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Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 29 décembre 2014 20:00

    Juppé, Sarko, Hollande, Le Pen... Ouille ouille ouille !

    J’espère que d’ici là un vent nouveau va arriver, comme en Espagne (Podemos), ou en Grèce (Syriza).

    Bien sûr, les journeaux français soit n’en parlent pas, soit promettent des catastrophes irréversibles, comme si l’état actuel de nos pays sous anesthésie ultra-libérale n’était pas des plus catastrophiques.

    Car c’est bien là la question : quel homme, femme politique, fournit-il une vraie alternative au chaos économique que nous connaissons ? Aucun.

    Tant qu’on en est là, on ne fera que s’enfoncer toujours davantage dans notre marécage, sans aucune perspective de rencontrer quelque sauvetage que ce soit.

    Le bateau coule et tous les capitaines potentiels n’ont qu’une idée : foncer dans l’iceberg de la compétitivité jusqu’à noyade complète des compartiments de troisième et deuxième classe.

    Avec ces clowns sinistres, seule l’oligarchie sera sauvée.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 28 décembre 2014 14:04

    La cause fondamentale de la crise est bien le système capitaliste lui-même, dans la transformation qui a eu lieu dans les années quatre-vingt.
    C’est un système d’accaparement du travail humain par une oligarchie de plus en plus restreinte et de plus en plus fortuné.

    Le capitalisme classique se contentait de’exploiter les salariés en leur payant juste ce qui les nourrisait lorsqu’ils produisaient beaucpup plus, la différence allait dans les dividendes, mais aussi dans les strcutures étatiques consées maintenir le consensus social. Ce capitalisme avait en général, sauf périodes de crises, besoin de main d’oeuvre en quantité, et le luttes, via les grèves, avaient permi un accroissement des conditions de vie des salariés (la classe ouvrière).

    Aujourd’hui, le profit est bien plus importamnt et ne nécessite pas une abondante main d’oeuvre, grâce aux hautes technologies. À la limite, le système n’a plus besoin que d’une partie de l’humanité, pour faire des profits considérables. Le reste peut disparaître.

    C’est le noeud de la crise, qui pour l’oligarchie n’en est pas une. Suraccumulation d’un côté, misère de l’autre, avec de surcroît abolission des États comme dernier rampart de la démocratie.

    La seule solution pour en sortir est de contrer les Transnationales, de taxer les profits directement, notamment les entités créant des surprofits avec peu de salariés, de renationaliser les entrepreprises vitales (énergie, santé, réseaux, transports, etc.), mais avec contrôle démocratique, et de remettre en route la démocratie sociale, ainsi que la « gouvernance » des entreprises (démocratie interne, prise en compte du social, prise en coñpre des besoins réels de la population, etc.)

    La lutte en cours se situe directement entre l’humanité et le capitalisme en mode turbo.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 28 décembre 2014 13:24

    Chaque auteur, une fois l’article publié, commente, ou non, à sa guise.

    Certains auteurs répondent systématiquement aux commentaires, d’autres de temps en temps, d’autres pas du tout.

    Un article, c’est comme un signal jeté, il vit sa vie, il est rejeté, adulé, approuvé ou désaprouvé.

    L’essentiel est qu’il alimente les débats, qu’il donne une position, qu’il suscite l’intérêt.

    Un auteur ne va pas passer son temps à répondre aux trolls (je ne parle pas de votre commentaire), cela augmente la nombre de commentaires, mais ne fait en général pas avancer le débat, au contraire.

    Personellement, ce qui me plait chez AV, c’est à la fois cette liberté et le retour que l’on a lorsqu’un article est publié, avec la faculté de répondre, ou non, aux critiques.

    Donc, pitié, n’obligez pas les auteurs à répondre aux commentaires. Ce n’est absolument pas un critère de qualité (ni d’un còté, ni de l’autre). Le critère, c’est l’article lui-même. 

    Je précise que ma réponse est suscitée par le fait que je suis également dans ce cas (peu de réponses, et jamais systématique), et que c’est une liberté que je défends.

    J’ajoute, par mon peu d’expérience, que parfois la discussion se nourrit d’elle même, et dans ce cas, il faut être prudent pour intervenir, cette intervention, si elle est en décalage, peut casser cette dynamique. Le feeling est mieux qu’une règle.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 27 décembre 2014 11:53

    Conseiller d’investir dans l’immobilier en ce moment est une bonne blague !

    Les espagnols ont investit pendant la période faste. Certains s’en mordent vraiment les doigts.

    Théorème : quelquesoit le type d’investissement, en cas d’hypercrise, rien n’assure sa pérénité.
    C’est le vrai sens du mot « fortune » : le hasard !

    Les plus fortunés sont les plus chanceux, sauf que cette chance couvre des générations, et que la chance de celles d’aujourd’hui est d’être né... dans une fortune !

    Quant aux pauvres, les 99 %, leur seule possibilité de survie, ce ne sont pas les placements, ni les investissements, mais la solidarité, et le rapport de force, la lutte aujourd’hui abandonnée par les salariés, abreuvés de la chimère consummériste et individuelle. Nous ne nous sauverons pas en investissant sur des illusions (elles ne rapporteront qu’á ceux qui contrôlent), mais sur notre intelligence collective, s’il en reste encore des traces, et notre capacité à lutter et à s’associer.

    L’investissement est du domaine du cerveau reptilien : se créer une carapace censée protéger. Sauf que le crabe se fait bouffer par le requin, malgré cette carapace. La solution humaine, utilisant toutes les sphères de la pensée, c’est de s’associer en intelligence, dans le respect de chacun. C’est l’inverse exact de la société capitaliste oú la majorité bosse pour un chef sans avoir rien à dire.

    La société capitaliste est de l’ordre de l’archaïsme socio-psychologique, dirigée par des psychopathes, et son effondrement serait une bonne nouvelle pour l’humanité.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 6 décembre 2014 13:56

    Ils auraient bien pu aussi le vendre au Qatar !

    Puisque l’État français est à vendre au plus offrant.

    Rien, il ne restera rien, tout aura été liquidé, et cette liquidation, qui empêchera au reste d’État d’avoir quelque recette que ce soit, sera la voie ouverte à d’autres liquidations, écoles, hôpitaux, palais de justice, maisons de la culture, théâtres, gares, monuments divers, etc. au bout desquelles la seule perspective sera la banqueroute finale.

    Il ne restera alors plus que le palais de l’Élysée à vendre... Mais ce sera déjà un bâtiment en ruines.

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