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Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 2 février 2013 12:14

    Peut être le gouvernement est il allé trop vite.

    Et au lieu de faire avancer la société, il la crispe, ce qui peut aller à l’encontre de ses objectifs, et de ceux du lobby gay.

    Entre les villes et les campagnes, les jeunes et les vieux, les branchés et les prolétaires, les intellectuels et les manuels, les anciens et les modernes, il y a des niveaux de rupture, de discontinuités, des heurts.

    Je pense que le mariage gay est un projet clivant, qui pour certains touche les bases même de leur être au monde, de leur façon de vivre et de penser.

    Ces gens là réagissent viscéralement, comme si leur corps même était en cause.
    Y avait-il urgence, dans un monde en déliquescence, de vouloir ainsi bouleverser une société qui est déjà déstructurée ?

    Dans une phase économiquement sereine, la proposition eut été plus accetable pour les parties de la société déjà en déshérence. C’est mettre un coup de massue supplémentaire aux exclus du libéralisme. Quelque part, c’est mépriser leur désarroi.

    L’urgence, la vraie, est de faire repartir le pays économiquement et socialement, en détricotant le modèle libéral de la compétitivité à tout prix, ce qui nous enfonce indéfiniment sans que nous n’y voyons d’issue. Plutôt que l’image du mur, j’y vois celui du marécage dans lequel on ne finit pas de s’enfoncer.

    Le mariage gay n’apporte rien de ce point de vue là, sinon de troubler la vue. Hollande a inversé les priorités, c’est dommage.

    Mais est-ce vraiment par hasard qu’il préfère s’occuper du sociétal plutôt que du social ?



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 4 janvier 2013 16:42

    Retour à une ancienne pratique : les rois ont toujours besoin d’un bouffon !

    Lorsque la démocratie consiste à choisir qui jouera le role de Père Ubu, c’est qu’elle a disparu.

    Qu’ils nous disent que Goldmann Sachs dirige la planète et que les populations n’ont que le choix de qui appliquera leur politique, ce serait plus clair.

    En gros, maximiser les profits des banquiers, en se débarrassant de la population inutile par les maladies, l’épuisement et la misère.

    Les principales mesures sont en effet ,le recul de l’âge de la retraite et la destruction du système de santé. Alors que la Toxic food se répand dans nos assiètes et que les vaccins eux-mêmes contiennent des produits dangereux !



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 4 janvier 2013 16:27

    Les hòpitaux, les prisons et les maisons de retraite sont des lieux d’incarcération oú on écarte de la soctété les malades, les marginaux et les vieillards, en les privant de leurs lieux de vie, et également de toute liberté, puisqu’ils ne peuvent sortir sans autorisation, voire pas du tout.

    C’est ainsi que notre société traite ceux qu’elle ne veut pas voir.

    C’est inhumain, mais rassurant pour les « insiders ».

    Notre société consumériste s’écarte ainsi de son humanité.

    Mais ce modéle est en train de mourir.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 4 janvier 2013 12:46

    Autre question :
    Pourquoi les vaccins contiennent-ils de l’aluminium, alors que cela risque de provoquer Alzheimer ou d’autres dégats ?



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 7 décembre 2012 23:32

    C’est une ruine, un fiasco, une décrépitude ambulante, un Panthéon lézardé, titubant encore droit sur ses jambes déconfites dans l’effondrement d’un pays qui ne sait plus ce qu’il est.

    Il est notre guide assombri qui va de désastre en hécatombe, agrippé à sa bouteille de vin millésimé et qui de ce fait se rassure en criant tout autour de lui « Vive la France ! » 

    Il a tout réussi, il nous a incarné jusqu’à la lie, et c’est cette réussite totale qui se transforme en caricature d’un être d’une arrogance folle qui se permet de cracher, de rire, de péter et d’emmerder le monde entier.

    Mais lorsqu’il ne reste plus que cela, cette flatulence infatuée, alors le vide se creuse, l’implosion s’effectue, et le rien s’installe sur lui-même.

    D’un héros successeur de Gabin, il devient un personnage à la Beckett, attendant un Godot qui ne viendra désormais plus l’accompagner dans ses cuites devenues trop sordides.

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