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Joseph

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Mon livre sur l'étude des causes de la violence :
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  • Premier article le 18/01/2016
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Derniers commentaires



  • Joseph Joseph 26 octobre 2017 13:05

    @sukhr
    « Ne confondez pas autoritarisme et fascisme, cela n’a rien à voir. »
    C’est bien ce que je dit en début d’article, je reprend la définition populaire du fascisme.
     
    « l’Extrême gauche a toujours été féministe, depuis le 18ème siècle. [...] Sur le reste : rappelons que le Socialisme s’appuie sur les valeurs païennes, et s’oppose donc très naturellement aux valeurs sémitiques (homophie, « gneugneugneu décadence », etc) »
     
    Le sujet de l’article porte surtout sur la façon de défendre les valeurs « progressistes », et donc l’attitude contradictoire de certains qui tendent vers un peu trop d’autoritarisme et d’intolérance qu’ils dénoncent pourtant. Donc sur la forme, pas sur le fond. Mais aussi sur le fait qu’avec tout ça c’est le peuple qui en pâti, la gauche ne sert plus trop de contre-pouvoir pour le défendre..
     
    Donc je ne vois pas très bien où vous voulez en venir, ou alors si vous avez bien lu l’article.



  • Joseph Joseph 26 octobre 2017 02:31

    @pipiou
    « et suggérer que les femmes sont ici aussi coupables que les hommes ( ...des chiennes) »
     
    Je ne pense pas que ce soit le cas de cet article. Remettre certaines choses en place ne veut pas dire d’arriver à cette conclusion (même si certains mouvements voudrait nous le faire croire pour couper court à tout débat qui n’irait pas dans leur sens).
     
    A contrario la culpabilité que l’on veut faire porter aux hommes, comme les injonctions contradictoires de certaines féministes devient ridicule, et je ne pense pas que ce soit la meilleure méthode pour régler le problème du harcèlement (qui peut exister tout aussi bien pour les hommes, mais exercé d’une façon différente).
     
    Mais si l’on veut vraiment parler de respect de la femme, alors à un moment il faudra bien que l’on cesse de voir les femmes comme des petites choses fragiles et sans défense (même si cela arrange certaines féministes du dimanche d’alimenter une telle vision péjorative de la femme dans un but culpabilisateur, quand je parlais d’injonctions contradictoires).
     
    En d’autres termes, qu’on arrête de prendre les femmes pour des imbéciles sous couvert de pseudo féminisme. Et par la même occasion qu’on arrête de vouloir faire rimer masculinité avec machisme.



  • Joseph Joseph 26 octobre 2017 01:37

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.
    Bonjour,
     
    "Le problème dans la démarche de séduction masculine, c’est que derrière se profile une tentation très fréquente : l’emprise. Tu deviens ma chose,...« 
     
    Le problème dans la séduction masculine c’est aussi que toutes les femmes sont différentes, et peuvent rechercher des choses différentes. L’autre problème c’est qu’avec cette tendance égalitaire qui en lieu et place d’égalité tend vers l’uniformité et le reniement de la féminité comme de la masculinité, ça va devenir de plus en plus difficile de ne pas en vexer certaines. Mais si une femme veut un homme, bien souvent elle aura tendance à lui trouver toutes les qualités quelque soit sa forme d’approche, dans le cas contraire cela dépendra de sa mentalité.
     
    Pour ce qui est de l’emprise cela va également dépendre du contexte, mais aussi des pays. Il y a des femmes qui la recherche, et d’autres non avec toutes les nuances entre les deux, comme des formes d’emprises plus ou moins subtiles cachée derrière ces deux envies.
     
    L’enfoiré posait la question de savoir qui porte la culotte ? Dans nos société occidentale il est difficile de nier que c’est en majorité la femme qui souhaite la porter, que l’homme reprendra bien souvent à son compte ce que sa femme lui chuchote à l’oreille (pour ne pas perdre la face et sa masculinité), comme le fait que la femme souhaite gérer, donc la façon dont elle amènera l’homme à la séduire comme le jeu de séduction auquel l’homme devra souvent se plier (et sur ce point certaines assurent plus que d’autres, question d’affinité aussi. Mais aussi lorsque ce jeux de séduction ne se résume pas à la mise en place d’une sorte de rituel, voir d’une sorte de procédure, qui conviendra à certains et beaucoup moins à d’autres), jusqu’au couple.
     
    Dans les faits, et en sous-main, la volonté d’emprise semble donc surtout venir de la femme chez nous (ce qui n’est pas le cas partout), et volonté de porter la culotte à tout prix quitte à perdre son homme (ou de le faire partir).
     
    Bien sûr je ne parle ici du fait que si l’homme se plie à toutes les injonctions de la femme (habille toi comme ceci ou comme cela, etc), la femme risque de s’en lasser assez vite. C’est encore une chose différente.
     
    Mais vous avez aussi raison à propos de cette peur et de ces conséquences, lorsque cette peur ne résulte pas aussi à fuir tout en souhaitant être rattraper (là aussi un point qui peut porter à confusion).
     
    D’où deux questions que les féministes, et les autres, ne posent jamais.
     
    Pourquoi elles ne remettent pas en question le fait que c’est toujours à l’homme de mettre les choses au clair dans les jeux de séduction, de faire le premier pas par exemple, donc une forme de soumission passive de la femme comme une inégalité certaine.
     
    Forme d’autant plus passive qu’à un moment, et poussé à l’extrême pour caricaturer, l’homme pourrait toujours dire à la femme »C’est moi qui suis obligé de prendre les risques et mettre les choses au clair. Donc soit gentille, reste à ta place. Et si t’es pas contente t’avais qu’à faire le boulot et mettre les choses au clair toi même". Peut-être une raison des inégalités hommes/femmes d’ailleurs.
     
    Et prises de risques (sauf si la connexion est clair) qui vont tendre à augmenter lorsque l’on commence à tout confondre, au détriments de celles qui subissent des harcèlements réelles d’ailleurs (dont la femme est tout autant capable, bien souvent sous des formes différentes ceci dit).
     
    Et enfin pourquoi lorsqu’elles parlent de domination masculine on ne parle jamais du fait qu’en occident c’est majoritairement la femme qui souhaite porter la culotte et gérer les choses ? D’où une domination plus féminine que masculine vu sous cet angle, et une inégalité certaine au désavantage des hommes ?



  • Joseph Joseph 25 octobre 2017 04:06

    @Taverne

    Bien dit.



  • Joseph Joseph 25 octobre 2017 02:38

    @eric
     
    J’ai l’impression que tout se mélange. Donc le racisme est d’abord une forme d’ostracisme. Il pourra donc se baser sur la race, le sexe, le groupe sociale, etc. L’ostracisme reste de l’ostracisme avec les effets néfastes qu’il peut apporter à ceux qui le subissent. En ce sens il n’y a pas de vrai ou de faux ostracisme.
     
    On peut par contre y voir des formes d’intensités différentes (méfiance, rejet, violence, etc), qui ne concerneront pas le type d’ostracisme (race, sexe, groupe sociale, etc), mais bien le contexte dans lequel il est mis en place et ce qu’il va engendrer. Dans tous les cas je trouve l’attitude condamnable si elle n’est pas justifiée.
     
    Justifié par exemple par une légitime défense. De la même manière inutile parfois de monter sur ces grands chevaux pour des choses qui n’en valent pas la peine au risque d’aggraver les situations et de tourner à l’hystérie collective. Il y a une différence entre ne pas vouloir parler à quelqu’un qui ne nous a objectivement rien fait sous prétexte qu’il est différent (même si ce n’est pas des plus judicieux), et empêcher quelqu’un d’avoir accès à ce qu’il devrait avoir droit légitimement, toujours sous prétexte qu’il est différent (là c’est condamnable).
     
    Ensuite si vous voulez dire que de nos jours il peut y avoir des un poids deux mesures, c’est vrai, mais au cas par cas, les problématiques sont complexes. Et si vous voulez dire que la manière de faire naïve de certains pseudo-progressistes fait plus de mal qu’autre chose, voir contribue à faire monter les sentiments racistes au sein de nos sociétés, c’est vrai aussi. Mais là encore, il existe des gens de gauche, ou encore des progressistes, qui sont cohérents dans leur démarche et en accord avec eux-mêmes. Les autres sont pour moi des sortes d’extrémistes incohérents, qui ne valent pas mieux que les extrémistes de tout bord.
     
    Attendez peut-être que je mette en ligne un prochain article sur ces pseudos-progressistes, vous verrez où je veux en venir.

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