Jean-Paul Foscarvel

Peut-on longtemps régner contre son propre peuple ?

La France ressemble de plus en plus à une dictature, qui se durcit progressivement au fur et à mesure que la contestation s’amplifie.

C’est un démophobe compulsif. Il nous hait fondamentalement et veut nous détruire, détruire la France, son industrie, ses écoles, ses lycées, son université, ses hôpitaux, sa justice, ses institutions sociales, sa culture, son indépendance internationale, sa politique extérieure, bref, tout ce qui a fait son prestige international et sa vitalité interne.

Grâce à lui, après lui, de tout cela, il ne restera rien. Soit vendu et pillé par le privé, soit tout simplement réduit à néant.

La France, sa population, son histoire, sa grandeur, auront été lessivées.

Ou bien une réaction à la hauteur le mettra hors d’état de nuire. C’est désormais notre seule issue.

Il aurait suffit de couper l’électricité, les ravitaillements en essence, de barrer les routes de Paris, et les transports publics, jusqu’au retrait de la réforme.

Pour cela il faudrait un acccord entre les routiers les agents de la RATP, SNCF et EDF.

Il faudrait aussi une campagne massive de boycott de l’ensemble des médias du système, afin qu’ils se retrouvent sans spectateur ni auditeur ni lecteur.

Ceci n’a pas eu lieu et n’aura pas lieu. La contestation n’a été qu’un travail de deuil, comme d’habitude. Puis tous rentrent chez soi et dans l’ordre.

L’élimination systémique et systématique des classes moyennes pourra continuer.

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-elimination-des-classes-moyennes-244945

Article synthétique qui remet l’histoire dans son contexte.

Il est des changements subtils qui déterminent l’avenir sans qu’on ne les voie.

Pour moi, le vrai changement du paradigme capitaliste date des années quatre-vingt (1980), à partir duquel l’immatériel a progressivement pris la place du matériel dans la recherche du profit.

Les entreprises de l’époque, comme Microsoft, ont commencé à avoir des taux de profit considérables qui ont enrichi leurs actionnaires et propriétaires. Depuis, le modèle se développe en bouleversant les équilibres sociaux, économiques, politques, jusqu’à géopolitiques.

L’Ukraine, et plus encore le Covid, en sont les conséquences.

Le Covid en favorisant la Big pharma et accroissant l’influence des high tech, et la guerre en Ukraine comme conséquence d’une résistance de la Russi à la main-mises de la trilatérale Gafas-Pharma-Finance sur le pays (notamamment via l’achat d’entreprises énergétiques par des financiers US qui a échoué).

Les deux crises ont contribué et contribuent à détruire la part matérielle de la production via le confinement pour le covid et renchérissement de l’énergie pour l’Ukraine.

Même si la crise de l’Ukraine était lattente, il est probable que l’échec final du Covid (insuffisance de destruction en UE) a abouti à la provocation de la Russie, téléguidée par les USA, en Ukraine et la suite que l’on connait.

Comme le système va d’échec en échec, celui subi en Ukraine risque de déboucher sur une attaque des USA contre la Chine.

Il est probable que cela signe la fin de la période que je nommerais « turbo-capitaliste », c’est-à-dire l’ère du capitalisme immatériel à hauts taux de profit.

Les remous de la banque de la Silicone Vallée et l’interdiction de Tiktok en sont peut-être déjà les prémisses.

@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

La question des droits de l’homme n’est qu’un vernis qui peine à cacher la réalité.

Le drame de l’Afghanistan est que ce sont les USA qui l’on occupé.

Ils sont capable de détruire un pays, mais avec leur idéologie libérale, ils pillent les ressources, renforcent l’insécurité intérieure, activent la corruption, dont le trafic d’armes et de drogue, mais ils ne sont pas capable de doter le pays d’infrastructure nécessaires à une vie digne pour ses habitants. Routes, énergie, eau, voix ferrées, hôpitaux, écoles, universités, tribunaux civils, etc. Rien n’est fait, et le pays reste dans le moyen-âge teinté de libéralisme économique dur.
La population réelle finit par les haïr.