Jean-Paul Foscarvel

@Jean-Paul Foscarvel
... se disloquera.

Aux USA, la démocratie n’existe pas, c’est une ploutocratie (pouvoir des riches).

Il y a deux partis qui sont les deux faces du parti unique, le parti capitaliste.

Il n’y a aucun choix de société, le seul choix est celui de la tête de celui qui sera dirigé par la quadrilatérale GAFAS-Pharma-Phynance-CMI.

La situation réelle des états-uniens moyens est catastrophique, mais cela ne soucie pas les dirigeants du pays qui continuent leur course folle vers une hégémonie qui n’est plus qu’un fantôme d’un passé en train de disparaître.

Je pense que c’est aussi au peuple états-unien de faire face au système totalitaire (certes soft pour le moment) qui les accable.

Cela devrait finir par arriver lorsque le mythe sur lequel ils sont bâtis de disloquera.

Ce qui est rigolo avec les USA, c’est qu’ils se considèrent eux-mêmes comme étant Le Droit.

Partout où ils sont, ils sèment le chaos et la mort. Mais c’est au nom de la démocratie et du respect des règles. Ce sont eux qui font les règles, pour eux.

Le discours est à peu près celui-là : « Je suis la démocratie. Tous ceux qui sont contre moi, sont donc contre la démocratie. Pour sauver la démocratie, je dois donc les éliminer ».

Donc ils ont à la fois le droit d’infester les eaux de la Russie de drones et abattre les avions de ligne qui les dérangent dans les espaces internationaux.

Un tas de ferraille états-unien a plus de valeur à leurs yeux que des centaines de vies non états-uniennes.

Biden veut pouvoir continuer à dire « Le droit planétaire, c’est moi », sauf que peu à peu les pays non occidentaux réagissent, au fur et à mesure de l’effondrement intérieur et extérieur des USA.

Comme un dictateur qui a longtemps tenu par la peur, lorsque celle-ci ne fonctionne plus, il s’effondre.

L’UE, l’UK et l’AUS semblent ne pas le voir et continuent leur obéissance aveugle.

L’élite française est gangrénée par elle-même.

Comme si la nouvelle aristocratie voulait reconstituer l’ancien régime. Ils ne sont pas au-dessus des lois, il sont la loi. Donc rien ne peut leur arriver.

C’est une dégénérescence générale en du pays qui n’est plus un État de droit, mais un état de passes-droits.

Viol, inceste, drogue, abus de biens sociaux, etc. Régulièrement, des hauts personnages du régime sont pris en flagrant-délit d’infractions criminelles, mais ils restent à leur place, sont blanchis, et restent protégés par leur statut.

Mais cette décomposition porte en profondeur atteinte à la crédibilité du régime, comme dans les dictatures qui peut à peu s’effritent car la base de leur mythe s’écroule chaque jour davantage.

Chez nous, le mythe, c’est le respect du droit et la démocratie. L’édifice est pourri de l’intérieur et les fissures deviennent apparentes aux yeux de tous.

Reste à savoir comment et quand il va réellement s’écrouler.

Merci pour cet article.

L’un ses soucis est la disparition progressive des lieux d’habitat, même et surtout en ville.

Je vis dans une ville tenue par les « écologistes ». Ils détruisent tout. Au nom du réchauffement, ils détruisent les petits pavillons (non isolés d’après eux) pour les remplacer par des « écoquartiers ».

Avec le petit pavillon, il y avait un petit jardin, des murs un peu vieillis, où venaient se nicher les ... Oiseaux. Avec l’écoquatier, rien de tout cela. des murs sans aspérités, pas de jardin ou des « espaces verts » alignés au cordeau, aucune vie ne peut se nicher par là. Ils détruisent la nature pour soi-disant préserver la planète, ils ne font que ruiner les petits propriétaires et détruire les espaces de vie.

Quant aux espaces verts, justement, ils les taillent au printemps lorsque les oiseaux font leur nid... Ils veulent des espaces verts proprets pour la com, mais se foutent bien des conséquences de leurs actes. Les écologistes politiques n’ont aucune idée de ce qu’est le respect de la nature. Ils sont à la vraie écologie ce que les socialistes sont au social : un discours vide qui cache une réalité sinistre.

Il y a une grande distance entre respecter la nature et protéger la planète. Dans le premier, on fait attention à la diversité, aux habitats, aux habitudes des animaux, dans le second, on prend des mesures politiques qui n’ont d’autre ambition que de se faire bien voir par les zélecteurs, et qui peuvent ruiner les gens (énergie chère, interdiction des automobiles anciennes, voire expulsion des pauvres de leur maison pas assez isolée qui se trouve détruite pour être remplacée par des immeubles à entasser les gens), tandis que les vrais problèmes ne sont pas traités. Bien entendu, dans ce dernier cas, si la vie des humains n’a pas d’importance, encore moins celles des animaux !