vous avait dit oui, pourquoi les autres, ceux qui sont impliqués au premier rang dans l’impasse des subprimes US, le seraient-ils ?

    Quoi ?
    D’un côté en jouant un risque à 3% on serait un sage et de l’autre en jouant un risque à 5% on serait un irresponsable ? Où est la Table divine qui fixe les limites séparant le sage du fou ?

    Quoi ?
    Un banquier qui dit OUI est un salaud ?
    Euh attends Simone, on a été des millions à traiter notre banquier de salaud quand il nous a dit NON. Faut que je te repasse la bande en arrière ?


    Bin non les amis, rien, absolument rien n’est plus sûr que la mort et tout ce que nous faisons c’est de danser avec elle, de jouer avec le feu. 
    Alors conduire certains d’entre nous au bûcher, c’est dénier notre propre participation au casino, c’est nous comporter en irresponsables.

    Les seuls à n’avoir aucune responsabilité dans le désastre de ce système ce sont ceux qui n’y ont vraiment jamais participé ; cas des Himbas, des Bochimans et autres Zoulous.

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