Ainsi, l’extrême droite serait à la source de tous les attentats récents en France ?
Extrême droite, combien de morts ?
je ne me situe pas vraiment à l’extrême droite, mais je considère que le danger pour les Français vient bien plus de l’extrême gauche que de l’extrême droite. Sa notion d’antiracisme est un racisme d’une grande violence. En plus, cette accusation d’extrême droite est maintenant pour tous ceux qui n’avalisent pas le discours officiel. C’est sans doute parce que le gouvernement à peur pour sa survie qu’il répand cette peur dans la société.
En discutant avec des non-chrétiens, on se rend compte à quel point l’idée d’un Dieu d’amour soit gênante pour une bonne partie de l’humanité, y compris pour des personnes qui se prétendent chrétiennes. La conséquence de cet amour est que nous sommes libre et donc responsable de nos actes, bon ou mauvais. Nous préférons être esclave d’un Dieu tout puissant, donc aussi bien capable de faire du bien et du mal. Ainsi, puisque Dieu est responsable du mal et que nous sommes ses esclaves, nous ne nous sentons pas responsable du mal que nous faisons et nous pouvons suivre nos instincts sans remords tant que nous ne risquons pas la prison pour cela. Les idéologies noient en plus la responsabilité individuelle dans le groupe.
Bien sûr, il ne faut pas confondre musulman et islam tellement il y a de variantes dans l’islam mais dans le Coran, l’islam a été très loin dans la théorisation et la validation de ce comportement. Ainsi la notion de bien et de mal, telle que nous pouvons le comprendre dans la loi naturelle est remplacée par une simple obéissance à la loi contenue dans le Coran et la loi ne prévoit aucun mal pour le viol, tant que c’est une esclave qui vous appartient (s4, 24), les razzias, donc la prédation du bien ou de la personne d’autrui, tant que ce ne sont pas des musulmans et que vous donnez 20% à Allah, non à Muḥammad, non au calife (sourate 8, le butin), le meurtre, tant que ce n’est pas un musulman (65 fois les mots « tuer » ou « combattre jusqu’à tuer » dans le Coran)... Et si jamais nous fautons, un simple aller/retour à La Mecque répare tout cela. Les lois islamiques ont surtout été faites pour que la communauté ne s’autodétruise pas et que le calife trouve les soldats dont il a besoin pour ses conquêtes. En dehors de cela, il est possible de donner libre cours à nos instincts les plus bas. Voilà ce que l’extrême gauche défend par pur opportunisme électoral. Le jour ou l’islam prendra le pouvoir, je ne donne pas cher de leur peau.
@Alain Malcolm Les idéologies sont aussi des religions, parfois sans dieu mais toujours avec un salut (grand soir...). Ce qui différencie les unes des autres, c’est la relation que l’on peut avoir avec la ou les divinités. Depuis toujours, les religions animistes établissent un rapport avec les esprits pris comme divinité et en tirent un avantage. Divination, guérisons... les pratiques occultistes se situent bien dans la continuité de ces religions. Dans les religions monothéistes, seule le christianisme permet actuellement une relation avec Dieu et seules les obédiences principales y arrivent et pas tout le monde. Dieu n’est pas exclusif mais ne permet pas toutes les hérésies. Le judaïsme a pu établir de telles relations dans le passé. La présence des phénomènes liés à l’action de ces divinités est un signe de la vérité et du sens de ces religions. On peut toujours parler du magnétisme pour un radiesthésiste mais rien n’a jamais été mesuré. L’explication est bien ailleurs et cela a été dit par ceux qui ont quitté ces pratiques occultes. N’ayant pas d’accès à Dieu, les idéologies et l’islam pratiquent largement le mensonge dont le principal est d’associer le mal à un groupe de personne et le bien à ses adeptes. Tout le monde à une part de bien et de mal en lui et l’éradication du mal commence toujours par soi-même.
@njama Oui, l’Arianisme est proche de l’islam, mais trouvons d’autres hérésies encore plus proches. Au IIIème siècle, Origène distingue deux types d’Ébionites : « Ce sont les deux sortes d’Ébionites : ceux qui admettent comme nous que Jésus est né d’une vierge, ceux qui ne le croient pas né de cette manière mais comme le reste des hommes » (Contre Celse V, 61). Curieusement, nous allons retrouver ces deux manières de penser dans le Coran et cette première sorte fait penser au groupe des Nazaréens. Eusèbe écrira plus tard, de manière plus explicite : « Mais à côté de ces derniers, il y en avait d’autres qui portaient le même nom et qui échappaient à leur sottise étrange. Ils ne niaient pas que le Seigneur fût né d’une vierge et du Saint-Esprit ; pourtant, semblablement à eux, ils ne confessaient pas qu’il fut préexistant, comme Dieu, Verbe et Sagesse et ainsi, ils revenaient à l’impiété des premiers, d’autant plus que pareillement à eux, ils mettaient tout leur zèle à accomplir soigneusement les prescriptions charnelles de la Loi » (Histoire Ecclésiastique III, 27, 3). Ici, il n’est pas question de naṣārā (Nazaréens), mais nous n’en sommes pas loin et nous commençons vraiment à nous rapprocher de la christologie du Coran. Toutes ces hérésies ont pour racine le refus de l’amour de Dieu. Si Dieu n’est pas amour, il ne peut pas avoir un fils car son sacrifice ne peut avoir d’autre raison que l’amour absolu de Dieu. Tout est parfaitement logique dans le fonctionnement de ces hérésies mais contraire à ce que nous observons lorsque nous rencontrons Jésus ou l’Esprit-Saint qui expriment pourtant clairement l’amour de Dieu. Si vous refusez l’amour de Dieu, comment pourrez-vous avoir part à un salut qui ne peut être que dans l’amour. Si vous pensez que ce n’est pas possible, imaginez ce que peut être une éternité à côtoyer des personnes qui ne vous aiment pas et réciproquement... Le musulman doit surveiller sans arrêt le tapis sur lequel il est étendu pour ne pas se le faire voler.
@njama « Pareillement pour les Évangiles dont la rédaction fut bien plus tardive que la recension de Uthman » Les Evangiles ont été écrits très tôt en Araméen et nous connaissons les textes originaux par le fait que les balises qui permettent l’apprentissage du texte par cœur sont toutes présentes : rimes, rythme, enchaînement, structuration de l’argumentation. Toute modification ou traduction efface des balises. Nous ne pouvons en dire autant du Coran qui contient de nombreuses altérations dans la rime ou le rythme, signalant autant de modifications du texte. Il existe plusieurs textes en araméen qui précisent que Matthieu a récité sont Evangile pendant 6 ans et l’a mis par écrit la septième année. Nous sommes alors en 37. Par ailleurs, la répartition statistiques des 80 noms environ contenus dans les Evangiles correspond à la répartition trouvée part les archéologues sur les tombes du premier siècle. Les apocryphes ont une autre répartition statistique. Quand à la recension d’Uthman, npous ne disposons d’aucun texte de cette époque car tout a été effacé. Pourquoi ? Pourquoi ces deux collectes de Coran pour les remplacer par des nouveaux en 660 et 710 ? Pourquoi ces modifications bien visibles sur le manuscrits dont les plus anciens sont de la fin du 7ème siècle. Pourquoi certaines sourates sont totalement absentes de la totalité des manuscrits anciens ? Bien des questions auxquelles ont répondu les chercheurs du XXIème siècle.
Les Evangiles n’ont pas besoin du dogme de l’abrogation, aussi l’ordre importe peu, mais les enchaînements que l’on trouve dans les textes en Araméen permettent de comprendre que l’ordre n’a pas été changé. Le dernier mot d’un paragraphe est le premier mot du paragraphe suivant, ainsi le récitant ne peut pas se tromper. L’ordre des versets du Coran est totalement inconnu. L’hypothèse d’une violence croissante des versets du Coran est une aberration soutenue par aucun fait. Nous voyons beaucoup d’incohérences dans le Coran (j’en ai documenté plus d’une centaine) qui permettent d’affirmer que le Coran a été écrit sur période assez longue, au gré de la volonté des califes de justifier leur pouvoir. La théorie des codes a ensuite démontré (c’est une véritable démonstration) que le Coran a été écrit par une cinquantaine de rédacteurs (formellement entre 30 et 100).
« tous les écrits (dits) apocryphes laissés sur le bord de la route... » Comme je l’écrivais, il y a des erreurs dans la répartition des nom et également de nombreuses erreurs dans le texte. Il est certain qu’aucun apocryphe n’a été écrit avant la fin du IIème siècle, car à ce moment les exégètes ne citent que les quatre que nous connaissons.
« Saint Jérôme » est allé travailler à Jérusalem et a certainement rencontré des spécialistes araméophones car sa traduction latine est plus proche du texte araméen que les Evangiles en Grec de la fin du premier siècle. Il est vrai que certaines traductions étaient approximatives, mais maintenant que nous pouvons consulter le texte en araméen, nous pouvons être certain du contenu. Le fait également que les Evangiles ont été traduits dans toutes les langues rend également tout modification impossible car il faut également modifier les traductions. C’est donc un gage de sécurité qui ne peut s’appliquer au Coran. sur les 24000 Evangiles ou fragments manuscrits connus dans toutes les langues, on a trouvé 600000 différences qui correspondent pour la presque totalité à des erreur de typo, mais dans l’ensemble, il n’y a que 22 différences problématique et une seule différence réellement hérétique (les témoins de Jéhovah l’ont) mais elle est bien tracée.
« d’autres églises toutes aussi chrétiennes que la votre n’y adhèrent pas » Jésus nous a bien annoncée la venue de l’Esprit-Saint pour continuer son enseignement. « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous ne pouvez pas les porter. Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière » (Jean 16, 12). Effectivement, tout le monde peut rencontrer l’Esprit-Saint à la condition d’accepter d’être aimer par Dieu. C’est lui qui nous aide à exprimer des dogmes, pourtant déjà révélés mais un peu obscurs vu l’état de nos moyens. C’est à la présence de l’Esprit-Saint qu’il est possible de reconnaître un véritable chrétien et non à la valeur des dogmes qu’il exprime « Mais voici le fruit de l’Esprit : amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité, douceur et maîtrise de soi » (Galates 5, 22). Toutes ces qualités sont les fruits de l’amour de Dieu.
Si vraiment vous voulez connaître Dieu, il faut accepter de se laisser aimer par lui. Mais justement, c’est ce qui bloque chez beaucoup de monde qui préfère un Dieu puissant à un Dieu aimant. Ainsi nous ne serions plus responsables de nos actes contraires à l’amour. Mais si vous refusez aujourd’hui l’amour de Dieu, vous le refusez également après la mort. St Augustin disait que l’enfer est le paradis des orgueilleux et cela peut devenir votre choix. Dieu vous a fait libre et il vous faudra en assumer les conséquences.